ANNÉE 1983, DAVID, DERRICK ET DUSTIN, PASSIONNÉS PAR LA SCIENCE-FICTION ET LA POP CULTURE, DÉCIDENT D'ENVOYER UN MESSAGE DANS L'ESPACE GRÂCE À UN ORDINATEUR SOPHISTIQUÉ DEPUIS LEUR PETIT GARAGE À COSMOPOLIS, DANS LE CONNECTICUT. PUIS C'EST PARTI EN COUILLE.PLUS DE TRENTE ANS APRÈS, GRÂCE AUX EXPLOITS INFORMATIQUES DES "3D" (POUR "THREE DICKS"), LES ALIENS FOULENT ENFIN LE SOL TERRESTRE ! MAIS À QUEL PRIX ? C'ÉTAIT À L'ÉPOQUE UNE SIMPLE PASSION. NI FEMME, NI EMPLOI, DAVID, DERRICK ET DUSTIN ONT PASSÉ LE PLUS CLAIR DE LEUR TEMPS (ET LEUR VIE) À ÉTUDIER L'ESPACE ET LA POSSIBILITÉ DE LA VIE AILLEURS QUE SUR NOTRE BELLE PLANÈTE. SANS DIPLÔMES OU CERTIFICATS, ILS SE CONTENTENT DE CONCEVOIR DES ORDINATEURS ET AUTRES SOFTWARES CHEZ EUX DANS LE SEUL INTÉRÊT D'ENVOYER UN MESSAGE AU-DELÀ DE LA SURFACE TERRESTRE. ILS L'ONT APPELÉ CODE COSMO EN HOMMAGE À LEUR VILLE CHÉRIE (C'EST FAUX, ILS N'ONT JUSTE AUCUNE IMAGINATION), COSMOPOLIS.
EN COURS D'AFFICHAGE (WADE ET LE CODE SE BATTENT)

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spiderman welcoming (charles)

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FONDATEUR - SPIDERMAN
Peter Parker
Crédits : -594
Peter Parker

Mar 18 Sep - 20:42



spiderman welcoming

w/ charles xavier



musique - Professeur X.
Non ce n'est pas le nom d'un mauvais acteur porno. Tu as bien conscience de qui est la personne que tu vas devoir accueillir aujourd'hui. C'est le Professeur X, bordel. Charles Xavier, le pilier de tous les mutants ! Bien sûr que tu le connais, tu connais sa page Wikipédia presque par coeur !

Depuis peu, Eurêka est en galère - entre les missions qui s'accumulent et le manque d'effectif. C'est bien normal que Spiderman file un coup de main aux personnes qui le logent, le nourrissent et le blanchissent. (Ce que tu sais pas c'est que tu vas jouer les guides touristiques pour te faire oublier d'aller lutter contre le crime ambiant à Cosmopolis, sans l'accord de tes supérieurs).

Tu te regardes dans le miroir de ton dortoir. Un coup à gauche, à coup à droite, tu fais voler ta mèche en espérant la mettre dans le meilleur sens. T'as le coeur qui bat à tout rompre - t'es VRAIMENT trop excité à l'idée de rencontrer l'une de tes nombreuses idoles.

Sur ton téléphone, la notification de l'arrivée du professeur apparaît à l'écran. Ni une, ni deux, tu cours jusqu'à l'ascenseur pour descendre au niveau du hall. C'est avec surprise que tu le vois dans un fauteuil roulant - tu l'ignorais...
Tant bien que mal, tu balayes ta pitié et ta peine pour accourir jusqu'à la nouvelle recrue de choix.

Puis, là, planté comme un piquet face à lui, tu ne sais pas quoi dire.
Quand ta langue se délie, c'est encore pire.

EUH ! Je- Vas-y, Peter, racles toi la gorge bien salement en serrant les fesses, ça va passer. Je suis Spiderma- enfin, Peter. Je suis tellement, tellement fan de vous ! C'est sans doute la pire façon d'amener la chose. Tu grimaces avant de reprendre : Enfin... je veux dire que, je vous admire depuis super longtemps ! Ce que vous avez fait pour tous les mutants est tellement génial... Tout va bien ? Vous avez soif ? Faim ? Chaud ? Froid ? Est-ce que vous voulez voir les locaux ou les dortoirs ou la salle d'entraînement ou la cafétéria en premier ?

Ton débit de parole ne change jamais, au grand dam de... tout le monde, en fait.

Sinon... Vous avez fait bon voyage ?


coded by blair of shine & ooc


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PROFESSEUR X
Charles Xavier
Crédits : 0
Charles Xavier

Mer 19 Sep - 17:57


winter - tu es en avance.
tu as résisté tant bien que mal un désir quasi-irrépressible d'aller s'égarer dans les allées environnantes, attiré malgré toi par le paysage arraché tout droit à un film de science-fiction, aux technologies merveilleuses & pourtant mondaines. on t'en avais apporté des photos, bien sûr, mais tu te rends compte à présent à quel point il est difficile de rendre justice à une cité aussi extraordinaire ; peut-être que si tu l'avais su, tu aurais répondu à l'invitation d'Eureka plus tôt- (non, bien sûr que non. quand aurais-tu trouvé le temps ? tu n'aurais pas pu abandonner l'école. cosmopolis n'était rien de plus qu'un nom que tu rencontrais de temps en autre dans l'esprit de tes élèves, rien qu'une enveloppe jetée sans cérémonie au fond d'un tiroir et remise à plus tard, un rêve plus qu'un projet. erik lui-même avait envisagé d'y trouver refuge, il y a des années de ça. erik maintenant n'ira plus nulle part.)

en réalité, tu ne sais pas à quoi t'attendre. si hank n'avait pas investi la totalité de son énergie au cours des deux dernières semaines à te convaincre d'aller porter main forte à la communauté des héros, tu serais très certainement resté au manoir pour dieu sait combien de temps. depuis la fermeture de l'école, tu n'as pas beaucoup fait acte de présence dans le monde des vivants - mais qui pourrait t'en vouloir ? tu n'as plus grand chose à y faire. tout ceux que tu aimes t'ont abandonné- (tu ne veux plus y penser. raven et erik ont fait leur choix depuis longtemps.) installé dans le hall, stationnaire, tu te fais l'effet d'une pièce de mobilier - on voit le fauteuil avant l'humain, et les rares passants n'osent pas te regarder dans les yeux. face à un infirme, on a facilement honte de marcher-  (sans doute que ce serait différent si tu pouvais éviter de les entendre s'apitoyer sur ton sort, mais il t'est impossible de les empêcher d'u penser. chaque sourire contrit te fait l'effet d'une écorchure. tu sais bien que ce n'est pas leur faute, mais tu serres quand même les dents.)

on t'a prévenu qu'un jeune membre serait mandaté pour t'accueillir, et tu le discernes aisément au coeur du brouhaha d'esprit : son excitation te fait l'effet d'un fumigène à la surface de l'océan, lumineuse et intense - tu as beau savoir pertinemment que tu es une figure célèbre parmi les mutants contemporains, tu es tout de même pris au dépourvu ; peut-être bien que tu as perdu l'habitude. tu l'observes paresseusement alors qu'il se précipite vers l'ascenseur, émerge nerveusement de la cabine- (une écorchure de plus quand ses yeux s'arrêtent sur le fauteuil, sur tes jambes inertes. tu retiens difficilement une grimace.)

le voilà qui te parle.
le moins que l'on puisse dire, c'est que son débit de parole est impressionant - si tu n'étais pas simultanément connecté à son cortex préfrontal, tu es quasiment certain que tu n'aurais rien compris à ce qu'il te raconte. peter parker, dix-sept ans. l'homme araignée, tu comprends. ça t'arrache un sourire : il aurait certainement pu être ton élève. dans une autre vie, peut-être - si l'institut n'avait pas fermé ses portes... je vous admire depuis super longtemps, dit-il, avec une telle passion que même si tu n'avais pas pu lire directement dans sa tête tu n'aurais pas douté une seule seconde de sa sincérité. c'est un sentiment agréable- (tu voudrais quand même qu'il cesse de te vouvoyer. tu es peut-être tétraplégique, mais tu n'es pas un vieux bonhomme chauve et vénérable.)

- peter, tu déclares précipitamment (c'est comme la corde à sauter - il faut trouver le bon moment pour interrompre un monologue, et tu commençais à avoir peur qu'il ne cesse jamais de parler), nul besoin de toutes ces formalités. tu peux m'appeler charles. tu lui adresses ton plus brillant sourire (ça ne t'est plus vraiment naturel, mais les muscles n'oublient jamais). excuse-moi si je ne me lève pas... tu lui tends la main. j'ai fait très bon voyage, merci. on peut commencer par la cafétéria, si tu permets. je ne refuserais pas un café.




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FONDATEUR - SPIDERMAN
Peter Parker
Crédits : -594
Peter Parker

Dim 23 Sep - 19:45



spiderman welcoming

w/ charles xavier



musique - AAAH FDQKJFQJ mon dieu il te paRLE. Oui, tu sais que c'est ce que fait le commun des mortels quand on lui adresse la parole, c'est noRMAL mais QUAND MÊME. Dès l'instant où il annonce que tu pourras désormais l'appeler Charles, tu te sens mourir sur place. Oh oui, t'as les jambes qui tremblent, t'as envie de pleurer et de rougir telle la pire des fangirls de seize ans mais tu fais tout en ton possible pour... te tenir correctement.

Après lui avoir serré la main - ohmondieuj'aiserrélamaindeprofesseurx - en y mettant le plus de fermeté possible, tu dis :

O-Oui, bien sûr !

Sans plus de cérémonie, tu l'invites à te suivre jusqu'à la cafétéria. Il n'est pas difficile de se repérer au sein de l'établissement, tout est indiqué sur des pancartes accrochées au mur et, en trois minutes seulement, vous voilà en plein coeur d'une pièce pratiquement vide. Quelques héros en tenue se promènent ici et là, masques dans la main ou non. Tu les salues d'un regard à peine tandis qu'ils s'interrogent sur ta présence aux côtés d'une telle figure.

Tu lui attrapes une tasse de café et la déposes sur la table à laquelle vous avez élu domicile pour l'instant. Tu oses à peine t'asseoir à ton tour.

Alors euhm, dites-moi... Tu fixes à droite, à gauche, et, tout bas, comme un secret, tu continues : Vous pouvez lire dans mes pensées, du coup ? Est-ce que ça veut dire que vous pouvez anticiper ce que je vais faire ? Parce que quand on s'apprête à faire quelque chose, on se dit dans notre tête tiens et si je faisais ça, non ? Du coup... Vous devez être super fort pour esquiver des attaques... Non ?

En toute honnêteté t'es pas sûr de savoir pourquoi il a fini en fauteuil si soudainement, et t'espères que c'est pas parce qu'il est pas si bon que ça en esquive. Tu grimaces.

Pardon, je suis vraiment nerveux... J'ai beau être ici depuis quelques mois et être un héros moi-même, me retrouver entouré de personnes si géniales... Tu lâches un soupir, d'extase mais aussi d'embarras.

On vous a confié une mission pour que vous veniez jusqu'ici ?


coded by blair of shine & ooc


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PROFESSEUR X
Charles Xavier
Crédits : 0
Charles Xavier

Dim 30 Sep - 18:00


running up that hill - son enthousiasme adolescent t'arrache un sourire.
il paraît qu'on ne change pas - pourtant à le regarder se tortiller sur place, les joues en feu et l'esprit en pagaille, tu as comme l'impression qu'un jour, tu as adopté des comportements similaires ; peut-être bien qu'à présent tu n'es plus que l'ombre de toi-même. tu te sens à des années-lumières de ses préoccupations enfantines. (mais toi, qu'est-ce que tu faisais, à dix-sept ans ? à dix-sept ans, tout ce que tu avais en tête c'était boire et draguer, faire bien voir à tout le monde que tu étais plus intelligent, plus mature, meilleur qu'eux. on est pas sérieux quand on a dix-sept ans.)

tu le suis dans les couloirs, à la fois vexé et conforté par le fait qu'il n'ait pas offert de te pousser (ça te fait toujours une belle ecchymose à l'ego, mais tout de même, c'est une question de bonnes manières, tu supposes). sur chaque mur, d'immenses pancartes pointent dans toutes les directions, toujours affublées des initiales de l'association en grandes lettres bleues (e.r.k -ça te ferait rire si ne c'était pas triste à en pleurer. son nom partout où tu regardes, où que tu ailles.). tu es si bien occupé à essayer de ne rien voir en particulier que tu remarques à peine que vous êtes arrivés, remarques à peine l'étonnement et l'excitation que ton arrivée provoque (ça leur apporte de l'espoir, tu le sais, au fond, que tout le monde a besoin d'espoir). tu  ne reviens réellement à la réalité que lorsque peter dépose triomphalement une tasse fumante sur la table. tu en auras besoin pour faire face à l'inévitable conversation qui t'attend, en la personne du jeune héro qui tient à peine en place. vous pouvez lire dans mes pensées, du coup ? est-ce que ça veut dire que vous pouvez anticiper ce que je vais faire ? parce que quand on s'apprête à faire quelque chose, on se dit dans notre tête tiens et si je faisais ça, non ? du coup... vous devez être super fort pour esquiver des attaques... non ? ses yeux retombent sur ton fauteuil. il grimace. tu grimaces. tu sais que ce n'est pas réellement sa faute, mais ça ne t'empêche pas d'envisager l'espace d'une seconde de le neutraliser pour une petite demie-heure, le temps d'absorber une solide dose de caféine. tu t'abstiens, pourtant - tu es presque certain que tes nouveaux supérieurs n'apprécieraient qu'à moitié. pardon, je suis vraiment nerveux... j'ai beau être ici depuis quelques mois et être un héros moi-même, me retrouver entouré de personnes si géniales... on vous a confié une mission pour que vous veniez jusqu'ici ?

tu hésites un instant puis, en désespoir de cause, projettes résolument une aura cordiale et bienveillante autour de toi (tu as toujours l'air épuisé et vaguement irrité sous la surface, mais ton déguisement mental devrait faire l'affaire) avant de lui répondres.

- tu sais, peter, c'est un peu plus compliqué que ça. une gorgée de café te brûle la gorge. tu déglutis péniblement. les humains sont avant tout des animaux, et donc des créatures d'instincts et de réflexes, rarement prémédités, en particulier dans les situations stressantes. pris au piège, la plupart d'entre nous ne réfléchissent pas nécessairement avant d'agir. je ne peux pas non plus... je ne peux pas non plus prévoir les accidents.  tu tousses. par contre, je peux entendre ce que tu penses en temps réel, à n'importe quel moment. il te serait très difficile de me battre aux échecs. un pincement au coeur supplémentaire - ça va faire huit ans maintenant que tu ne joues plus. si j'insiste un peu, je peux remonter dans ta mémoire et revisiter ta vie, comme tu t'en souviens. je peux également manipuler ta perception, ou tes souvenirs. ou te parler sans ouvrir la bouche. c'est un don très versatile. un don que beaucoup t'envient. tu ris amèrement. bien sûr, je ne suis pas le seul télépathe des environs, mais on s'accorde à dire que je suis le plus accompli. un autre télépathe pourrait contrer mes talents, par exemple, comme un bouclier. tu t'entends ressasser les mêmes inepties qui intéressaient tant tes élèves, il y a des années de ça. tu pourrais te gifler. vieux paternaliste. je suis venu parce que je peux apporter mon aide, et que je considère avoir un devoir envers mes semblables, tout simplement. tu es venu parce que tu es un lâche et que tu n'aurais pas supporté une seconde les murs hantés de westchester. ses allées vides. pour être tout à fait honnête avec toi, je n'avais pas grand chose de plus intéressant à faire. mais je t'ennuie, n'est-ce pas ? parle-moi plutôt de toi. qu'est-ce que tu peux faire ?




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FONDATEUR - SPIDERMAN
Peter Parker
Crédits : -594
Peter Parker

Ven 5 Oct - 21:52



spiderman welcoming

w/ charles xavier



musique - Tu bois ses paroles comme le ferait un adepte face à son gourou. Entendre de tels discours de la part d'un personnage que tu admires tant fait battre ton palpitant toujours un peu plus fort. Tu ne souris pas, tu te penches au-dessus de la table, les avant-bras écrasés sur cette dernière, les yeux plantés dans les siens tandis qu'il te conte l'étendue de ses capacités. Il te faut cependant un petit instant pour que l'information concernant sa lecture de tes pensées remonte jusqu'à ton cerveau. Tu te sens soudainement pire qu'embarrassé, tu peines à cacher le rose de tes pommettes. T'as même un mouvement de recul, comme si cela allait l'arrêter de lire en toi comme dans un livre ouvert. (En soit, tout le monde peut l'faire, tellement tu parles et tellement tu es expressif, mais comme bien des gens t'as ton petit jardin secret et c'est forcément gênant lorsque quelqu'un s'y introduit).

Tu essayes d'arrêter de penser avant de réaliser que c'est tout bonnement impossible. Puisqu'en essayant, tu ne fais que répéter dans ta tête arrête de penser, arrêter de penser, tout en ayant des faces de chatons dans des champs de fleur, des souvenirs honteux, douloureux, heureux, se mêlant à tout ça. Un beau mélange explosif que tu devines, très bizarre, au vu du regard que Charles te lance. Tu déglutis.

C'est... euhm, c'est dingue. Je suis impressionné. Et bouche bée... Tu fronces les sourcils. C'est la même chose, non ? Peu importe, Peter, peu importe !

Il y a énormément de gens ici avec des pouvoirs plutôt physiques que psychiques. Ça explique ma curiosité et... Et votre réputation n'est plus à refaire, je veux dire.

Tu rêvasses déjà, te battant aux côtés du Professeur X. Tu peines à dissimuler un sourire de fierté (oui, parce que tu espères sincèrement que ça arrivera). Toujours est-il que tu n'as pas répondu à ses questions et qu'il doit attendre encore, entre deux songes immatures.

Me concernant... Plutôt que de parler, tu préfères montrer. Si bien que d'une toile, tu saisis le sucre dans votre dos pour le ramener sur la table. J'ai été piqué par une araignée radioactive. Voilà le résultat. Tu souris, car c'est bien la meilleure chose qui te soit arrivée dans ta misérable existence. Tu ne le regrettes pas, quand bien même l'appellation radioactive peut en faire frémir plus d'un de dégoût. Je lance des toiles. Comme vous pouvez le voir, elles sont solides et adhères à toutes les surfaces. Je peux marcher aux murs, aux plafonds... J'ai des sens améliorés, aussi. Citer toutes tes capacités pourrait sembler peu humble mais tu le fais avec tellement d'innocence qu'il est difficile de le prendre en compte. J'ai également ce qu'on peut appeler une super force... Une fois, j'ai empêché un bateau de s'affaisser en deux. Mais euh, c'est une longue histoire !

Une histoire qui remonte à plus d'un an déjà. Là où Tony Stark t'avait sévèrement puni. Tu préfères ne pas y penser, c'était vraiment la loose.

Tu soupires et te laisses tomber sur la chaise en face de lui.

Ça paraît génial, on me le dit souvent, mais ici, on ne me prend pas beaucoup au sérieux... Je sais que je suis tête en l'air et que j'ai seulement dix-sept ans mais j'aimerai qu'ils me voient comme l'un des leurs... Pas simplement comme un apprenti. Tu te grattes l'arrière du crâne. Pardon, je ne devrai pas vous parler de tout ça.

Changement de sujet dans 3, 2, 1...

Pardon si ma question est indélicate mais... Qu'est-ce qui vous est arrivé pour que vous... Enfin, que vous finissiez en fauteuil ?


coded by blair of shine & ooc


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