ANNÉE 1983, DAVID, DERRICK ET DUSTIN, PASSIONNÉS PAR LA SCIENCE-FICTION ET LA POP CULTURE, DÉCIDENT D'ENVOYER UN MESSAGE DANS L'ESPACE GRÂCE À UN ORDINATEUR SOPHISTIQUÉ DEPUIS LEUR PETIT GARAGE À COSMOPOLIS, DANS LE CONNECTICUT. PUIS C'EST PARTI EN COUILLE.PLUS DE TRENTE ANS APRÈS, GRÂCE AUX EXPLOITS INFORMATIQUES DES "3D" (POUR "THREE DICKS"), LES ALIENS FOULENT ENFIN LE SOL TERRESTRE ! MAIS À QUEL PRIX ? C'ÉTAIT À L'ÉPOQUE UNE SIMPLE PASSION. NI FEMME, NI EMPLOI, DAVID, DERRICK ET DUSTIN ONT PASSÉ LE PLUS CLAIR DE LEUR TEMPS (ET LEUR VIE) À ÉTUDIER L'ESPACE ET LA POSSIBILITÉ DE LA VIE AILLEURS QUE SUR NOTRE BELLE PLANÈTE. SANS DIPLÔMES OU CERTIFICATS, ILS SE CONTENTENT DE CONCEVOIR DES ORDINATEURS ET AUTRES SOFTWARES CHEZ EUX DANS LE SEUL INTÉRÊT D'ENVOYER UN MESSAGE AU-DELÀ DE LA SURFACE TERRESTRE. ILS L'ONT APPELÉ CODE COSMO EN HOMMAGE À LEUR VILLE CHÉRIE (C'EST FAUX, ILS N'ONT JUSTE AUCUNE IMAGINATION), COSMOPOLIS.
EN COURS D'AFFICHAGE (WADE ET LE CODE SE BATTENT)

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Les oiseaux mourraient dans leurs ailes de goudron (Rouge-Gorge)

*
Rouge-Gorge
Crédits : 2
Rouge-Gorge

Dim 4 Nov - 13:50
Les oiseaux mourraient étouffés dans leurs ailes de goudron
dc pas du tout psycho d'iphigenie
++ clique sur les onglets
Rouge-gorge // Le prince
72 années dont une trentaine oubliées
Alien Rizzen né sur une planète tout aussi oubliee
Pas riche ni pauvre mais après tout l'argent pousse plutôt bien sur les cadavres.
Ambigu • Ambitieux • Amer • Antisocial • Aromatique • Calculateur • Control-Freak • Curieux •  Désintéressé • Égoïste •  Esthète •  Excessif (mais pourtant mesuré) •  Facilement agacé •  Froid •  Glacial • Justicier (selon sa propre logique) • Juvénile (à 72 ans, oui.) •  Manipulateur •  Méfiant • Menteur • Méprisant •  Méritocrate • Misanthrope • Poète •  Protecteur (surtout envers les rizzens et un peu envers la 426) •  Rancunier •  Sérieux • Stratège •  Traitre • Travailleur •  Vengeur •  Violent.

Possède un don pour les sourires innocents • Qui sont un peu flippants à la réflexion • Inspire pourtant confiance quand on ne le connaît pas • Son humeur change rapidement malgré son air froid • Il peut parfois être excentrique comme un enfant, mais pas sur les sujets sérieux. • Apparaît parfois comme une petite chose précieuse • Peut d’ailleurs être une petite chose précieuse mais toujours à votre désavantage • Ment mieux qu’il ne respire • Il n'est pas le genre à mutiler / tuer par haine ou par plaisir, il vous tuera en toute indifférence • Ce qui, en soit, est pire • Très bon épéiste, peut ne pas être mauvais avec un revolver • Il préfère néanmoins utiliser des armes classiques • Ou rendre fou quelqu’un avec sa télépathie • Tuer lui demande moins d’effort psychologique que de cuisiner un gâteau • D’ailleurs il adore les choses sucrées • Ses émotions sont une option • Non cochée, l’option • Très doué pour comprendre les sentiments des autres • Et pour ne pas en tenir compte • Et pour les manipuler avec • Méprise les humains • Méprise les aliens autre que les rizzens aussi, mais un peu moins • On pourrait croire qu’il ne s’estime que lui-même, mais il ne s’estime pas non plus • En revanche, il respecte ses adversaires lorsque ceux-ci suivent leurs convictions peu importe les sacrifices qu’ils doivent effectuer • Ce qui l’a déjà amener à laisser quelques ennemis en vie • Contrairement à ce que l’on pense, il respecte des valeurs / un code d’honneur très strict • Les dites valeurs sont simplement complètement détraquées • Il met un point d’honneur à toujours être au courant de tout • Puis à dire qu’il ne sait rien avec un sourire innocent • Il n’aime pas qu’on le voie assassiner ses cibles, même d’un allié de la 426 • Il accorde une certaine attention à l’esthétique des choses • Donc si possible, il préfère tuer en toute élégance • Un peu poète sur les bords, mais vous ne voudriez pas lire • Il ne s’en est jamais pris une dans le cul (ceci est important à préciser) • Parce qu’il est un cliché ambulant, il est du genre à avoir plusieurs manteaux identiques dans son armoire • Et un petit tapis de sable sur son bureau • Il serait heureux si on lui achetait une petite fontaine zen mais adieu sa crédibilité • Peut être parfois un peu maniéré • Chasse la poussière quand il ne s’occupe pas de chasser votre âme • Ne supporte pas le bordel • Ni le bruit quand il est fatigué • Il est très souvent fatigué • Il a déjà tué quelqu’un qui faisait trop de bruit, on vous conseille donc de ne pas être ce voisin relou qui utilise sa perceuse à 9h du matin • Il ne calcule sans doute pas votre existence • Il peut vous dire exactement quel os fait quelle tonalité si vous tapez dessus et c'est terrifiant • Il vous le dit par télépathie pour que ce soit encore plus terrifiant • Notez qu’il a enterrée toute idée de respect • Il est totalement cheaté en 1v1 mais pêche un peu plus sur le PvP (l’auteur ne s’excuse pas).
Créer des stratégies tordues mais efficaces, savoir exactement où se trouve chaque membre de la 426 (merci les traceurs), traquer la MIB, torturer et / ou tuer les adversaires coriaces de la 426... Appartient aux têtes pensantes qui dirigent la 426 dans l’ombre.

C'était le dernier moment où nous serions seuls.
C'était le dernier moment où nous serions.
Le morceau de ciel. désormais. m'était dévolu. d'où tu tirais les nuages. et y croire.
Ta chevelure s'était noircie absolument.
Ta bouche s'était fermée absolument.
Tes yeux avaient buté sur la vue.
J'étais entré dans une nuit qui avait un bord. au-delà de laquelle il n'y avait rien.
(Jacques Roubaud, quelque chose noir)



Rouge-gorge est une effigie
Rouge-gorge est un opprobre
Rouge gorge est l’exubérance, la finalité d’un monde qui ne s’était jamais épris à se connaître un début et s’énamourait bien trop de tracer sa propre fin ;
Il a la peau clairsemée des morts et seules quelques cicatrices dispersées ça et là sauront témoigner qu’il a vécu,
Qu’il n’est pas juste un papillon épinglé sur sa plaque de verre.

Rouge-gorge est le blasphème de ceux qui survivent aux champs de bataille dévastés, il porte en lui bien plus de silences que de cris car c’est ce que laissent les morts quand ils ne sont plus tout à faits vivants ;  
Orgueil qui jamais ne redescend même pas égarement, il porte ces habits pauvres des fastes rois et aucune dorure ne peut égaler la dignité de sa droiture,
Il n’a pas de ces sourire sadiques qui ornent les lèvres des monstres, il paraît droit, si blanc si pur dans ses yeux d’ambres dorées ; il semble étonnant qu’un tueur se vétisse de blanc parce que le blanc salit, et à cela Rouge-Gorge répondra que nul sang ne peut couler sur sa peau si sa victime ne l’approche pas,
Qu’il est déjà sali de toute façon.

Rouge-gorge est un prince qui avait forgé sa couronne par lui-même avec des lys et des os, et l’on dira sans peine que jamais une expression ne viendra déchirer ce facies blanc, que jamais un sourire ne pourra trancher la peau décharnée de son visage ;
Il était né sans royaume et pourtant on le surnomme parfois Le Prince, peut-être était-ce ceci qui lui donnait son air si cruel et si délicat (il s’en fiche) ; aucune obélie ou aucune supplique n’avait jamais été capable de dessiner sa haine et à dire vrai, il ne s’en soucait guère, comme il ne s’était jamais embarrassé de morale dans ses propres actes,

Ni gloire ni mérite,
Ni scène ni lumière,
(rien)

Certains murmurent qu’il ne ressent rien mais il serait plus exact de dire qu’il avait choisi de ne plus ressentir
Quelle importance donner aux sentiments des autres lorsque les siens avaient été perdus
Quelle importance donner à leur existence

(tuer n’est qu’une gageure)
(un ennui au plus lorsque la lame ripe sur les os)
(il préfèrera changer d’épée que de la nettoyer)

Alors Rouge-Gorge n’a plus de royaume que ses convictions – et celles-ci s’étaient forgées dans la plus ardente des tempêtes, avaient tant et si peu aiguisé le fil de son âme qu’on ne saurait plus dire où commence l’homme et où se finit la cause.

Parce que finalement, Rouge-Gorge, il est (vide)
Et ne craint pas d’entrainer le monde avec lui

Et contrairement à ce qu’on dira,
Qu’on murmurera pour se rassurer,
Il n’est pas détruit, non,

Il n’y avait, semblerait-il, jamais rien eu à détruire.
Pouvoir : cruellement surdoué, sens légèrement plus développés que les humains. S’est particulièrement amélioré en télépathie. Spécialisé dans l’envoi de pensées intrusives & schizophrènes dans la tête de ses adversaires.

«  vous vous retrouvez tous, et moi j’ai l’impression de ne voir que des ruines
ce n’est pas que je n’aime pas combattre les ruines
ou même que je ne veux pas reconstruire au-dessus
mais je ne vois aucune pierre au loin qui ne soit pas putride »



L’on murmure que Rouge-Gorge était né quand il avait trente ans
Il avait surgi de nulle part d’une planète dévastée
Il avait dévoré les mondes et avait tracé une opprobre rouge sur ses lèvres,
Ce sera le seul sourire, dira-t-on, qu’il offrira de son existence.

On lui avait raconté.
Qu’il n’était qu’un soldat. Que son existence ne valait rien.
Qu’il aurait dû perdre la vie sur un champ de bataille.

On lui avait raconté. Tout de cette douleur qu’il aurait dû éprouver.
On l’aurait vu surgir sur des ruines, s’extirper de son linceul d’amarante et de sang blafard pour survivre, on l’aurait vu s’écorcher les mains sur les pierres puis l’intérieur de l’âme elle-même, on l’aurait vu se trainer et avaler la poussière ; on l’avait vu être poussière, résolument, avec cette conviction de vouloir devenir quelque chose sans jamais ne cesser s’entendre qu’il n’était rien.

On l’avait vu abandonner finalement, se départir de chaque fragment de lui-même et il n’y avait pas eu de symphonie plus étrange que celle des os qui se déchaussent, de la peau qui se fond à la chair, de l’esprit qui cogne contre le crâne, explose les poumons ; il n’y avait aucune mélodie plus étrange que celle d’un corps laissé à crever au soleil, de joues au goût de cendre, d’œil tourné à l’intérieur de soi-même,

Il avait survécu.
Jusqu’à se départir de lui-même, oublier l’existence des plaies à défaut de les soigner ; mais il avait survécu.

Quand il avait rouvert les yeux, la Terre avait accueilli ses dernières plaintes.

C’était une valse de murmures. Des questions inutiles qu’il ne comprenait pas, « te souviens-tu de quelque chose ? », une rumeur de planète attaquée, d’une fuite vers la Terre. D’une énième fuite seulement, depuis les prémices de son peuple jusqu’au bout de ses mains, de cette carne fantomatique incapable de se reconnaître elle-même ;

C’étaient des souvenirs, quelques-uns seulement entre l’amnésie, à peine tracés si l’odeur suffit à former une mémoire corporelle, la sensation d’une peau frôlant la sienne, d’un jasmin devenant empreinte, de lèvres et de sang séché ;

C’était une lettre. Brûlante et doucereuse lettre, tracée bien plus dans son âme que sur le papier.

Mon amour.
Mon amour.
Mon amour.


Il avait survécu à la maladie, disait-on, l’amnésie comme dû de sa propre existence, il avait survécu là où tant d’autres étaient morts de leurs blessures pendant le voyage, et quand finalement le vaisseau avait touché la Terre, quand finalement quelques dizaines de leur peuplade éventrée s’étaient à nouveau égarés à toucher le soleil du doigt, c’est l’âme vide et les yeux rempli d’un néant bleu que Rouge-Gorge s’était perdu à se réveiller,

Devenu si apathique que certains se demandèrent si les monstres, eux aussi, ne naissaient pas dans le vide pour remplir un vide plus terrifiant encore.

Et, pour lui, il n’y avait plus que ce bout de papier, cette lettre glissée dans la poche de son manteau déchiré,
Maculée de cendres et de poussières, d’esquisses, d’avenirs effacés – si somptueusement vivante que Rouge-Gorge avait toujours cru tenir un cœur entre ses doigts, là où il se retrouvait si parfaitement mort en lui-même.

Mon amour,
Mon amour,
Mon amour.


L’absence de souvenir l’avait aliéné, à moins que la folie elle-même n’ait corrompu sa mémoire.
Pauvre pantin ironique de fers et d’aciers, tempête marquée de cicatrices sans raisons, de blessures injustifiées, l’homme aurait pu renaître comme un enfant mais c’était en bourreau qu’il s’était égaré à grandir, inconstant de sa propre existence,

Il n’y avait rien.
Il n’y avait rien.
Il n’y avait rien.

Alors Rouge-Gorge avait commencé à danser.
Il était nébuleuse, Damoclès tranchante de sa propre existence, il était cristallin, plus fragile que du verre et pourtant si fortement apprêté à la mort que bientôt nul ne douta qu’il ne puisse être atteint ;
Qu’aucune blessure ne saurait jamais arrêter ce bouillonnement de haine passive, qui s’était épris à lutter contre un peuple qu’il ne connaissait pas et pour un peuple qu’il ne comprenait pas davantage.

Arracher la terre aux hommes.
La rendre aux siens (les rizzens).
Les coloniser, pour que nul ne subisse plus ce vide que lui-même s’était épris à porter.

Détestable humanité qu’il méprisait parce qu’il avait toujours été plus simple de haïr l’inconnu que de se détestait soi-même, effigies de chair et de verre, il n’avait qu’un temps pris plaisir à les torturer avant que des aspirations plus calmes ne viennent assagir ses ambitions. Alors Rouge-Gorge s’était affranchi de la colère, avait cessé agressions et meurtres aléatoires pour rejoindre une 426 naissante,

Et il y avait grandi, l’insolent enfant.
Avait façonné en toute quiétude un avenir dans lequel lui-même n’aurait aucune place,
Ni hommes, ni monstres. Simplement la bienveillance un peu naïve d’un peuple qu’il s’efforçait de croire assurément, avidement, pour la folie de ne pas croire au néant.

Aucune intention honorable ne venait marquer ses iris, il y avait quelque chose de cruel à observer une blancheur si maladroitement éclose, un lotus constellé de nébuleuses tant et si bien déformées, tant et si bien éprises de la colère qu’il en avait oublié les brillances qui l’animaient,

Il traquait. Planifiait des actes terroristes. Tuait. Depuis des années, et sans aucun respect pour le chérubin que lui-même avait été.

Et il n’y avait plus que
Le vide
L’abstinence
Le néant

Accompagnés par quelques mots d’amour tracés sur une feuille blanche jamais oubliée.



Mon amour,
J’aurais souhaité disposer de davantage de temps, pouvoir t’offrir plus que quelques mots tracés à la plume avant ma dernière bataille. J’aurais voulu pouvoir t’écrire une longue lettre comme nous le faisions lorsque nous avions vingt ans ; te la donner et te dire de la lire devant moi au moment où l’on se reverra.
Je n’ai pas ce temps-là. Je sens les lames résonner contre ma peau et mon cœur vibrer à l’unisson, je sens ma poitrine clamer le combat, lutter contre cette haine que j’ai toujours repoussée,
Et je ne partirais pas dans la haine. Je partirais drapée de tout ce que tu m’as offert de meilleur, de dignité s’il le faut ; je partirais en tout cas avec ton souvenir dans les mains et dans le cœur, puisque c’est la seule chose qui me donne suffisamment de force pour ne pas me consumer.
C’est une courte vie pour un rizzen, mais elle a déjà été assez longue à tes côtés. J’aurais donné pour partager quelques années de plus avec toi, mais nous aurions également pu mourir bien plus tôt. Tu m’as donné ton cœur, aussi cliché que cela soit ; j’emporte un bout de lui avec moi dans la mort pour que je puisse survivre à travers toi. Cela vaut bien mieux que toute la haine, toute l’amertume, toute la colère que j’aurais pu graver sur mon visage si tu n’avais pas été à mes côtés depuis plus de dix ans
Je sais que tu vas hurler jusqu’à ce que tu ne puisses plus hurler, je sais que plus d’un ennemi goutera à la lame de ton épée et que tu seras tenté de la goûter toi-même. Laisse ceci de côté. Tu es le premier et le seul à m’avoir appris comment combattre la nuit, alors ne te laisse pas engloutir par elle quand je ne serais plus là. Tu m’as offert ta lanterne, je te la rends. Entièrement, inconditionnellement. Je n’en aurais pas davantage besoin ce soir.
Survis. Affronte tes démons. Ne fuis pas comme tu as l’habitude de le faire.
Vis. Deviens l’homme que tu rêvais d’être, quand nous nous permettions encore de rêver. Il n’y a que toi pour décider que ta nuit ne sera pas noire,
Et, crois moi, lorsque je fermerais les yeux, je t’imaginerais briller comme l’étoile que tu as toujours été,
Parce que ton destin n’est pas dans ces ténèbres que l’on nous promet depuis que nous sommes encore, mon amour.
Alors va. Survis. Vis. Revis.
Et, quand ma mort ne sera plus qu’un souvenir, libère mes cendres sur l’endroit que tu auras choisi pour te construire un nouveau foyer.

Je t’aime,
Amaellys.

*
SWAN - COSTUMIÈRE
Isla Gardner
Crédits : 0
Isla Gardner

Dim 4 Nov - 16:10
mais
wow
:ohptn:

déjà, la fiche est trop belle
ENSUITE TSURUMARU !!! j'aime tellement son design, super choix d'ava !!
ET ENSUITE2 ROUGE-GORGE EST TROP COOL
GENRE LE SOUAG ET TOUT
j'ai un gros coup de cœur, ta plume est toujours aussi agréable à lire et juste, ce perso ohlala, il a un problème mais je vais lui monter un fanclub, u cant stop me

bref, rebienvenue ?? je le redis une dernière fois mais, j'aime ce perso, j'aime cette fiche, amour sur toi
*
BOSS DE BOOM - ACE
Arsène R. Walker
Crédits : 2
Arsène R. Walker

Dim 4 Nov - 16:49
c'est la fin des haricots
*
Violet Walsh
Crédits : 0
Violet Walsh

Dim 4 Nov - 16:55
Omg cette écriture :h2:
ce code :h2:
bon bah.
LE LIEN NOW NOW
*
AGENT
Jaemin Lee
Crédits : 10
Jaemin Lee

Dim 4 Nov - 17:20
haha. je vais mourir.

bon bah rebienvenu hein!!
*
AGENT
Leif Callaghan
Crédits : 8
Leif Callaghan

Dim 4 Nov - 17:22
pour copier arsène, les carottes sont cuites
*
Hyacinth
Crédits : 0
Hyacinth

Dim 4 Nov - 17:34
g pas les mots il est splendide
*
Styx
Crédits : 0
Styx

Dim 4 Nov - 19:33
w o w c'est trop beau je suis éblouie
*
Rouge-Gorge
Crédits : 2
Rouge-Gorge

Dim 11 Nov - 12:10
Coucou je suis un peu late (tant pour finir la fiche que pour répondre à vos commentaires hihi) mais je vous aime quand même ♥

Isla > azy monte un fanclub quand tu veux, je crois qu'il détesterait ça mais l'idée est très très drôle (arrêtez-moi tout de suite svp), en vrai je trouve mon propre perso swag mais il me fait flipper, je ne voudrais pas du tout le croiser dans la rue en soit je le croise dans ma tête donc c'est pire mais chut

Arsène > "C'est la fin des haricots" > est-ce que le haricot s'appelle Jaemin ?

Violet > Quand tu veux cutie, jtm. merci <3

Jaemin > Non. Juste souffrir atrocement. La b i s e.

Leif > Seulement le MIB qui est cuit, déso pas déso.

Hya > Trop contente qu'il te plaise, jtm fort ;;;;

Styx > Je sais qu'il est tout blanc et tout mais faut pas être éblouie comme ça enfin, garde tes jolis yeux pour toi


En vrai je fais la maligne mais je ne sais pas ce que j'ai fait, a l e d
:h2:
*
FONDATEUR - SPIDERMAN
Peter Parker
Crédits : -594
Peter Parker

Dim 11 Nov - 14:32

C'est dans la boîte !

Bienvenue sur le forum

Daaamn ce codage m'a mis en PLS il est vraiment magnifique. Et le taff de Rouge est quand même un petit peu flippant mdr j'ai trop hâte de voir ça en oeuvre c'est bcp trop bien. Bon comme toujours ta plume est un véritable régal, tu nous gâtes encore avec ce nouveau personnage :cry:

Tu peux désormais t'attarder sur la paperasse : recenser ton avatar, ton irl si tu en as un et ton métier. N'oublie pas d'aller poster ta fiche de liens ! Bon jeu !
*
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