ANNÉE 1983, DAVID, DERRICK ET DUSTIN, PASSIONNÉS PAR LA SCIENCE-FICTION ET LA POP CULTURE, DÉCIDENT D'ENVOYER UN MESSAGE DANS L'ESPACE GRÂCE À UN ORDINATEUR SOPHISTIQUÉ DEPUIS LEUR PETIT GARAGE À COSMOPOLIS, DANS LE CONNECTICUT. PUIS C'EST PARTI EN COUILLE.PLUS DE TRENTE ANS APRÈS, GRÂCE AUX EXPLOITS INFORMATIQUES DES "3D" (POUR "THREE DICKS"), LES ALIENS FOULENT ENFIN LE SOL TERRESTRE ! MAIS À QUEL PRIX ? C'ÉTAIT À L'ÉPOQUE UNE SIMPLE PASSION. NI FEMME, NI EMPLOI, DAVID, DERRICK ET DUSTIN ONT PASSÉ LE PLUS CLAIR DE LEUR TEMPS (ET LEUR VIE) À ÉTUDIER L'ESPACE ET LA POSSIBILITÉ DE LA VIE AILLEURS QUE SUR NOTRE BELLE PLANÈTE. SANS DIPLÔMES OU CERTIFICATS, ILS SE CONTENTENT DE CONCEVOIR DES ORDINATEURS ET AUTRES SOFTWARES CHEZ EUX DANS LE SEUL INTÉRÊT D'ENVOYER UN MESSAGE AU-DELÀ DE LA SURFACE TERRESTRE. ILS L'ONT APPELÉ CODE COSMO EN HOMMAGE À LEUR VILLE CHÉRIE (C'EST FAUX, ILS N'ONT JUSTE AUCUNE IMAGINATION), COSMOPOLIS.
EN COURS D'AFFICHAGE (WADE ET LE CODE SE BATTENT)

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sweet dreams are made of this ✯ r a p h a ë l l e

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Dim 24 Juin - 15:25
Y'a des bugs dans ma tête Des rêves imaginaires Y'a des bugs dans ma tête Quand j'écrase ma cigarette
MUSIC • j'essaie d'être un homme bien mais j'suis plutôt moyen j'crois qu'j'suis juste un génie du mal j'regrette mes vieux démons roi dans l'mensonge, esclave dans l'vrai monde vigilent à chaque seconde, si j'le laisse seul, mon esprit s'égare dans la pénombre

Quitter le lit sans faire de bruit, caresser un visage encore endormi, s'extirper la chambre à pas de loup ; enfiler un jean bien large, un pull à capuche et une veste en cuir noir ; s'accroupir pour faire les lacets de ses rangers avant de sortir de l'appartement sans émettre aucun son. C'est en refermant doucement la porte derrière lui que l'homme se permet enfin de s'étirer un peu plus bruyamment ; laissant s'échapper un bâillement qu'il ne pu contrôler plus longuement, saluant un voisin d'un mouvement de la main avant de prendre le chemin de la boulangerie. Sa paume masse sa nuque endolorie ; encore une fois, Jack n'a pas vraiment super bien dormi ((et ce malgré la présence réconfortante de celle avec qui il partage depuis quelques années, sa vie.)) Capuche sur la tête, cigarette entre les lèvres, la rosée matinale qu'il croise sur son chemin ne lui plaît guère, mais heureusement pour lui, la route jusqu'à la boulangerie n'est pas bien longue. Une cigarette à l'aller, une autre pour le retour et tout serait très vite terminée. Mains dans les poches, l'homme avance avec sa nonchalance habituelle ; son regard scrutant les recoins du quartier, mais pratiquement personne dans les rues en ce bon matin. Le weekend, les gens en profitent généralement pour se reposer et non pas pour se lever aux aurores. Soupir profond, brouillard de fumée, Jack se masse machinalement une épaule, blasé de sa condition ((syndrome post-traumatique de merde.)) Rien ne lui inspire plus vraiment confiance ici ; toujours à l’affût...  

Adossé à la vitrine de la boulangerie, l'homme termine sa sucette à cancer sans se presser ; prendre son temps est important, surtout de bon matin. Écrasant le mégot sous sa chaussure pour ensuite la glisser dans son cendrier de poche, l'homme ouvre la porte de l'enseigne et retire sa capuche rapidement avant d'adresser un sourire à la boulangère.  « Bien le bonjour à vous madame, j'vais vous prendre quatre croissants et une baguette. » Des bonnes tartines avec un café, rien que cette idée lui arrachait une mine déjà un peu plus enjouée ; le sac est tendu ce qui le sort de sa soudaine rêverie, payant immédiatement avant de quitter la boulangerie sans attendre. Bien trop pressé de rentrer chez lui, de retrouver son cocon chaleureux et surtout de ne plus être dehors, à la merci d'on ne sait trop quoi. ((Les souvenirs du passé ravive sa peur enfouie.)) Une nouvelle cigarette est dégainée le temps du trajet, juste histoire de se détendre les nerfs ; c'est la raison principale de Jack ; fumer pour étouffer sa rage, sa peur, ses doutes. Contrairement à l'aller, l'homme presse le pas, ne s'attarde pas, ne prend pas de détour, certainement pas. Devant la porte de la résidence, il écrase sa cigarette bien loin d'être terminée et monte les escaliers quatre à quatre. Les clés dégainées, il s'infiltre dans l'appartement et dès lors qu'il a passé le seuil de la porte, le calme olympien revient.

Jack ne prend pas vraiment la peine de se déshabiller, il dépose juste les croissants et la baguette sur la table du salon et va aussitôt préparer un peu de café et du thé. Quand tout fut préparer, il se décida enfin à retirer sa veste, ses chaussures et se dirigea vers la chambre sur un pas léger. Une caresse sur le visage de la belle aux bois dormant, puis un baiser déposer...  Il attend patiemment que tes paupières s'ouvrent, assis à côté de toi, le regard bienveillant. Et tu ouvres les yeux, non pas sans émettre un grognement qui le fait sourire ((et même rire.))  « Regardez moi cette belle endormie... Mademoiselle Ryan, il est l'heure d'ouvrir vos petits yeux et de sortir de ce lit. » Prendre le petit déjeuner tout seul ? Très peu pour lui. Sa main passe dans ta chevelure blonde, attendant une réponse ; ne te pressant pas le moins du monde. Se glissant alors à côté de toi, Jack ne peut s'empêcher de te faire pivoter en douceur contre lui, cherchant comme un animal blessé, un moyen de se calmer. Si dehors ne le rassurait pas, c'était autre chose ici ((avec toi, il est à l'abri.))  « Il est vrai que l'idée de rester comme deux larves dans ce lit est tout aussi alléchante... » Un nouveau baiser déposer sur le sommet de ton crâne, il attend Jack, que le chat que tu es décide enfin de sortir de sa torpeur.



ft. raph' • color 2B76CD • hrp jtm bouffonne 8D
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Mar 26 Juin - 17:26

✕ • • •





Tes nuits sont des trous noirs.
Où le temps n’existe pas, l’espace non plus.
Allongée comme un inanimé dans le fond de ton lit, tu ne vois que des masses charbonneuses. Tes paupières closes font danser devant tes pupilles dilatées des étincelles colorées.
Le temps est infini, il s’étend jusqu’au bout de la nuit.
Il s’étire longuement, t’éviscères violemment.
Car il y a un mal grandissant dans le creux de ton bas ventre, quelque chose qui vient te tordre les entrailles, saisir ton menton. Il te regarde droit dans les yeux, il sait qu’une faim grandit.
C’est toujours à la limite de cette folie que le sommeil t’assommes.
Que tu t’abandonnes.
C’est finalement le glas d’un réveil qui sonne.
Des lèvres chaudes aux relents de tabac froid, une main bienveillante. C’est un refrain que tu connais bien, dont tu tapes le rythme du bout des doigts.
« Bonjour… » Ta voix est enrouée, mais ton sourire pleinement déployé. C’est comme trouver un radeau après un naufrage, se raccrocher à quelque chose de certain.
La somnolence de ton corps se laisse faire, se faisait recueillir dans la tiédeur d’une étreinte. Tu respires calmement dans ce cocon, étire petit à petit tes membres. Une paupière s’ouvre, puis une seconde. Et le tout bat de l’aile, cligne, face à la lumière.
Les mots te font rire faiblement tandis que tu caches ton visage contre un torse à la respiration régulière. Les mains empoignants le textile d’un t-shirt, tu te relèves peu à peu, cambrant ton dos fatigué.
« Si tôt? »
Et ton visage remontant, vient se lover dans le creux de son cou. Et tu sens contre tes lèvres, le battement d’une veine. D’une jugulaire qui brasse, pompe un liquide grenat.
Les sens encore endormie, tu t’y attardes malgré toi. Les pulsations d’un cœur confiant. Ta poitrine se soulève en l’espace d’un instant, tu te recules instinctivement, venant embrasser les lèvres d’un amant.
« Bien sûr que ça te déranges pas…! » Et à tes paroles, sourire amusé, tu te meus en-dehors du lit, fuyant dans la salle de bain. L’eau coule et tu passes celle-ci sur ton visage, l’œil distrait par les piluliers trônant sur le rebord.
Prenant le compte, tu les fais rouler dans ta paume avant de profiter d’être seule pour les noyer au fond de l’évier, camouflant ton crime.
Le rituel est d’une précision morbide.
Compter le bon nombre, les jeter.
Boire une gorgée d’eau, juste de quoi avoir les lèvres humidifiées.
Pousser le vice.
Comme un enfant voulant faire croire à des odieux mensonges.
T-shirt relevé, tu passes tes doigts froids sur les cicatrices pas tout à fait effacées. Ça te soulève le cœur. La nausée te guette. Alors t’arrêtes, prend à nouveau la fuite.
Malgré des airs pâles, tu attires l’attention. Venant s’insérer dans son dos, tu passes tes bras autour de sa nuque, de son cou. « Tu t’es levé tôt dis-moi. D’où tu la tiens, ta motivation? Tu pourras m’apprendre tu crois? »
Et tu reposes de tout ton poids sur lui.
Car il n’en a pas seulement l’air,
Il est le plus solide des deux.
Et sur le comptoir de la cuisine, tu entrevoies des paquets. Du papier kraft soigneusement froissé. Ta trachée se serre, le fond de ta gorge se dilate. Et si le réflexe vomitif te guette, qu’il te donne les larmes aux yeux, tu t’exclames, tout sourire. « Ah! C’est donc pour ça! Parce que Monsieur se donne du mal. »
C’est normal d’être tactile dans votre situation.
Mais toi, tu ne l’a jamais autant été.
C’est parce qu’au moindre doute,
Au moindre symptôme,
Tu préfères te cacher contre lui,
Pour être sûre qu’il ne verra rien.
« Merci. »
Est chuchoté dans le creux de son ouïe, le cœur emballé par le mal qui le retourne sans cesse. Alors tu tentes une plaisanterie.
« T’as quelque chose à te faire pardonner? »



HRP — C TOI LA BOUFFONNE JPP PARLE MOI MEILLEUR WSH

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