ANNÉE 1983, DAVID, DERRICK ET DUSTIN, PASSIONNÉS PAR LA SCIENCE-FICTION ET LA POP CULTURE, DÉCIDENT D'ENVOYER UN MESSAGE DANS L'ESPACE GRÂCE À UN ORDINATEUR SOPHISTIQUÉ DEPUIS LEUR PETIT GARAGE À COSMOPOLIS, DANS LE CONNECTICUT. PUIS C'EST PARTI EN COUILLE.PLUS DE TRENTE ANS APRÈS, GRÂCE AUX EXPLOITS INFORMATIQUES DES "3D" (POUR "THREE DICKS"), LES ALIENS FOULENT ENFIN LE SOL TERRESTRE ! MAIS À QUEL PRIX ? C'ÉTAIT À L'ÉPOQUE UNE SIMPLE PASSION. NI FEMME, NI EMPLOI, DAVID, DERRICK ET DUSTIN ONT PASSÉ LE PLUS CLAIR DE LEUR TEMPS (ET LEUR VIE) À ÉTUDIER L'ESPACE ET LA POSSIBILITÉ DE LA VIE AILLEURS QUE SUR NOTRE BELLE PLANÈTE. SANS DIPLÔMES OU CERTIFICATS, ILS SE CONTENTENT DE CONCEVOIR DES ORDINATEURS ET AUTRES SOFTWARES CHEZ EUX DANS LE SEUL INTÉRÊT D'ENVOYER UN MESSAGE AU-DELÀ DE LA SURFACE TERRESTRE. ILS L'ONT APPELÉ CODE COSMO EN HOMMAGE À LEUR VILLE CHÉRIE (C'EST FAUX, ILS N'ONT JUSTE AUCUNE IMAGINATION), COSMOPOLIS.
EN COURS D'AFFICHAGE (WADE ET LE CODE SE BATTENT)

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four acts of murphy

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Ven 29 Juin - 9:35

Phoebe Ashley Murphy

juste murphy

alias : murphy, juste murphy, pas phoebe pas ashley, murphy rien que murphy (sa famille l'appelle Bebe)
âge : 25 bougies sur le gâteau
race : bâtarde (métisse humaine & erog)
statut financier : fausse fourrure, bagues en toc, c'est pas la folie
groupe : boom (bitch, get out the way, get get out the way)
occupation : aide mécano dans le garage de son oncle, elle fait quelques passes pour arrondir les fins de mois
origine : américaine (Nebraska aka l'état des consanguins)
pouvoir : force surhumaine & booty en béton


audacieuse // courageuse // révoltée // solidaire (avec sa famille & ses potos faut pas déconner non plus // rationnelle // piste mal // reine de la provoc // tape à l'oeil // shopping addict // frivole // dragueuse invétérée // appétit d'oiseau // tiens bien l'alcool // aime pas beaucoup les mecs, gardez vos distances // bagarreuse // rancunière // délurée // débrouillarde // sa douche c'est son moment privilégié // chante faux // chante tout le temps // n'esquive pas les projectiles quand elle chante // change de couleur de cheveux en permanence // habite dans une vieille baraque pourri du 12 avec sa mère, son oncle et ses quatre enfants, sa grand mère qui a alzheimer, son cousin // on se demande souvent qui du cousin ou de l'oncle est le plus débile // se maquille beaucoup trop // sauf quand elle travaille au garage // pas douée pour les tâches précises // super méga forte // entre dans une colère folle quand on lui dit que son taf est mal fait // elle a du arrêter l'école à 15 ans parce qu'elle avait envoyé un prof dans le tableau // quand elle écrit c'est plein de fautes // du coup elle fait des petits dessins bizarres sur ses mots pour qu'on oublie les fautes // elle aime pas les riches // quand elle doit manger un humain, elle attaque un riche // son style vestimentaire oscille entre provoc bizarre et le mauvais goût // clope plus vite que son ombre // a un couteau cranté toujours sur la guibole // elle partage sa chambre avec son cousin, ils tirent à pile ou face quand il faut libérer l'espace // sa mère, son oncle et son cousin savent pour son régime alimentaire particulier et l'aident quand elle en a besoin

(jsuis nulle pour faire des traits de caractères du coup y a des facts aussi mdr jmets tout ce qui me passe par la tête)










camouflage

« T’vois quand t’chasses Bebe, faut toooout svoir sur là où qu’tu mets les pieds. » Et mini Murphy ouvrait sa petite bouche admirative, observant de la tête au pied Bryan, son oncle en treillis militaire, bardé de cartouches en ceinture et le visage couvert de peinture camouflage.
« T’vois dans l’Nebraska, c’tait bien dur d’chasser, y’a qu’des pleines sèches et des coyotes. Mais nous on va en forêt t’entends Bebe ! Alors file cette veste et rgarde moi j’vais t’discréter. » Disait il en approchant du visage de la gamine la peinture kaki qu’il étalait en couche épaisse de sa grosse main d’ours.
« Vla, t’comprends ptite, faut t’fondre dans la masse d’la forêt. T’es la forêt compris ? » Et elle hochait la tête, ravie que son oncle l’emmène avec lui chasser dans la forêt. Elle mouftait pas, et caressait des yeux la crosse de la carabine. Non, bien trop jeune trop maladroite pour n’avoir ne serait-ce que le privilège de porter l’arme. Mais elle avait sur son dos le sac à pique nique, qui faisait gling gling quand elle bougeait trop. Tonton a toujours besoin d’un ptit remontant, à tout moment de la journée.


En fredonnant, elle appliquait en couche épaisse son fond de teint, devant le vieux miroir fendu de la salle de bain commune à tout les habitants de la maison. Si on pouvait appeler ce taudis une maison. Puis elle attrapait ses pinceaux et ses fards plus ou moins sombre, pour travailler son contouring, modifier légèrement la forme de son visage. Sans trembler, elle posait sur ses pupilles grises des lentilles noisettes. Elle achevait son look en fixant une épaisse perruque rousse sur son crâne, et passait sans hésitation le pinceau de son rouge sur ses lèvres.
À ce moment là, son cousin ouvrait brutalement la porte de la salle de bain, et sursautait en découvrant Murphy.
« S’lut Bebe, on s’connaît toi et moi ? T’as un ptit numéro ?
- T’es con Dick, bouge d’là où c’est toi qu’j’bouffe c’mois-ci. »
Elle lui donnait un coup d’épaule pour passer, et s’installait dans leur chambre commune, près de la fenêtre. Téléphone en l’air, elle cherchait son angle le plus avantageux.
« Mais t’fais quoi là ? » Demandait il, en passant la tête dans l’encadrement, sans oser rentrer entièrement.
« Jme fonds dans la masse, j’suis la forêt. » Répondait elle, esquissant un sourire carnassier, tandis que son cousin fermait la porte dans un grincement sinistre.

traque

« Bon maintenant Bebe, tu t’tais, t’sais bien qu’c’est pas le moment d’chanter pigé ? » Elle entrouvrait sa petite bouche pour dire oui, mais la refermait aussi sec, sous l’oeil approbateur de son oncle. Ils avaient bien avancés, quittant les petits sentiers de promenade, s’enfonçant dans la partie inexplorée de la forêt. Il adoptait depuis le début une étrange démarche, et sans vraiment comprendre, mini Murphy tentait de suivre la cadence, sans faire le moindre bruit.
« T’vois Bebe, faut pas faire d’connerie. La moind’connerie, c’est risquer d’se faire r’pérer par les bestioles, et là c’tout chié. » Elle hochait la tête et s’appliquait de plus belle à ne pas faire un seul bruit. Et ses petits yeux cherchaient à travers les branches épaisses la moindre trace de vie. Ils attendaient des heures. Quand soudain, d’entre le murmure du vent dans les arbres, se faisait entendre le bruissement de pas léger sur le tapis de feuilles mortes et de mousses. Murphy voyait, les deux mains plaquées sur sa bouche, la courbe gracieuse de l’échine, la robe brune tachetée de blanc, la finesse des membres, la douceur pure qui émanait de l’animal, le museau fouillant innocemment le creux d’un arbre.


Elle zappait les profils qui lui avaient envoyé un message privé, allongée sur le ventre, jambes en l’air qu’elle balançait d’avant en arrière, au rythme de la musique. Ils étaient plutôt nombreux (sans vanité aucune) à l’avoir contactée après qu’elle ait posté ses derniers selfies. Mais il fallait chercher le bon. Pas un trop poilu, ni trop maigre, ou un pauvre, dégage le type sans photo. Ça pouvait prendre des heures, mais Murphy est exigeante, hors de question de faire n’importe quoi. On ne court pas un lièvre quand on peut choper une biche, c’est logique. Mais souvent, elle tombe sur un John Smith plus rapidement qu’elle espérait. Un John Smith, c’est un mec moyen, qui a un peu de thune de côté, lui permettant de mépriser ceux qui n’ont pas réussi là où il a pu faire ses ronds. Il a quelques cheveux blancs, le crâne qui commence à se dégarnir, et du bide. Sa vie est posée, il part en vacances au même endroit tout les étés, avec ses deux enfants et sa femme insipide. Elle le détestait, et pourtant elle acceptait rapidement d’aller boire un verre le lendemain.

Dans un bar sympa du centre, au dessus de ses moyens à elle. Vêtue d’une simple robe noire, faussement ingénue, sa perruque bien fixée sur son crâne, elle remettait de temps à autre une mèche rousse derrière son oreille, un petit sourire innocent sur ses lèvres. Il n’était pas drôle, il essayait pourtant.
« On… on y va ? » finissait il par lâcher, avec tellement d’hésitation dans sa voix, que ça aurait pu être touchant. Mais Murphy se contentait d’hocher la tête, dissimulant avec difficulté son grand sourire.

(mise à) mort

« Eh pourquoi qu’tu tires pas tonton ? » demandait elle en chuchotant, attendant la mise à mort avec impatience. Ça faisait bien une dizaine de minutes qu’ils attendaient, accroupis dans les fourrés, que l’animal présente un meilleur angle. Elle avait eu tout le loisir de l’admirer. La grâce, la fragilité réunie, pourtant si paisible, si heureuse, si douce. Mini Murphy aurait presqu’envie de l’épargner. Dans d’autres circonstances, elle aurait pleuré, sachant d’avance quel triste destin menaçait l’animal. Mais quand on vient du 12, quand on sent la faim tirailler, quand on voit ceux que l’on aime se tuer à la tâche pour nourrir les bouches incapables de le faire d’elle même, quand on ressent tout ça, on se tait. Et mini Murphy sentait que son ventre grondait, qu’il fallait qu’elle apprenne à chasser, pour ne plus jamais ressentir cette terrible sensation.
PAN le coup partait, la balle fusait, et transperçait l’animal. Elle voyait le sang jaillir, tâcher le pelage immaculé, la pureté de la créature, qui tentait, malgré la douleur, de bondir plus loin. Mais Murphy ne pouvait pas la laisser partir. Parce qu’elle ne tolérait pas le gâchis. Vive comme l’éclair, elle s’échappait de la fourrée, à la poursuite de la pauvre biche, mourante quelques mètres plus loin. Elle la caressait, du bout des doigts, en la remerciant de sa petite voix, retenant du mieux qu’elle puisse les sanglots coincé dans sa gorge.


Elle lui avait dit d’aller réserver la chambre sans elle, qu’elle le rejoindrait, qu’il fallait qu’elle aille chercher sa voiture. Si on pouvait appeler ce tas de ferraille immonde voiture. Dick l’attendait, au volant. Depuis qu’elle avait arraché le volant du précédent, on lui interdisait de conduire. Il lui passait la grande valise sur le siège arrière, sans un mot, et repartait dans un grondement de moteur.
Rentrant dans la chambre discrètement, il l’attendait, un verre dans chaque main, et observait, interloqué, l’énorme valise qu’elle traînait derrière elle.
« Ça, c’est pour pimenter un peu, mes clients ont souvent de drôles de fantasmes ! » déclarait elle dans un petit rire taquin. Il hochait la tête, assurant ne pas avoir d’idées tordues en tête. Il voulait juste qu’elle se déshabille en pleine lumière ‘’parce que tu comprends, ma femme préfère qu’on fasse ça dans le noir’’.
Murphy est professionnelle, elle aime les choses bien faites. Il avait allongé l’argent dès lors que son string en dentelle s’était retrouvé à ses pieds. Après trois minutes où il semblait donner toute son énergie, il se laissait tomber sur le lit, en reprenant son souffle. Elle s’allumait une cigarette, accoudée sur la rambarde de la fenêtre. Il avait payé pour une heure, elle ne pouvait pas se tirer comme ça.
« Eh, il y a quoi du coup dans ta valise ?
- Je croyais que tu n’avais pas d’idées tordues.
- Il faut croire que j’ai changé d’avis, finalement. Et puis je t’ai payée pour une heure !
- Oui oui. Tu ne voudrais pas prendre une douche avant ?
- Non, je veux voir ! »
Elle se levait, mais pas assez vite, puisqu’il ouvrait déjà la valise. Il restait stupéfait quand il découvrait son contenu. Une bâche en plastique, des lingettes  nettoyantes et des pains de glaces. Il ne bougeait plus. Parce qu’il avait compris. Il n’osait pas se retourner, se jetant en avant pour courir jusqu’à la porte. C’était trop tard pour lui. Murphy avait bondi, comme une lionne sur sa proie, et s’étaient accroché à son dos nu, passant le bras autour de son cou.
« On ne t’a jamais appris à ne pas fouiller dans les affaires d’une dame ? » Murmurait elle au creux de son oreille, avant de lui briser froidement la nuque.
Elle laissait tomber son corps sans vie sur le tapis et retournait à sa valise. Elle agissait désormais de manière méthodique. Elle étalait la bâche sur le sol, avant d’y déposer le corps nu et encore chaud de sa victime. Elle avait prévu de le tuer après sa douche, une fois qu’il serait propre et détendu. tant pis. Un à un, elle cassait chacun de ses membres, sans qu’une seule goutte de sang ne puisse couler. Puis elle pliait le corps et l’emballait dans la bâche, de manière à ce qu’il entre sans trop de difficulté dans la valise. Puis, s’armant de ses lingettes, elle nettoyait tout ce qui avait été au contact de leurs corps. Elle enlevait les draps, qu’elle abandonnait dans la salle de bain, récupéra les vêtements de sa victime qu’elle pliait dans la valise, mais prenait soin de garder son porte feuille et son téléphone. Enfin elle sortait, tirant sa valise sans difficulté.

festin

« M’man, pourquoi ça sent pas bon cque tu cuisine… » Mini Murphy attendait, assise par terre, à côté de sa mère, qui s’évertuait à faire cuire la viande qu’ils avaient chassé. Pour toute réponse, sa mère lui donnait un coup de pied dans la cuisse pour qu’elle s’éloigne de là. La gamine se levait, et s’approchait de sa grand mère, le regard vide, vissée dans sa chaise roulante de fortune.
« M’maaaaaaaaaaaaaaaaan pourquoi Mémé elle baaaave… » Sa mère soupirait, et s’approchait de sa propre mère, pour essuyer avec tendresse le filet de bave qui ruisselait le long de son menton. Elle allait retourner vers ses fourneaux quand elle remarquait Murphy, la tête inclinée, attendant une réponse. Alors elle se penchait en avant, l’air sévère.
« Mémé bave parce qu’elle a pris d’la drogue quand elle était jeune. C’est très mal la drogue Bebe t’as compris ? » Disait elle avant de se redresser et d’allumer la cinquième cigarette de sa journée. Avec nonchalance, elle s’attelait à nouveau derrière la poêle, faisant sauter les morceaux de viande.
« Et pourquoooi on fait cuire la viande ? C’pas bon cru ?
-Nan, c’pas bon, c’mieux cuit, sinon tu peux être malade, et ça coûte cher d’être malade. »
Déjà crue, la viande de la biche lui semblait mauvaise, mais l’odeur qui émanait de la poêle dégoûtait Murphy de la viande cuite.
«  Et M’maaaan c’est quoi quand on aime pas manger d’la viande ?
-ça s’appelle les végétariens.
-alors moi chui végétarien hein M’maan ? » Et sa mère esquissait un sourire, se penchant sur sa fille adorée. Elle lui caressait la joue, doucement.
« C’est plus compliqué qu’ça ma chérie. »


Murphy chantonnait en rangeant avec méthode dans le congélateur. Il ne fallait surtout pas mélanger les sacs, son oncle la décapiterait si ses petits cousins et cousines (Bryan junior, Brandon, Brenda et Liza) venaient à manger de la chair humaine.
Son ventre gargouillait. Pas de cette faim tiraillante contre laquelle on ne pouvait lutter non, mais de cet appétit d’ogre qui sait que le meilleur va bientôt se trouver dans son assiette. Elle avait mis à mariner les yeux verts dans de l’huile, qu’elle utiliserait en guise d’olive pour son prochain martini. Dieu sait à quel point elle aimait manger les yeux de cette manière. Mais pour l’heure, elle devait manger rapidement le meilleur : les abats. Tard dans la nuit, une fois que chacun des membres de sa famille avait déserté la cuisine, cuisine qui servait en fait de pièce à vivre, elle fit griller à la poêle les morceaux de foie et de coeur. Elle se sentait si bien.
JME PRESENTE, JE M'APPELLE HENRI (sid enchantée), JVOUDRAIS BIEN RÉUSSIR MA VIEE (lol, qui ne le voudrait pas boloss), ÊTRE AIMÉ (je n'aspire qu'à la haine et l'isolation sur une île), ÊTRE BEAU, GAGNER DE L'ARGENT, PUIS SOURTOUT ÊTRE INTELLIGENT, MAIS POUR TOUT ÇA IL FAUDRAIT QUE JBOSSE A PLEIN TEMPS (comme dirait Manu, tu feras la révolution quand tu auras un diplôme et que tu pourras te nourrir tout seul tiens pan boloss)
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Ven 29 Juin - 10:08
C'est bien Baudelaire mais vivement la suite de ta fiche . Murphy a l'air cool et stylé. Hâte de voir ce que ça va donner :h2:

Citation :
faut que j'aille acheter de quoi faire des roulés à la saucisse

Les roulés à la saucisse c'est la vie omg !!
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Invité

Ven 29 Juin - 13:09
merci bichette 8) :love:
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BOSS DE BOOM - ACE
Arsène R. Walker
Crédits : 2
Arsène R. Walker

Ven 29 Juin - 13:47
Phoebe A. Murphy a écrit:
boom (bitch, get out the way, get get out the way)
je t'aime déjà

tous les gens de BOOM qui arrivent en ce moment sont trop cool je pleure beaucoup
ce début de fiche est très prometteur, Phoebe est vraiment (désolé d'avance) explosive ! courage pour la suite, et bienvenue :love:
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Invité
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Invité

Ven 29 Juin - 21:25
Merci le s :love:
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Invité

Ven 29 Juin - 22:01
provoc gurl a écrit:
clope plus vite que son ombre

MDR J'ADORE.

bienvenue, c'est hyper bien les fun facts et le shoot de caractéristiques, ça va straight to the point et elle fait plutôt rire quand on lit une partie d'elle, phoebe, alors c'est super !

j'aime tout particulièrement le métissage avec erog, c'est drôle pck il y a pas mal d'erog (métis ou pur alien) de ce que j'ai vu, y'a un message méta sur notre nature j'suis certain /OUT

bref, bon courage pour la suite ! <3
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Invité

Ven 29 Juin - 23:23
Hihihi merci chaton ! j'ai pas pisté tout le monde j'avoue qu'en lisant la description des erogs, ça m'a inspirée par rapport à l'idée de base :love:
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DAREDEVIL
Matt Murdock
Crédits : 0
Matt Murdock

Sam 30 Juin - 22:55
Aaah ce personnage est trop cool !!
Bienvenue et bon courage pour le reste de la fiche !
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Invité

Sam 30 Juin - 23:12
WAHOU MERCI (je crush en secret sur matt murdock olala) :love:
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Invité

Sam 30 Juin - 23:18
Bienvenue officiellement !!
Oh la la, je n'sais pas du tout quoi penser de ton personnage, elle a l'air ... fantasque ? Je n'sais pas si c'est l'bon mot but, well, elle envoie du lourd. Hâte d'en voir le bout !
Bon courage pour la suite poupée :h2:
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Invité
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Invité

Dim 1 Juil - 17:07
moooh c'est super gentil (oui je réponds juste maintenant ahem)

bref j'ai fini j'ai peur que ce soit juste archi violent ce que j'ai écrit ? ouin murphy est douce en vrai hein
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FONDATEUR - SPIDERMAN
Peter Parker
Crédits : -594
Peter Parker

Dim 1 Juil - 20:10

C'est dans la boîte !

Bienvenue sur le forum

Tout ce vert est tellement satisfaisant j'ai envie de courir dans l'herbe maintenant
Murphy est tellement creepycute que je ne sais où me placer mais tous tes personnages sont des perles de toute façon 8)

Tu peux désormais t'attarder sur la paperasse : recenser ton avatar, ton irl si tu en as un et ton métier. N'oublie pas d'aller poster ta fiche de liens ! Bon jeu !
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Invité
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Invité

Mer 4 Juil - 23:10
BONSOIR JE SUIS EN RETARD MAIS BIENVENUE QUAND MÊME ! ( ᐛ )و

Et j'adore ta fiche, je regrette pas le déplacement, c'était très sympa à lire. Les adjectifs/facts à propos du perso mettaient bien dans l'ambiance et le parallèle présent dans l'histoire était vachement efficace.

Je viendrais sûrement gratter un lien sur ta RS krkr.
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