si le monde est à moi, le monde est à nous.

my idea of "help from above"
is a sniper on the roof

alias madre, la reine des monstres
age 33 ans
race humaine mutante
origines égyptiennes & américaines
statut financier riche
groupe antis
occupation marraine du paneb's club

Méfiez-vous du charme divin de Dalida. Ce pouvoir redoutable pourrait vous jouer plus d'un tour, si elle n'avait pas la clémence de vous épargner. En l’occurrence, ses lunettes de soleil ne sont pas qu'un simple accessoire de mode, mais permettent d'en contrer l'effet. Dès que son visage est entièrement découvert, les hommes tombent devant elle, consommés par un amour sans fin, extatiques, infatués. Ce n'est pas qu'elle n'aime pas s'en servir ; c'est que la facilité l'ennuie. Passif, l'efficacité de son pouvoir diminue au fur et à mesure que la distance entre vous augmente. Les phéromones qu'elle émet sont au summum de leur puissance sur les humains, les erogs et les krärns - sur les autres aliens, son pouvoir produit un effet de captivation : elle retient leur attention de manière particulière, comme s'ils étaient captivés ou fascinés, mais ne les séduit pas forcément.

no one hurts my family and lives

avisée, charismatique, sévère, éloquente, déterminée, orgueilleuse, ambitieuse, directe, juste, susceptible, impatiente, responsable, généreuse, calculatrice

La Providence a pris un nouveau visage à Cosmopolis. Dans les cieux ténébreux et nuageux qui grattent le toit des bâtisses où les mortels se terrent, un regard enflammé contemple son œuvre.

Dalida n'est pas comme nous. Sa main est de fer, son cœur est d'or, son visage est en marbre et ses yeux sont un poison. C'est une chimère intrinsèquement urbaine, un sphynx enfanté par un monde de violence. Seule la barbarie des humains désœuvrés était à même de l'engendrer.

On ne naît pas monstre, on le devient. Dalida est une femme endurcie par les tempêtes qu'elle a fendu et les ouragans qu'elle a traversé. Cruauté serait un mot bien faible pour décrire les actes que commettent les pires rejets de cette planète mourante – il le serait encore plus pour effleurer les atrocités dont elle est capable.

La vie s'est jouée d'elle, et l'a poussée du haut de la falaise des destins bouleversés. Il faut tomber bien bas pour savoir trôner si haut. Il faut voir la mort de près pour savoir l'offrir si bien. La peur, c'est comme l'amour : il faut l'avoir vécu pour savoir le faire.

Car sa prestance impressionne, et son nom terrifie. Dalida et les golems qui collent à l'ombre de ses pas forment une vision réputée pour être funeste. C'est d'un claquement de doigt qu'elle fera sonner le glas des effrontés, et d'un roulement de langue qu'elle fera danser les ânes empaquetés dans leurs costumes étriqués.

Elle a la réputation de tout voir, tout savoir, tout décider, tout faire. Il ne faut pas exagérer, c'est une humaine après tout. Mais elle connaît bien son monde, et elle sait déjà que la puissance d'un nom fait généralement la moitié du travail. C'est pour cela qu'elle a donné le sien aux monstres qu'elle guide par sa lumière. C'est pour cela que le Paneb's Club n'a ni déserteurs, ni impertinents, ni traîtres.

Dalida est dure mais ce n'est pas la rage qui l'anime. Elle sait ce qu'elle fait, et c'est pour ça qu'elle le fait si bien.
On ne naît pas roi, on le devient.

dc d'apex / 23 / f
j'ai craqué
jveux etre la reine des monstres