ANNÉE 1983, DAVID, DERRICK ET DUSTIN, PASSIONNÉS PAR LA SCIENCE-FICTION ET LA POP CULTURE, DÉCIDENT D'ENVOYER UN MESSAGE DANS L'ESPACE GRÂCE À UN ORDINATEUR SOPHISTIQUÉ DEPUIS LEUR PETIT GARAGE À COSMOPOLIS, DANS LE CONNECTICUT. PUIS C'EST PARTI EN COUILLE.PLUS DE TRENTE ANS APRÈS, GRÂCE AUX EXPLOITS INFORMATIQUES DES "3D" (POUR "THREE DICKS"), LES ALIENS FOULENT ENFIN LE SOL TERRESTRE ! MAIS À QUEL PRIX ? C'ÉTAIT À L'ÉPOQUE UNE SIMPLE PASSION. NI FEMME, NI EMPLOI, DAVID, DERRICK ET DUSTIN ONT PASSÉ LE PLUS CLAIR DE LEUR TEMPS (ET LEUR VIE) À ÉTUDIER L'ESPACE ET LA POSSIBILITÉ DE LA VIE AILLEURS QUE SUR NOTRE BELLE PLANÈTE. SANS DIPLÔMES OU CERTIFICATS, ILS SE CONTENTENT DE CONCEVOIR DES ORDINATEURS ET AUTRES SOFTWARES CHEZ EUX DANS LE SEUL INTÉRÊT D'ENVOYER UN MESSAGE AU-DELÀ DE LA SURFACE TERRESTRE. ILS L'ONT APPELÉ CODE COSMO EN HOMMAGE À LEUR VILLE CHÉRIE (C'EST FAUX, ILS N'ONT JUSTE AUCUNE IMAGINATION), COSMOPOLIS.
EN COURS D'AFFICHAGE (WADE ET LE CODE SE BATTENT)

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C'EST LA VIE — taylor & qrykalz

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Mar 28 Aoû - 17:06

C'EST LA VIE — taylor & qrykalz V6gd

C'est la vie

Feat Taylor & Qrykalz


Une journée éreintante, tentée de fatigue et de répétition. La décharge n’était pas un lieu agréable pour le commun, on ne pas dire qu’elle l’était pour Qrykalz nous plus. Mais, sans pour autant l’aimer, elle ne la détestait pas, coincée entre un entre-deux, coincée entre dégoût et affection. La douce se perdait à la personnifier, comme si la poubelle démesurée possédait un cœur, des émotions, une âme. Dans ses pensées, à voix close, elle lui parlait, lui partageant tantôt sa haine lorsque le travail était trop intense, tantôt sa tendresse lorsqu’un trésor brillait devant ses yeux émerveillés. Alors avec folie, au fond, elle la chérissait, ne désirant pas la changer, appréciant sa beauté malgré son odeur peu accueillante.
Dans la navette qui la conduisait en bord de la ville, Qrykalz y songeait, se demandant ce que serait sa vie loin de la décharge, loin des déchets, de la saleté. Une autre vie, où la misère serait inconnue, entourée de gens aimants et plaisants, allongée dans des draps de soie. Un faible rictus se fit entendre, comme si une telle vie existait, même dans ses rêveries elle ne pourrait l’atteindre.
Le paysage défilait à une allure plus ou moins rapide, passant des débris à la civilisation, la rapprochant un peu plus des frontières de la ville, là où les poubelles étaient animées, là où la vivacité se faisait sentir, là où elle n’aimait pas retourner. Qrykalz ne s’était pas prise d’affection par la population, qu’elle soit humaine ou alien, cela n’avait aucune importance, au fond ils étaient similaires, même si certains refusaient de le voir. Alors en descendant du véhicule un petit pincement au coeur se fit sentir, la foule ne la rassurait pas, sa seule envie étant de retourner à sa tranquillité, à son activité. De sa main droite elle portait un sac en apparence assez lourd, mais qui ne semblait pas lui poser problème, celui-ci étant sûrement rempli de babioles prêtes à être assemblées pour incarner la destruction.
Le soleil se faisait bas, abandonnant peu à peu Cosmopolis pour éclairer une autre contrée, les ombres commençaient à s’installer, tapissant les murs de leurs noirceurs. Pendant ce temps, Qrykalz quant à elle venait d’entamer son chemin vers le district 12, cet endroit peu agréable où se trouvait son que l’on peut à peine nommer sa résidence. Elle connaissait la route par coeur, et c’est sans se tromper qu’elle aurait pu la faire les yeux bandés. Mais en cette soirée, calme en apparence, les choses étaient différentes, et c’est avec les yeux grands ouverts qu’elle traversait les ruelles. Une sensation étrange la parcourait depuis quelques minutes déjà, quelque chose d’oppressant. Avec méfiance elle continua d’avancer, ne se préoccupant pas de se retourner. La belle était d’humeur paranoïaque, son sac était une preuve évidente de son trafique, un tas de scénario commencèrent à défiler. Et si, et si on la suivait. Ce n’était pas la première fois qu’elle ressentait une telle sensation, la plupart du temps il ne s'agissait que de fausses alertes, son imagination prenant trop souvent le pas sur la réalité. Pourtant cette fois elle y croyait plus encore, persuadée que son instinct n’était pas une illusion. Ses pas se voulaient nonchalants, comme inafectés par ses craintes, du  mieux possible elle tentait d’être normal face au regard d’autrui. Mais son sentiment et son inquiétude étaient grandissants, la lourdeur s'intensifia au fur et à mesure qu’elle franchissait les rues à peine battit du bidonville. Ses pensées étaient peut-être trompeuses, l’idée de se retrouver face au néant n’était toujours pas exclue, mais voulant faire de preuve de prudence, pour la énième fois, elle décida de tourner au prochain angle. Là, elle se plaqua dos contre le mur, ses bras entouraient son sac tout en le plaquant contre sa poitrine. Déterminée, elle se planta, prête à être surprise, prête à surprendre.

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Mer 29 Aoû - 21:27

this is the life.

i'm running this the wolves

La lumière du soleil déclinait derrière les tours et les maisons en carton qui s’accumulaient dans une partie du District 12. Certaines rues ne se désemplissaient pas, les badauds et truands sortant plus librement dans les coins sombres de ce lieu que peu de gens voulaient réellement visiter ou connaître. Seuls ceux qui vivaient ici arpentaient les trottoirs et les rues, défiant souvent du regard la police qui passaient faire des rondes. Pour la forme. Pour l’image. Tous savaient que ce quartier délaissé n’intéressait personne et sûrement que cela faisait les affaires de certains. Après tout, il fallait bien des heureux dans cette histoire.

Taylor observa un moment des maisonnettes de papier et de plâtre qu’il avait vu depuis son enfance, sous ce morceau d’ossement bien plus grand que sa face. Par les trous où avant les yeux du gros chien à qui avait appartenu ce crâne, il regardait le soleil s’enfuir vers l’horizon, l’esprit ailleurs. Il ne savait pas trop pourquoi il avait revêtu ses funestes atours ce soir-là, Maman n’étant pas à la maison et Sana restant avec sa nounou de fortune. Lui n’avait rien eu à faire, ses devoirs étant terminés et ses révisions finies. Alors, il était sorti, était parti chercher ses affaires trois rues plus loin, s’était changé à l’abri des regards et était monté sur un toit, pour mieux voir la vie qui défilait dans les ruelles et les recoins. Des vies qui ne se doutaient de rien, qui continuaient leur cours, tout en restant méfiantes de l’attaque d’un coquin. Mais personne ne prenait réellement attention au chien. Sûrement parce que personne ne voulait réellement le voir.

Qui pouvait dire ce qui prenait Death Dog lorsqu’il prenait la vie ? Même pas Taylor. Il le laissait juste agir, sous son masque macabre, sa cagoule de laine noire et ses vêtements de la même couleur. Il laissait juste le chien se balader et courir, déambuler dans les rues sans réel objectif avant de fondre sur sa proie. C’était étrange. Comme toujours. Mais alors que le jeune homme posait ses pupilles marine sur les trottoirs sales du district, il reconnut l’ombre d’une créature qu’il avait déjà vu.

La fille de la décharge.

Elle marchait dans la ruelle. Avec un gros sac dans les bras. Elle était là. Avec son air un peu triste. Un peu craintif. Un peu ailleurs. Taylor l’observa, comme il le faisait à chaque fois qu’il se retrouvait à la décharge pour prendre des pièces pour son patron. Il observa la jeune femme, ses yeux glissant sur les traits de son visage, ses longues mèches violines et son corps fin. Avant que le chien ne se redresse et ne se laisse tomber à travers les couches de l’immeuble. Son corps passant à travers le sol sous ses pieds, Taylor descendit avec une aisance déconcertante les trois étages qui le séparait de la rue pour finalement suivre dans l’ombre l’employée de la décharge.

Sans un bruit.

Sans un mot.

Quand soudain.

Elle disparut.

Elle avait remarqué quelque chose.

Les pas de Death Dog s’arrêtèrent dans la ruelle, sombre et vide. Elle avait senti sa présence. Ou ressenti ses desseins. Cela arrivait souvent, quand il se mettait en « chasse », si on pouvait dire les choses ainsi. Elle n’était pas la première à sentir la tension et l’appréhension qui résultait de cette traque. Taylor n’en était pas étonné. C’était rarement le cas d’ailleurs, quand il portait le masque. Alors, comme toujours, il agirait en conséquence.

Son corps disparut à nouveau, passant par les briques du mur de l’immeuble derrière lequel la jeune fille s’était éclipsée. Lentement, le chien s’avança jusqu’à l’angle de la pièce où il se trouvait, une petite cuisine dans laquelle personne n’avait décidé de passer avant de s’arrêter devant le pan de mur. Et d’y passer lentement la main. Très lentement. Il devait faire attention à la différence de texture. Sentir quand est-ce qu’il traverserait le mur. Quand est-ce qu’il serait dehors. Car il y avait deux possibilités : soit la fille était partie. Soit, elle était collée contre la paroi. Et si c’était la deuxième option, alors, il pourrait l’attraper.

Alors, lentement, le chien fit passer son membre dans le mur, calculant, identifiant, vérifiant. Lorsque ses doigts rencontrèrent l’air libre. La pression normale de l’atmosphère. Et les fins fils de sa chevelure.

Elle était là.

Et alors, Death Dog se saisit de son cou, restant à sa place dans la pièce.

Ainsi, les choses pouvaient commencer.
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Jeu 30 Aoû - 0:55

C'EST LA VIE — taylor & qrykalz V6gd

C'est la vie

Feat Taylor & Qrykalz


Respirer; un seul mot d’ordre. S’emparer de l’air pour qu’il puisse pénétrer ses poumons usés, s’en délecter avec soif, pour finir par le relâcher avec faiblesse. Sa respiration n’était pas rapide, ni même lente, sans pour entend être normal, un peu étouffée, saccadée. Qrykalz, les yeux craintifs, ouvert sur la ruelle, tantôt par la droite, tantôt par la gauche, scrutant le moindre recoin. Avec attention elle analysait chaque poussière, chaque ombre, pour en absorber leur mystère. La situation devait être sous contrôle, elle ne pouvait qu’être sous contrôle. Les fantasmes de la jeune fille la poussaient souvent dans ce genre de retranchement, les minutes passaient péniblement, sans qu’elle puisse bouger, pour enfin la libérer de ses chaînes. Cette fois, la tension était la même, ni plus, ni moins, le même goût amer de la crainte se mélangeait à sa salive pour glisser le long de sa trachée. Parfois, elle se retrouvait face à de malheureux pilleurs, ne désirant que quelques piécettes pour payer leur pain, et c’est avec dédain qu’elle les laissait les mains vides. Si cela avait été le cas en cette soirée bien trop sombre, ils se seraient déjà montrés. Or aucune âme n’avait encore faite son apparition. Ses jambes retrouvaient peu à peu leur vitalité, signal qui la crainte s’estompait, et que bientôt, peut-être, elle pourrait retourner à sa course jusque chez elle. Un long soupir se fit sentir, traînant, comme si l’oxygène c’était trop accumulé dans sa cage thoracique.
Mais,
ce n’était pas fini.
Son coeur s’emballa à nouveau, une contraction soudaine, inattendue, un pincement fort et douloureux. Cette sensation, celle de l’oppression, venait de resurgir aussi vite qu’elle avait disparu. Comme une montagne russe, une attraction qui se fiche de vous ménager, l’angoisse chatouillait le sommet. Les abysses lui parvenaient, l’entouraient, lui indiquant un danger, un problème à venir. L'instinct de Qrykalz ne lui faisait défaut, adorable compagnon dont elle pouvait se vanter de l'amitié, rares étaient les fois où il perdit sa confiance. Jamais. Toujours il l’avait honoré de sa présence. Comme un animal, comme un monstre, elle en était plus que dotée.
Mais,
ce n’était que le début.
Malgré cet allié précieux à ses côtés elle ne la vit pas venir, cette main, cette main à l’allure humaine et pourtant terrifiante. Elle ne l’avait pas non plus vu se glisser jusqu’à sa gorge pour en faire son trophée. Des doigts l'encerclaient, portant un siège à sa personne, nouveau maître illégitime d’un territoire qui ne pouvait leur appartenir. Qrykalz lâcha un râle, marquant autant sa surprise que son effroi, dans sa stupeur c’est également de son sac qu’elle se sépara, ce dernier s’écrasant lourdement à terre. Un bruit de ferraille perça les murs de la ruelle à l’atmosphère désertique.
Impuissante, elle était impuissante, ignorant même sa situation et sa cause. Tout s’accélérait dans sa tête, comme une chaudière fumante elle travaillait, essayant tant bien que mal de s’accrocher à la réalité. La situation était pourtant simple, Qrykalz, jeune femme honnête, ouvrière de la décharge, prisonnière d’une main inconnue. Une main qui devait bien avoir un marionnettiste, la question était donc de savoir qui, quoi.
Le M.I.B ? Étrange, la contrebandière nocturne n’avait pas encore eu affaire à eux, et ils ne semblaient pas s’inquiéter de son activité. Possibilité certes mais peu probable.
Un compatriote mécontent de la BOOM ? Impossible, ses armes étaient d’une qualité plus que notable, même si l’orgueil était grand il ne l’était pas sans raison.
Un membre du 426 ? Non, un être aussi insignifiant qu’elle ne pouvait pas se retrouver sous leurs projecteurs.
Les éventualités se succédaient, sans trouver de réponses rationnelles, plausibles. Elle devait se rendre à l’évidence, la seule façon de connaître son assaillant était de lui faire face.
Et,
il était temps d’agir.
Qrykalz fronça les sourcils, une mine de colère se dessina sur son visage, ses muscles se contractèrent, gonflant ainsi sa carrure chétive. Sa main, la sienne, un atout qu’elle aussi avait la joie de posséder, se porta sur le poignet de son bourreau. Elle le sera un peu, puis, plus intensément, sans se rendre compte de sa force. L’objectif n’était pas de le briser, bien que cela aurait été une tâche aisée, mais simplement de le rompre, de l’obliger à s’éloigner. Elle grogna faiblement, la crainte faisant place à la rage, de son pied gauche elle porta un coup violent contre le mur, prête à le démolir si besoin. Dans son action elle vociféra des mots autoritaires ;
-Tu vas me lâcher putain!

Tout en gardant fermement le membre de l’auteur de ses troubles elle balança ses épaules, comme pour se dégager de son emprise. Il était l’heure pour elle de se réveiller, de laisser éclater la colère qui la rongeait au quotidien.
- Qu’est-ce tu veux ? Montres-toi au moins sale chien de t'race!

Sa voix se voulait perçante, agressive, dénuée de toute douceur, n’appelant pas à l’aide, et ne réclamant aucune bonté d’âme. La confrontation, seulement la confrontation.


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Sam 1 Sep - 0:17

this is the life.

i'm running this the wolves

Elle avait bougé.

L’avait touché.

Elle n’avait pas crié.

Mais lui avait parlé.

A travers le mur.

Et alors.

Le chien s’était reculé.

Ce n’était pas tous les jours – ou plutôt tous les soirs – que les proies du chien défunt réagissaient de la sorte. La plupart se tétanisait avant de hurler de terreur, leurs cris s’effaçant dans la nuit avant de s’éteindre définitivement. D’autres se mettaient à courir, à perdre haleine, pour s’en sortir, se sauver. Mais bien souvent, le chien les rattrapait et les laissait sur le bas-côté. Mais rares étaient ceux qui se défendaient. Et s’accrocher. Derrière son masque, Taylor haussa un sourcil quand il sentit la main de la jeune fille sur son poignet, ses doigts fins enserrant ses os qui auraient pu être brisés s’il n’avait pas utilisé son pouvoir à temps. Elle aurait pu le casser et ne rien en laisser. Fortement heureusement, le jeune homme avait su réagir à temps et repasser sa main à travers le mur, la laissant seule dans la ruelle.

Ne bougeant plus, attendant, Taylor observa le papier peint jauni qui tapissait la paroi face à lui, pendant une longue minute avant de monter sur le plan de travail afin de se hisser sur le haut frigo vieillissant régnant dans la pièce. Avec agilité et habitude, il réussit à passer par le plafond, passant à l’étage supérieur où un couple dormait paisiblement dans un grand lit miteux. Le chien les regarda d’un air absent, ces êtres ne l’intéressant absolument pas avant qu’il ne passe une partie de sa tête à travers le mur, pour voir où se trouvait la jeune femme. Juste en bas.

Elle était toujours là.

C’était étrange. Drôlement étrange. Taylor ne saurait dire pourquoi mais la réaction de l’employée de la décharge le laissant perplexe. Lui qui l’avait longuement observé, à chacun de ses passages dans le monde d’immondices, il la voyait sous un autre jour, sous les lueurs blafardes de la nuit. Elle qui lui semblait si frêle, si absente, si morne, venant presque de lui crier dessus. Ce n’était pas la première à agir de la sorte, alors que Death Dog était en chasse. Mais à chaque fois, cela laissait le chien pantois. Pourquoi se débattre autant alors que la mort, inévitable et funeste, s’approchait d’aussi près ? Après tout, elle allait finir par la prendre et ses traits fins montraient bien souvent que cela ne la dérangerait pas. A moins…

A moins qu’il ait tort.

Taylor fit la moue, embêté, son masque dépassant toujours du morceau du mur. Avait-il eu tort, en se disant qu’elle souhaitait peut-être bien mourir ? Avait-il eu tort de croire qu’elle attendait juste la fin ? Avait-il eu tort ? La question tourna encore et encore dans son crâne, son corps ne bougeant pas durant le processus. Sûrement quelqu’un allait le voir mais cela ne le préoccupa pas plus que cela. Avait-il eu tort ?

Peut-être Taylor. Qui sait ? Ça arrive de se tromper.
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