ANNÉE 1983, DAVID, DERRICK ET DUSTIN, PASSIONNÉS PAR LA SCIENCE-FICTION ET LA POP CULTURE, DÉCIDENT D'ENVOYER UN MESSAGE DANS L'ESPACE GRÂCE À UN ORDINATEUR SOPHISTIQUÉ DEPUIS LEUR PETIT GARAGE À COSMOPOLIS, DANS LE CONNECTICUT. PUIS C'EST PARTI EN COUILLE.PLUS DE TRENTE ANS APRÈS, GRÂCE AUX EXPLOITS INFORMATIQUES DES "3D" (POUR "THREE DICKS"), LES ALIENS FOULENT ENFIN LE SOL TERRESTRE ! MAIS À QUEL PRIX ? C'ÉTAIT À L'ÉPOQUE UNE SIMPLE PASSION. NI FEMME, NI EMPLOI, DAVID, DERRICK ET DUSTIN ONT PASSÉ LE PLUS CLAIR DE LEUR TEMPS (ET LEUR VIE) À ÉTUDIER L'ESPACE ET LA POSSIBILITÉ DE LA VIE AILLEURS QUE SUR NOTRE BELLE PLANÈTE. SANS DIPLÔMES OU CERTIFICATS, ILS SE CONTENTENT DE CONCEVOIR DES ORDINATEURS ET AUTRES SOFTWARES CHEZ EUX DANS LE SEUL INTÉRÊT D'ENVOYER UN MESSAGE AU-DELÀ DE LA SURFACE TERRESTRE. ILS L'ONT APPELÉ CODE COSMO EN HOMMAGE À LEUR VILLE CHÉRIE (C'EST FAUX, ILS N'ONT JUSTE AUCUNE IMAGINATION), COSMOPOLIS.
EN COURS D'AFFICHAGE (WADE ET LE CODE SE BATTENT)

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surprise butt (wade)

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*
FONDATEUR - SPIDERMAN
Peter Parker
Crédits : -594
Peter Parker

Sam 25 Aoû - 18:19



surprise
butt

w/ deadpool





musique - Peter Benjamin Parker vous êtes ENCORE en retard pour votre couvre feu à la base Eurêka. J'espère que vous serez capable de nous fournir des excuses vis à vis de votre comportement et vos égards dernièrement. Oh merde, oh merde. Tu fermes ton téléphone aussitôt et tu cours dans la ruelle sombre la plus proche, entre deux poubelles. Au vu de tes notes dégringolantes, ton manque de discipline et de ton âge, tu es désormais prisonnier d'Eurêka, obligé de suivre des horaires bien strictes. Oui mais si tu étais majeur tout irait bien et nianiania qu'ils répètent sans cesse. Ils veulent un super héros ou jouer les nounous ?! Sérieusement...

Tu lâches un râle agacé. Il est déjà deux heures du matin et c'est vrai que tu n'avais pas vu le temps passer - la nuit est pourtant calme, mais tu t'es perdu dans tes pensées avec ton sandwich en haut de l'immeuble. D'accord, tu as passé ta soirée à scroller Facebook, Instagram et Twitter, juste pour avoir des news sur le petit Spiderman de Cosmopolis... Oui, d'accord, c'est très égocentrique, mais tu aimes savoir ce qu'il se dit de toi. Pour le moment, que du bien. Heureusement.

Enfin bref. Tu essayes de retirer ta combinaison. En vain. Ce machin est vraiment compliqué ET LONG, c'est pire que d'enfiler un jean mouillé. Ah, ça y est, ça glisse. Clic. Clic ? Qu'est-ce qui clic ?

Tu te retournes, à moitié nu.

Deadpool ?!

Qui vient de prendre une photo.

Et par extension, découvrir ton vrai visage.

Ni une, ni deux, tu renfiles tout ça illico presto, ainsi que ton masque, en espérant que la pénombre aie suffit à cacher ton identité un maximum (et c'est ouf que tu galères ENCORE à le remettre). Omg omg omg tu vas te faire tuer. Est-ce que tu viens de prendre une photo de mon cul ?! Ca faisait deux semaines que tu ne l'avais pas vu. Et il arrive, comme ça, comme une fleur. Supprime ça !


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CODE KING - DEADPOOL
Wade Wilson
Crédits : 7
Wade Wilson

Sam 25 Aoû - 19:28




SO PLEASE, LOVE ME DO


QUELQUE PART DANS UNE RUELLE.
02:06 a.m

Je me baladais sur l’avenue, le coeur ouvert à tous les culs, j’avais envie de dire bonjour à n’importe qui, n’importe qui ou n’import’quel cul et j’me disais « Wade, pourquoi pas à ce coin de rue t’arrêter ? » Je m’arrêtais et je voyais, dans l’ombre caché à moitié, un joli fessier. Lalala la la la laaaa.

Attend. Pause musicale. C’EST SPIDEYBOY. JE RÊVE PAS ? (En même temps, t’étais pas un peu beaucoup en train de le stalker ?) Non, trop pas. (Tu plaisantes ? Ça fait huit jours que tu lui colles au train comme une moule se colle à un rocher.) Superbe métaphore l’amie. (Merci, merci.) Putain j’le savais, j’le savais que c’était un putain d’adolescent de putain de jeune en phase de puberté de putain il est fucking sexy. PUTAIN IL EST SEXY.

Je le hais.
Je le hais.
Il est beau.
Je le hais.

Pas la peine de jouer les saintes effarouchées à renfiler ton masque, j’t’ai vu, j’t’ai vu toi et ton minois de minet de magazine. (Oh, oh, ça va, pas la peine de pester comme une vieille gargouille.) Je peste si j’veux ! Bon. Je peste plus. Je préfère fantasmer. Ouais, c’est mieux. Clic. Photo faite. Mon nouveau fond d’écran, hehehe. J’aime. Faudra que je pense à mettre un film protecteur sur la vitre, sait-on jamais qu’en me branlant je manque le mouchoir. (Gros dégueulasse.) « Bonjour mon amour ! » Je m’élance à son cou, l’enlace puis lui baise les joues une à une. « J’t’ai manqué ? »

J’adorerais rester dans cette position mais…non. Il va me piquer mon téléphone. Oh, oh, oh. DING DING ! (Quoi ding ding ?) C’est le bruit que fait mon cerveau quand j’ai une idée de ouf ! (C’était pas URGH PFH ADJO  ?) Connasse. (Bon vas-y, balance.) Je vais lui proposer un p’tit marché bien ficelé. Déjà, faut que je planque la marchandise. Mh. Où est-ce que Spidey n’ira pas chercher mon tel’ ?

Mh…………
RÉFLÉCHIS………

OUI !
DING DING !

Mon pantalon. « Je le mets dans mon slip, viens le chercher si tu l’oses… Ou alors… » (Je suis sûr t’es en train de prier pour que quelqu’un t’appelle, que ça vibre sous tes couilles et que t’en jouisses au sens propre.) J’ai pas l’esprit si mal placé ! (Si.) Ok, d’accord mais là n’est pas la question ! Arrête de m’embrouiller ! J’en étais où ? (T’as pas révélé l’idée ding ding n°1.) Exacte ! « Ou alors tu me suis, je t’emmène manger dans un petit restaurant mexicain sympa du quartier, on se dit des mots d’amour ET à la fin de la nuit, j’efface sous tes yeux la photos. Deal ? » (Tu ne vas pas le faire.) Bah non, t’as rêvé ! Le plus beau cul de Cosmopolis dans mon album photo, faut être con pour l’en retirer !

C’est doté d’un sourire on ne peut plus enthousiaste et avec une joie certaine qu’il accepte mon offre et (Non, non, tu le tires par un bras et comme d’habitude, tu lui laisses pas en placer une et p-) - ta gueule - qu’il me suit tandis que je nous mène hors de la ruelle. « J’ai pensé à toi, gamin, tous les jours. » (Tu comptes lui dire pour les nuits et les rêves mouillés ?) NON, je lui laisse son espace intime, on en a déjà discuté. « Plus la peine de garder le masque. Là où j’t’emmène, c’est tranquille, discret et posé. » Silence mélodramatique, je m’arrête tout à fait en face de lui. « Et y’a des churros sur la carte des desserts. » (Je t’ai rarement vu aussi attentionné.)  

« Raconte moi ta semaine. Pas trop dur le boulot ? » Je fais quoi là ? (Ouais, tu nous fais quoi là ?) Je couve une angine tu crois ? (Ou un complexe de femme au foyer chouchoutant son mari salarié ?) Une femme au foyer avec une jupe à fleurs alors. (Boloss.) Quoique… NON. (Un élan lucide ?) La jupe à fleurs, elle lui irait beaucoup mieux qu’à moi ! (… Pas faux.)
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FONDATEUR - SPIDERMAN
Peter Parker
Crédits : -594
Peter Parker

Sam 25 Aoû - 20:13



surprise
butt

w/ deadpool





musique - Et alors que tu t'apprêtes à lancer ta toile pour récupérer le téléphone, Deadpool fait un geste plus rapide, direction le pantalon. Tu roules des yeux. Bon, une chose est sûre, c'est que tu ne récupéreras pas cette photo de sitôt. Tu espères sincèrement qu'il gardera ça pour lui et tu ne veux jamais savoir ce qu'il en fera... s'il en fait quelque chose. De toute manière, tu es de dos. Et tu es tellement banal qu'il pourrait crier au loup que personne ne le croirait. (Tu te rassures comme tu peux.)

Comme à ses habitudes, il te traîne à sa suite on ne sait jamais où. Le problème, c'est que tu n'as pas le temps. Non Deadpool, j'ai un couvre feu je peux p- Et y a des churros sur la carte des desserts. Ok très bien, laisse moi juste me changer alors. Tu soupires. MAIS DES CHURROS. Ça fait des jours que t'en rêves (depuis votre dernière entrevue, à vrai dire) mais t'as plus un rond. Ou tout du moins, pas un rond que tu peux dépenser dans de tels écarts. Tu te défais de l'emprise de ton acolyte avant de repartir chercher ton sac et enfiler jean et veste par dessus ton costume - tant pis, tu retireras tout ça chez toi une bonne fois pour toute. Tu te sépares de ton masque, tant pis aussi. Ça ne sert plus à rien de te cacher désormais, hein ? Pitié que personne d'autre ne le remarque... et ce n'est pas gagné. Qui traîne avec un type en collant dans la rue si ce n'est qu'un autre type en collant ?

Tout va mal. J'ai un couvre feu maintenant, je dois rentrer à la base. Je l'ai encore raté. Et j'ai eu que des E à mes derniers examens je vais me faire tuer par ma tante et par Mr Stark et-... Hey ! Je suis pas un gamin ! J'ai dix-sept ans ! Tu tires la tête. Ras le bol de ces héros élitistes qui se pensent au-dessus des autres parce qu'ils ont quelques années de service derrière eux. Tu vaux tout autant ! En plus la plupart de ces personnes sont des héros qui le sont devenus sur le tard à tous les coups... Toi, à leur âge, tu seras sans doute cent fois plus impressionnant. Oui, oui. D'ailleurs, tu te demandes qui est Deadpool, de son âge à son identité entière. Tu réalises à quel point c'est frustrant, les masques, quand on est le seul à ne pas en porter.

Tu fixes son arrière train. Enfin, pas son arrière train à proprement parlé, juste le téléphone qui s'y trouve bien logé. Merde. Tu veux pas glisser ta main là dedans, il va s'emballer. Tu verras plus tard dans la soirée. Si jamais il ne tient pas parole, bien entendu.

Tu glisses tes mains dans les poches de ton sweat et le suis presque trop silencieusement. Bah bravo Peter Parker la pseudo pipelette.
T'en profites pour apprécier Cosmopolis de nuit - c'est à ce moment que tu préfères la ville. Avec ces couleurs, ces lumières, et surtout ce calme.

Enfin...
Presque.

S'il te plait, ne dis à personne que j'étais avec toi. Ni que tu m'as vu. Ni rien. Tu soupires. Mon vrai nom c'est Peter. Peter Parker.


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CODE KING - DEADPOOL
Wade Wilson
Crédits : 7
Wade Wilson

Sam 25 Aoû - 22:12




AMBIANCE ROMANTIQUE


EL BARRIO.
02:29 a.m

Oh la lose, le pauvre. Un couvre-feu ? C’est de l’esclavagisme ! Il devrait monter un syndicat, consulter un cabinet d’avocats ou peut-être en parler à des activistes ayant d’étroites relations avec des magazines ? (T’arrêtes d’exagérer le truc, please ?) Mh. C’est cool qu’il me suive. Chouette araignée. Sans son costume - EN PLUS - aaaaaah ça me fait chier aussi bien que ça me fait vibrer.

J’veux dire, il est tellement beau et sexy - comparé à lui, j’suis un plat de lasagne resté deux jours au four à 200°C. (Concentre-toi sur l’aspect fantasme plutôt que sur l’aspect jalousie.) J’suis pas jaloux. Sérieusement, je ne le suis pas. J’suis juste… Je ne sais pas. Ça me fait chier. Peter… En plus d’être beau et sexy, il me révèle son identité - je rêve. JE RÊVE ! Il m’offre si vite sa confiance ? Ça me fait chiiiiier. (Mais quoi ? Qu’est-ce qui te fait chier ?) JE NE SAIS PAS JUSTEMENT !

« Ça va, me sors pas la tête du chien prêt à mordre, j’me fiche que t’aies dix-sept piges ou quarante-cinq. Par contre, ce truc d’examen, de comptes à rendre, tout ça… Comment tu fais ? À ta place, j’me serais déjà tiré sur une île à l’ombre des cocotiers. » Non pas que ça m’intéresse mais… Si. Un peu. J’dirais même que, là, OUI, je suis jaloux - un tantinet. J’ai jamais connu ça moi ! Pourquoi j’ai jamais connu ça ? (Parce que t’es né branleur ?) M’ouais.

« Oh et chill, j’dirais rien. » J’aime Cosmopolis la nuit. C’est plutôt calme. La rue est pauvre de sa foule - il n’y a presque personne. J’espère que El Barrio sera ouvert - je crève la dalle. Surtout que si c’est fermé, ma super technique de drague tombe à l’eau. (Quelle technique ?) Ahaaaaaah, surprise ! (Je crains le pire).

Nous arrivons. L’enseigne est lumineuse - YES, GOD, YES ! C’est ouvert. Aaaah ce bon vieux Miguel, même de nuit il fait marcher les fourneaux. Il y a une poignée d’affamés nocturnes éparpillés entre les dix tables de la salle. Petit, chaleureux, bruyant - mon restaurant préféré. (Tu nous fais du sentimentalisme ?) NON, j’énumère un fait. (Oui, oui.)

« AAAAAH SENOOOR WADE ! » Oh le con, v’là pas qu’il vient de balancer mon prénom. « Pchhht, Miguel, je suis Francis, tu sais bien, hein, hein ! » Il me prend dans ses bras. « QU’ES QUE TOU’ DI SENOR WADE ? » Ok c’est mort. « Rien. Une table et tes meilleurs chimichangas, avec mh… Deux carafes de bières et des tacos pour l’entrée. » Il me sert trop fort - je suis pas une peluche ! « Si, si ! Muy bien ! »

La nappe jaune à carreaux rouges et aux tâches d’un autre âge sent étonnement le propre. Elle me plaît. J’la verrais bien sur ma commode basse de salon.Mh, mh. Miguel me la filera si j’lui demande. J’époussette un coin de celle-ci, m’affale amplement dans ma chaise puis lorgne allègrement mon futur mari. « Wade Wilson… » Grommellements de gargouille mal léchée - « …Puisqu’on en est au stade des présentations. » (Tu me tues. Je n’en reviens pas.) Chut. Si jamais un truc se passe mal, qu’il nous balance ou un truc dans le genre - je le tue et hop, plus de soucis. (C’est ça, me berne pas !) Chuuuut.

« Mi amor, c’est moi qui invite ce soir alors tu te fais plaisir ! » (Tu ne grommelles plus ?) Non, je ronronne. (Boloss.) Merde, faut que j’arrête de le fixer, j’vais avoir la trique. (Tu es d’un glamour…) À la lueur des chandelles, dans ce décors d'un Mexique des années 50 sur fond de guitare ensorceleuse... Avoue, il est craquant ! (Mh.)

« Un bachelor dans ton genre, ça n’a pas de copine dans le placard ? Tu me disais ne pas être puceau l’autre fois. Alors, raconte moi tout. Je suis toute ouïe, Peter. » (Tu es sûr de vouloir t’engager sur ce terrain ?) Oui, parce que s’il y’a bien un truc que j’ai capté avec ce gosse : plus tu le titilles, plus les réactions qu’il t’offre sont grandioses. (Moi j’crois que tu joues la fille qui pêche les infos et qui drague en faisant genre non j’t’aime pas, comme ces connes au lyc-) FERME-LÀ.
*
FONDATEUR - SPIDERMAN
Peter Parker
Crédits : -594
Peter Parker

Sam 25 Aoû - 23:03



surprise
butt

w/ deadpool





musique - Tu soupires, encore. Deadpool a raison : comment tu fais pour gérer tout ça ? Être un bon héros et un bon lycéen est une vraie plaie, tu as véritablement hâte de finir le lycée l'année prochaine pour espérer avoir la paix... En espérant que ni Stark ni tante May ne te forcent à faire des études supérieures - tu ne tiendras jamais le coup. Et ce n'est pas comme si tu avais ne serait-ce une perspective d'avenir si ce n'est que sauver le monde sous le surnom de Spiderman.

Vous finissez par atteindre votre destination : un restaurant mexicain. Tu es un peu surpris de ne voir que ça. La vérité, c'est que tu t'attendais au pire. Mais il semblerait que tu te sois trompé et que cet énergumène fasse parti, vraisemblablement, du commun des mortels. Enfin. Il est immortel mais, bref, vous suivez.
À peine rentré que Wade finit avec un latino pendu à son cou. Tu rigoles, c'est un peu l'ironie du sort. Wade ? Oh. Eh bien, voilà que les présentations sont faites. Une fois assis à table, Wade ne tarde pas à ajouter son nom de famille. Wilson, donc. Tu croises les bras et affiches un sourire on ne peut plus satisfait. Il faudra que tu le cherches sur Facebook. Juste pour voir sa tête. Ou alors, de façon plus honnête et saine... Tu peux retirer ton masque, on est plus à ça près, je crois. Comment peut-il être ? Tu joues au jeu dans ta tête. Tu l'imagines pas forcément très baraqué, mais costaud. Les cheveux... Blonds foncés. Plutôt courts. Et des yeux marrons. Ou verts. Tu ne sais pas trop. Plutôt bel homme. Tu supposes. Tu ne sais pas trop ce que c'est qu'un bel homme.
Ah si, Steve Rogers.

Wade annonce que c'est lui qui invite. Tu te retiens de lâcher un souffle soulagé. C'est pas le moment de faire les opportunistes, Peter.
Jusqu'au moment où il s'attarde sur tes histoires d'amour. Tu manques de t'étouffer avec l'eau que tu étais en train de boire. URGH.

Non... Non. J'ai jamais eu de copine ni rien, t'as dû mal comprendre. Dis-tu à mi voix, visiblement mal à l'aise avec le sujet. Mais... Y a bien une fille. On est pas ensemble hein ! Mais je dirai pas non... Tu te grattes la joue. On s'est rencontré sur internet il y a quelques mois et on a fini par se voir en vrai. J'ai bien essayé de faire le premier pas mais elle n'avait pas l'air très réceptive et depuis, elle ne m'a pas envoyé un message... Je suis un boulet, je crois que je l'ai faite fuir. Tu baisses la tête, déprimé. Tu penses à Reiner de temps en temps, mais tu n'oses pas essayer de la joindre plus que cela - t'as pas envie de passer pour un lourd. Tant pis, tu supposes. Tu en vivras sans doute encore, des déceptions amoureuses. Va falloir t'y faire. Puis avec les filles j'y arrive jamais. Je suis la risée du lycée et elles me voient comme un nerd. Elles préfèrent toutes les sportifs super grands et marrants... Je suis plutôt l'inverse. Y a quelques semaines un mec m'a invité à boire et à danser, c'était vraiment la honte.

Non pas que tu sois homophobe ou quoi que ce soit de cette trempe, mais quand même.

Les bières et le reste du repas arrivent à votre table. Ca sent drôlement bon, mais rien qu'à la vue de la boisson, tu as la nausée. La dernière fois, avec Jamie, tu avais eu une sacrée gueule de bois. Alors là... Bon, c'est lui qui paye après tout, autant lui faire plaisir d'une façon ou d'une autre. Tu attrapes la choppe et en bois quelques gorgées, un peu trop vite - comme un débutant. Cela dit, tu as appris à manger et boire de l'eau en même temps, histoire de ne pas finir par terre (parce que oui, la bière suffit).

Tu te laisses tomber contre le dossier de ta chaise, et, dans ton élan, lui cogne maladroitement (plutôt doucement, en fait) la jambe. Oops, pardon.

Tu attaques le repas. Dis, Wade, t'as la bouche pleine, tu foudrais pas refoindre Eurêfa ? AVALE. Comme ça je pourrai avoir une bonne excuse pour sortir : toujours accompagné. Et en plus ils ont des dortoirs, on est logé gratuitement si on est en galère. Comme moi. Rire nerveux. En plus t'as l'air de connaître pas mal de monde dans le coin, tu pourrais avoir des infos importantes à leur faire passer. Ca nous aiderait grave à écraser les méchants ahahahah.

Quelques secondes de silence.

... Tu peux supprimer la photo aussi, maintenant ?


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CODE KING - DEADPOOL
Wade Wilson
Crédits : 7
Wade Wilson

Dim 26 Aoû - 14:12




♬ CALIENTE
EL BARRIO.
02:40 a.m

Aaaaaah, les tacos arrivent. Ça sent bon ! Franchement Miguel, tu mérites une médaille d’honneur du meilleur restaurateur. Je l’accrocherais dans sa moustache, juste là, au coin gauche de sa bouche. Han. Oui. HAN, NON ! (QUOI ?) Je n’ai même pas mon attirail pour les déguster comme il se doit, quelle honte ! (Quel attirail ?) Mon chapeau traditionnel et mes maracasses - je les ai laissé chez Rockett à notre dernière soirée piñata. (Mh, bah, fait sans.) Mh. (Ah et Peter veut que t’enlève ton masque.) Mh. « Nope, désolé mon chéri, sans mon masque je me sens nu comme un bébé, prêt à être dévoré par le premier pédophile venu. » (Tu pouvais éviter la comparaison.)

Après quelques courbettes et un regard de chien battu, Miguel vint avec un chapeau et des maracasses. Wade, ainsi pourvu de son attirail spécial bouffe mexicaine put se concentrer à nouveau sur le fil de la conversation.

Il n’a pas de meuf, il n’a pas de meuuuuf, la la la la laaaa. (Et ? Il n’est pas gay.) Moi non plus. Nous sommes fait pour être ensemble. « Cette fille, tu peux l’oublier. J’vais t’dire, d’homme à homme… » Je prends ma pause solennelle et ma voix de beau gosse - « T’emmerdes pas avec les nanas. Elles sont bonnes qu’à te faire des emmerdes, crois-en mon expérience ! » - Non cerveau, c’est pas le moment, me fait pas le coup des images/souvenirs, non, non. « Du genre, Oh mon Dieu je suis attaquée par un méchant, à l’aide mon amour, viens me sauver ! Et là toi, dans ta grandeur d’âme et d’amour, tu fais quoi ? Tu cours la sauver et BAM DANS TA GUEULE ! » Je frappe la table d’un coup sec, faisant tomber les couverts. (Calme toi dude !)

« Coup de poignard ! En fait elle nique avec le méchant dans un lit en soie et le méchant en profite pour tenter de te buter en même temps pendant que cette pute te souris et après ? Après t’as le coeur flingué et tu te retrouves comme la merde d’un piaf sur le trottoir. » (Wow, c’était quoi cette graduation de crâneur à mec en colère ? T’as les poings si serrés qu’on en voit les jointures, relax dude !) Ouais. Je ne sais pas. Les épices sans doute. (Ou un flashback de Vanessa ?) Non, Vanessa elle m’a trompé avec Câble, c’est pas pareil. J’étais d’accord, j’ai pu filmer. Hinhin. (Oh. Ça semblait pourtant très personnel ta petite envolée.) Mh, who knows.

C’est évidement quelques secondes après mon superbe speech de bâtard que je sens sa jambe frôler la mienne. Évidemment ! Il le fait exprès tu crois ? Tu crois que c’est un signal pour moi ? Style « vas-y, saute moi dessus grand fou ! » (Non.) Ah, j’ai les grelots qui me démangeant. (Lesquels ?) Ceux du chapeau. (Enlève le chapeau.) Ouais. « T’es mignon mon coeur mais Eurêka, très peu pour moi. » Écraser les vilains et pioncer dans un dortoir ? Ahahaha, il me tue. Je le kiff. « La photo c’est pour plus tard, j’te rappelle que notre nuit n’est pas terminée. » Je souris tant et si bien que mon masque se déforme subtilement.

Suite à quoi, je siffle bruyamment de sorte qu’on puisse m’entendre du fond de la cuisine. Arrivent alors en fil indienne de superbes danseuses exotiques - et danseurs, parce que des nichons sans une ou deux bites, c’est nul - tous vêtus de costumes plus ou moins ajustés de licorne, de papillon et de pokémon - j’aime trop les pokémons. (T’as manigancé ça quand ?) Quand je me promenais dans la rue, en stalkant Peter, j’ai contacté Sheril, la nana du Strip Club, tu sais ? Je lui ai dis de se ramener avec des amis, de nous faire ce petit show. Je lui ai confirmé par sms, quand on s’est installé, que le restaurant était bien ouvert et qu’ils pouvaient tous se ramener. ALORS, J’SUIS PAS TROP OUF ? (Mh, mh. C’est quoi le but ?) SÉDUIRE MON ARAIGNÉE. (Aaah. Ahah.) Ta gueule, moi au moins, j’essaye !

Le must, que je précise à présent, c’est que chacun de mes acolytes exotiques porte une petite pancarte agrémenté de coeurs, de paillettes et d’un « Would you kiss me Spidey ? » - je suis trop fier… Qui c'est le roi des loveurs ?! (Roi des chelous ouais.) À mon tour d’entrer dans la danse - littéralement. Je me lève, entreprend quelques pas sensuels - je me sens comme Shakira - la musique transpire le désir - tournant autour de lui - comme un aigle - remuant mes hanches - je suis un serpent sensuel - je bascule sa chaise en arrière, me penche au dessus de son visage - oh c’est trop sexy, je suis trop doué - « Veux-tu m’embrasser Spidey ! En l’honneur de cette nuit de folie qui s’annonce et de notre amo- amitié naissante ! » Je le hais, il est beau. Je les bouffe moi les nerds.

Pendant ce temps là, Miguel, accoudé à son comptoir, film la scène - un souvenir du jour où mon Wawa a trouvé l’âme soeur - tel sera le titre qu’il donnera à la vidéo.

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FONDATEUR - SPIDERMAN
Peter Parker
Crédits : -594
Peter Parker

Dim 26 Aoû - 15:21



surprise
butt

w/ deadpool





musique - Après t'avoir fait un long discours se résumant en les filles c'est nul, Wade fait entrer toute une troupe de danseurs et danseuses dans des tenues... quelque peu... Voilà. Tu écarquilles les yeux et plus gêné qu'autre chose, luttant contre tes hormones, tu cherches surtout à fixer tes pieds ou l'horloge dans le fond de la salle. Ou ce bon vieux mexicain cliché. Jusqu'à ce que ton compagnon finisse par tournoyer autour de toi sur le son de Shakira qui s'est soudainement mis en route (sérieusement ?). Would you kiss me Spidey ? C'est quoi ça ?! Combien il a payé une mise en scène pareille ?! À l'aide. C'est la honte. La hon-te.

Puis tu bascules vers l'arrière, retenu par les deux derniers pieds la chaise tandis que Deadpool se penche au-dessus de toi et te proposer un baiser torride. Son souffle rauque s'écrase contre ton visage et tu grimaces - ça sent un truc louche, et pas que le tacos. Tu sais pas si tu dois rire ou fuir, dans le doute, tu bug un instant et tu dis. Déjà, avec le masque ça va être compliqué. Et t'es pas intéressé. Et je t'ai déjà dis que j'étais pas intér- WOOOH- BAM ! La chaise glisse et te voila les quatre fers en l'air, la tête entre les chevilles de Wade et t'as un fou rire incontrôlable. Hahahhhaa Wa... Wade arrête de faire des trucs comme ça tu vas me- PFFFRT... Tu te tiens le ventre. C'est vraiment la honte mais ça a le mérite d'être super drôle.

Il faut croire que t'es plutôt d'humeur joviale maintenant, tu te relèves en t'élançant vers l'avant (et non te fais pas trop d'espoir Wade j'ai même pas frôlé ton entrejambe avec mon nez YOU WISHED). La musique est forte et un peu à la manière de votre première rencontre ça te donne envie de te faire quelques pas en chantant. C'est tout ce que tu sais faire l'ancien ? Oui, tu assumes complètement le fait qu'il est très certainement plus âgé que toi (il oserait pas t'appeler gamin autrement).

Ni une ni deux, tu attrapes les mains de ton partenaire pour danser et donner quelques mouvements de hanche de gauche à droite. OH BABY WHEN YOU TALK LIKE THAT YOU MAKE A WOMAN GO MAD Tu prends des airs presque féminins (heureusement que personne d'autre que tu connais puisse voir ça), la main sur la taille et le regard embrasé. Tu poses ton autre paume sur son autre épaule avant de lui tourner autour mais à peine arrivé dans son dos tu pouffes de rire encore une fois en te tenant le poitrail. Oh non, tu peux pas continuer ce cinéma, c'est trop embarrassant. Ton front par s'écraser contre son omoplate, essayes de reprendre une respiration normale et essuyer les larmes qui coulent. Fiou...

Tu retournes devant lui, les bras ballants et le sourire jusqu'aux oreilles. Tiens. Tu peux voir son téléphone. Il l'a vraiment rangé dans son froc c'est ouf.

Ah.

Ah non c'est pas le téléphone ça - NEVERMIND. Tu détournes le regard, gêné, et dis:

Bon j'apprécie tes efforts de séduction Wade mais je suis pas... enfin, je m'intéresse seulement aux filles. Mais merci, je me suis bien marré !


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CODE KING - DEADPOOL
Wade Wilson
Crédits : 7
Wade Wilson

Dim 26 Aoû - 16:21




♬ MUCHO CALIENTE
EL BARRIO.
03:17 a.m

Oh la la, il nous fait quoi le gamin ? C’est quoi ces déhanchés de fou là ? PUTAIN JE LE HAIS. C’est pas juste ! En plus d’être sexy, il danse comme un dieu. J’ai l’impression d’être à un show parisien, style cabaret gay mais pas trop - manque juste l’ambiance tamisée et la décoration chic. Y’a un truc bizarre tout de même, un truc que je ne m’explique pas trop. (Quoi ? Ta trique ?) Non, non, ça, c’est ok. (Mh.)

J’aime draguer, j’aime baiser. (Oui…) Quand on me dit non, ok, je passe à une autre cible. (Oui.) Lui, si je peux le baiser, je suis content. (Oui.) Si je ne peux pas, j’ai le choix parmi les danseuses, tout va bien. (Mh, mh. Je vois pas ce qui est bizarre.) Là en l’occurence, je ne peux pas le baiser, il ne veut pas et le viol, ça m’attire toujours des emmerdes… (Ok, et ?) Bah, j’ai pas envie de choisir une des danseuses, alors que je ne peux pas me le faire et que j’ai besoin de baiser. (Ok… Donc, tu veux vraiment te le faire et pas juste comme ça, genre, c’est une réelle envie ?) Je crois. (Ça te passera.) Ouais, je crois. J’espère.

Cela ne m’empêche pas pour autant… De poursuivre ma drague ? (Non, du tout, fais-toi plaisir.)

Son rire, sa gestuelle, l’écouter chanter les paroles, le sentir dans mon dos puis finalement le voir, bras ballants devant moi -  sa petite excuse de non je ne suis pas gay bla-bla… Ah, Spideyboy, t’es la meilleure des attractions ! « Les filles, les garçons, il n’y a pas tant de différences tu sais… Tant que le plaisir est maître. » Sheryll esquisse un sourire. (C'est pas le même speech que tu lui as sorti un jour ?) Presque.

Sa petite bande et elle continuent de danser tandis que je m’approche pas à pas de mon doux insolent. Acculé contre le mur, il m’offre à loisir le luxe de l’encadrer de mes bras - si mon ombre le surplombe largement, je garde ma bouche à niveau de la sienne. Au plus près. « Fais attention, Parker, l’ancien a des appétits particuliers… » J’incline ma tête sur le côté - nos pieds se touchent - un infime espace sépare nos bassins - « Peu de limites les séparent d’être assouvis. »

La musique change alors soudainement m’incitant à reculer d’un saut fringant - aaaaaah, j’aime la séduction pour le danger qu’elle peut faire naître - mais j’aime aussi danser. Comment résister à la guitare traditionnelle des Mariachis ? COMMENT ? (Mh. Tu gâches un peu l’ambiance sexy/malsaine que tu venais d’installer.) Pchhht, je kiff là, ça me permet de débander en plus !

Je ris, enchaînant des pas n’ayant rien à voir avec le rythme initial - cela me donne le tournis, je crois que les tacos remontent. Ah, non, ça va. Mon estomac est le plus fort ! Hehehe. En revanche le tournis est bien réel - je crois que je vais tomber - BAM - ah bah ouais, je tombe. Sur Peter. Visage contre visage. « AH, JE L’AI EU MON BISOU ! » (C’est tout ce que tu trouves à dire ? Tu sens pas une douleur dans la cuisse à tout hasard ?) Ah si, shit, j’ai un couteau planté dedans. (Faut que t’apprennes à tomber proprement un jour.) Mh, mh.

« SENOOOOR ! TOU VA BIEN ? » Ah Miguel, brave Miguel, toujours prêt à me secourir. Je me lève, relève ma victime à ma suite, retire le couteau - puis me marre encore un bon coup, parce que, quand même, c’est drôle. Entre les danseuses et danseurs déguisés en animaux féériques, la musique mexicaine, la tronche de Peter, la moustache de Miguel - ouais, y’a vraiment de quoi se marrer. L'improbabilité de cette scène mériterait un film !

Évidement, lorsqu’on s’appelle Wade Wilson, on ne peut pas passer une soirée tranquille. Ah, non. Et on arrête j a m a i s de se marrer. Ah, non. C’est ainsi que, gâchant un superbe couplet de la chanson, quatre truands débarquent dans le restaurant. « LA BOURSE OU LA VIE ! » Naaaaaaaaan, hahahahahaha. Putain j’en pleure… QUI DIT ENCORE ÇA ? AHAHAHAHA. J’ai mal, j’ai mal au ventre, à l’aide. (Arrête de te rouler par terre, c’est sérieux ! Ils sont armés jusqu’aux dents !) « Qu’est ce qui te fait marrer connard ? » R’garde, r’garde, il a même des bottes de cowboy, ahahahahaha, je pleure, au secours, à l’aide, j’en peux plus ! « OH J’TE CAUSE ! »

Tandis que notre malotru pseudo mercenaire-héros continuait de se rouler par terre, les malfrats investirent les lieux, encerclant la petite compagnie. Miguel, tout affolé, se cachait le visage avec un sombrero - Sheryll et ses amis s’étaient réfugiés derrière le comptoir avec les quelques autres clients présents.

Ce n’est qu’après deux bonnes minutes, le lurex imbibé de larmes, que Wade finit par se calmer.
(Ce boloss.)

Mains sur mes katanas, poitrail gonflé, pose de badass de la mort - je regarde Peter - aaah il est trop beau (Focus.) - quelle nuit de folie on vit ! « On a le dessert, 100% adrénaline bébé ! »

*
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Peter Parker
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Peter Parker

Dim 26 Aoû - 18:14



surprise
butt

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musique - Ok ok, t'as bien compris que Wade était tout sauf hétérosexuel, mais est-ce qu'il a vraiment besoin de te coincer contre un mur pour te le dire ? Tu plaques tes mains contre la paroi en essayant de glisser vers le bas pour te faire tout petit et penser à un éventuel moyen de t'échapper. Tu déglutis alors que sa voix rauque prend un tout autre ton - c'est impressionnant et surtout, flippant. Euh... Wade... Là, ça devient super louche.
Une chance que le jukebox lance une autre musique - cela te permet de respirer un peu.
Penses-tu.

Deadpool reprend une danse endiablée mais tu n'es plus vraiment d'humeur à l'accompagner pour cette fois. Tu as un sourire en coin, c'est vrai, mais seulement par courtoisie. Tu es un peu secoué, tu n'aimes pas trop qu'on force les choses ainsi, surtout vu le peu d'expérience que tu as et le nombre de fois où tu te tues à lui dire que tu n'es pas intéressé...

Wade tombe.

Hein, quoi ?!
Oui oui, il tombe. Un véritable échec d'1m88 et pas loin de 86 kilos de muscles et de connerie qui s'écroule vers toi. Tu as à peine le temps de lever tes mains pour le stopper dans sa chute, l'attraper par les épaules. Mais paf, tu tombes sur les fesses, visage contre visage, et Wade part en vrille. Tu vires au rouge. (Même plus besoin de porter de masque à ce stade). Tu essayes de te dire que ce n'est certainement pas ton premier baiser vu que 1) c'est un accident 2) en soit tu as juste touché du tissu...

Tu aimerais te terrer dans un coin mais (encore une fois) des types louches déboulent au beau milieu du restaurant. Non, sérieusement ? Wilson n'attire définitivement que les emmerdes.

Il y a déjà du sang sur le sol.
... Il y a déjà du sang sur le sol ?

Attendez, comment il a fait pour s'enfoncer un couteau dans la jambe ? À quel moment ? TU SAIS PLUS OU DONNER DE LA TETE.

Non plus sérieusement : ces mecs sont encore armés. Et dangereux. Et Wade se poile par terre dans son propre sang. ... Wade... ! Tu râles, les mains en l'air puisqu'encerclé par les malfrats. Ah, le voilà qui se lève et sort les katanas. Mais y a comme un problème.

Arrête de jouer au con ! Je peux pas utiliser mes pouvoirs, j'ai pas ma tenue, j'ai pas le droit de montrer mon visage ! Que tu dis tout paniqué, à mi voix. Il y aurait trop de témoins et au moment même où tu finis ta phrase, tu te prends un coup de poing dans le nez qui t'envoie valser au sol, le visage en sang et complètement sonné.

TU PARLES TROP LE MÔME.

Aouch...
T'as très probablement le nez cassé, t'as du sang partout dans la bouche c'est vraiment immonde. T'as pas l'habitude de baisser ta garde et encore moins de recevoir des coups pareils. Tu te tiens le visage un instant en grimaçant. Ok... très bien. Tant pis pour l'anonymat. Depuis le sol, dans ta rivière sanglante, tu lances une toile vers les armes et les fait virevolter à l'autre bout. C'était sans compter le cran de sécurité non enclenché. Les fusils décochent deux balles de façon aléatoire pendant lors envol. L'une te manque de peu et fini sa course juste devant ton nez (décidément) et l'autre... Ah, pas de bol. L'autre en plein milieu de la tête de Wade.

M e r d e.
Tu l'as tué.
T'en es sûr. Il est immortel mais à tous les coups c'est comme les zombies, une balle dans le cerveau et c'est fini !

Oh non non non non.
Tu rampes jusqu'à lui, paniqué au possible pendant que les quatre sales types bug au milieu de la salle - visiblement tuer qui que ce soit ne faisait pas parti de leur plan. Wade ! Wade ?! T'as les larmes aux yeux, t'es vraiment un idiot. C'est pas vrai... ! Tu te penches au-dessus de lui et essaye de le secouer.
En vain.

Tu as tué quelqu'un.
Tu as tué Deadpool.

Quoi que...


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Wade Wilson
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Wade Wilson

Dim 26 Aoû - 18:58




♬ MUCHO CALIENTE
EL BARRIO.
03:39 a.m

LA BAAAAAAMBA BÉBÉ, C’EST LA BAMMMBA ! Oh ouais, ça c’est bon ça, ça c’est mon morceau, ça c’est mon groovy move baby ! (Wade…) Mate ces pas de danse que j’enchaîne - oh ouais j’suis trop doué, putain j’aimerais me baiser les pieds si je pouvais ! (Wade…) JE MÉRITE UNE MÉDAILLE ! Non, je crois que je vais m’inscrire à des cours de samba. « Y ARRIVA Y ARRRRIVAAAAA » (WADE !) QUOI ? (PETER N'PEUT PAS ÊTRE SPIDEY, TROP DE TÉMOINS !) Ah. « BAILAAAAAA LA LA LA » (WAAAAAADE !) Roooh ça va, même plus le droit de se marrer…

Ainsi, tandis que ma dulcinée joue les araignées en pause RTT - qui finalement ne les joue plus et fait voler les flingues - je coupe les mains du premier type à ma portée tout en choppant une poignée de nachos traînant sur une table. « AHAH, PAS DE BRAS, PAS DE NACHOS ! » Je gueule au visage du malheureux lui-même gueulant à la vue des fontaines de sang jaillissant de ses poignets. (C’est artistique.) Merci, mais le prochain que j’me fais, je le sectionne au niveau des coudes - comme ça il aura l’air d’un manchot, hehehe. J’aime les manchots.

SPLAAAAASH ! Je glisse sur la flaque de sang, tel un surfeur californien, brandit mes katanas et BOOM ! Je tombe. Encore ? NAN SÉRIEUX, ENCORE ? Qu’est-ce que j’ai fais ? Wow, j’ai la vue qui se trouble là. (T’as pris une balle, normal). Fais chier. Ça fait un mal de chien, j'aurais pas pu la prendre dans le dos non ?… Putain... Ça fait un mal de putain… De…

À présent, afin de nous divertir durant le court black-out de Wade, profitons d’une pause publicitaire.



Qui m’appelle ? Je vois rien. (Peter.) Où ? (Au-dessus de toi.) Ça y’est, il est prêt ? (Euh, non.) Il répète mon prénom, c’est beau. Il semble inquiet. (Normal, il te croit mort.) J’en pleurerais. Ce magnifique moment doit être immortalisé par un acte de tendresse, par la représentation imagée, non physique ! des sentiments d’amour et du lien fraternel/incestueux qui nous unit et (T’as encore la balle dans le cerveau ?) - chut - « J’ai rien bébé. » Je l’enlace - j’en profite un peu, ok, j’avoue - « J’te l’ai dis, je suis immortel ! » - je l’enlace encore un peu plus, juste un chouya - ok maintenant c’est bon.

« Personne peut m’buter, sauf un produit de vaisselle mais ça c’est une autre histoire. » Sur ces belles paroles - visiblement inadaptées à la compréhension des malfrats qui, non seulement tremblent mais font des signes de croix - attend, ils me prennent pour un possédé ? - je me redresse et m'avance à leur rencontre.

Ils me prennent vraiment pour un possédé. Ahahaha, trop drôle. Je vais leur faire le coup de l’exorciste, on va rire. (Non, t’as assez fait le con.) OOOOOOOOH, TU ENTENDS ? C’EST I LIKE IT DE CARDI B ! JE SUIS TROP FAN, JE VAIS PLEURER. (Quand est-ce que tu arrêteras de nous faire vivre des ascenseurs émotionnels ?) « I LIKE IT LIKE THAT, THEY CALL ME CARDI CARDI, SPICEY MOMMY ! » Je bouge, remue des fesses, saute jusqu’aux mauvais chrétiens mais bon croyants - hehe, on dirait des vibromasseurs géants - « Pitié, pitié, on voulait jute un peu de fric, nous tuez pas ! » Celui de gauche sent la sardine, ewh - « Vade Rétro Satanas ! » - il a l’air stupide à prier. Prier quoi d’abord ?

Un soudain glapissement retentit. Je m’arrête - j’étais sur le point de tenter ma technique de sectionnement des coudes - et de chanter le couplet - ah et le sectionnement je décide de l’appeler ManchoMan mais là n’est pas la question - je disais ? - Wade, tu te dissipes trop l’ami - oui, donc je m’arrête. Les glapissements s’enchaînent. « Et toi, Marilyn Manson, t’as quoi dans le sac ? » Je dévisage le type le plus à droite, cheveux noirs et longs, gueule de gotique d’un autre siècle, peau grasse. Avant même d’obtenir une réponse, il prend la fuite, ses potes avec.

À cet instant précis - alors qu’ils franchissent la porte - de la fente du gros sac sort une petite tête de fennec. Haaaaaan, que c’est trop mignoonnnnnn ! Attend. ILS ONT KIDNAPPÉ UN FENNEC ? « PETER FAUT LES COURSER, CE SONT DES TRAFIQUANTS DE FENNECS ! » (Ou d’animaux exotiques ?) Oui, c’est pareil. Je ne peux pas laisser courir des types qui font du mal aux animaux. JAMAIS. « Miguel, garde mon sombrero, je reviendrais le chercher quand on se sera occupé d’eux. J’paierais les dégâts. Ah et prépare des churros, j’aurais faim. Fais-en un bon kilo, mon bro' adore ça aussi. » Le vieil homme sort de derrière le comptoir, pâle comme un linge, acquiesce puis s’en va rassurer les autres.

« PETER, ALLEZ, ON Y VA ! » Je bondis dans la ruelle, mon acolyte tenu par un bras - oui parce que j’aime l’attraper dans mes envolées héroïques. Les malfrats viennent de monter dans une grosse voiture noire - où d’autres malfrats semblaient les attendre. OH ÇA SENT L’AVENTURE EPIC ÇA !

*
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Dim 26 Aoû - 19:27



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musique - Wade se réveille. Immortel. Pour de vrai. Tu le fixes avec des yeux gonflés. Putain...
Et produit de vaisselle ? T'as même pas la force de grimacer, en grande partie parce que t'as le visage explosé. Ca fait vraiment mal. Wade repart à la chasse, danse et chante comme si de rien n'était.
Ouais, comme si de rien n'était.

Il n'a pas suffit de plus pour regarder autour de et constater l'étendue des dégâts. Un restaurant saccagé, des clients traumatisés, des petits voyous ensanglantés, et surtout, énormément de témoins. Ca ne va pas. Ca ne va vraiment pas. T'entends rien, t'es dans ta bulle. Deadpool braille au loin, mais c'est comme s'il était dans une pièce différente. C'est juste un bruit de fond.
T'as juste compris quelque chose à propos d'un trafic et d'un fennec, rien de plus.

Peter Parker, lève toi.

Tu te tournes vers les innocents. Je suis vraiment désolé, je... Je quoi ? Tu n'as même pas d'excuse. Tu soupires. Ils te dévisagent, ils ont peur.
Il y a de quoi.

T'as vraiment raté ton coup, cette fois.

Wade t'attrape aussitôt, tu craches le sang qui te reste dans la bouche. Une fois dehors, face à la devanture, tu le pousses violemment.

Mais t'es pas bien ?! Qu'est-ce qui cloche chez toi ?!

Tu te plantes devant lui en faisant des grands gestes  outrés avec tes bras. Tu massacres des gens devant des innocents, tu détruis un restaurant et au lieu de capturer des criminels : tu les tues !! Et tu t'en amuses !?

Tu hausses le ton.

C'est pas ce qu'un héros doit faire ! On est sensé... on est sensé... Je sais pas ! Protégez les gens ?! Rendre justice sans tuer ?! T'en as marre, et t'es surtout en état de choc. T'as failli crever, t'as cru que lui aussi, et tout va mal. Tu mets en danger tout le monde. Et tu sais quoi, Deadpool ? On est pas tous immortels comme toi ! Alors ton histoire de fennec ou je n'sais quoi, j'm'en fous. De quel camp tu es au juste ?

Tu ris. Jaune.

Non, en fait, je veux pas savoir. Laisse tomber. Démerde toi. Ciao.


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Dim 26 Aoû - 20:12




♬ LONESOME POOL
EL BARRIO.
03:47 a.m

Ah, je crois que ça y’est. J’ai épuisé son quota de tolérance. (En même temps t’as massacré des gens sous ses yeux.) Et ? Je ne vois pas où est le problème. (C’est encore un gosse Wade.) Non, c’est un homme, comme moi et il est largement assez mature pour comprendre que tuer, ça fait partie du genre de vies qu’on mène. (Sauf que la vie qu’il mène, c’est celle d’un héros.) Ta gueule.

Je le rattrape en une enjambée à peine, le retiens par les épaules. Sa tête déconfite, le sang qui coule de son nez - ahahah, il en a chier mine de rien, je n’avais pas remarqué. (Et ça te fait marrer ?) Fais pas la rabat-joie, je me marre parce que mon adrénaline est au summum tu vois - elle me pète le cervelet façon feux d’artifices dans une fête foraine illégale. « Bon Parker, deux choses. »

J’inspire une longue bouffée d’air - j’essaye de prendre le ton le plus neutre possible mais… Le sarcasme est là, ouais, ouais. J’y peux rien ! « Oui, ça cloche chez moi : je suis totalement schizophrène, psychopathe et cinglé. Je le vis bien. Très bien. Mes voix aussi. » (Non, pas toujours) - je t’ai rien demandé ! « Deuxièmement… » - on va rire encore un peu ! (Rire jaune…) - « Je. Ne. Suis. Pas. Un. Héros. » Je m’écarte, tire ne petite révérence, puis m’applaudis - « SURPRISE ! »

Je regarde au loin la voiture des malfrats partir - putain, et ce pauvre fennec laissé à son sort. Ah non, je ne peux pas ! Si je l’abandonne, je m’en voudrais au moins deux jours. « J’te la fais presto mon chou : je suis un mercenaire ok ? On me paye pour buter des gens ! Parfois des gentils, parfois des méchants - le plus souvent des méchants, du genre, vraiment méchants. Des méchants que personne veut toucher, parce que les gentils héros, ils aiment pas se salir les mains - ils ont besoin des gens comme moi - tu demanderas à tes potes, tu r’garderas dans la paperasse bien ficelée/cachée des bureaucrates qui vous collent les miches. » J’ai soif. (Tu parles trop.)

« Tu vois hier encore, j’ai buté le chef d’un réseau pédophile - une belle et bonne pourriture level 1000 - oh c’était moche à voir, je l’ai interrompu en pleine gâterie avec un môme de quoi, six ans ? Ce qui était beau à voir, en revanche, c’était sa tête après que je l’ai interrompu - et tué, évidemment - je lui ai fourré sa queue de connard dans le gosier, hop ! Pourquoi je raconte ça déjà ? Ah ouais, je tue des gens pour de fric. Parfois, j’ai un éclair de morale alors je sauve la veuve et l’orphelin, mais ça, ça paye moins. »

Ils ont tourné à l’angle de la 3e. Mh, je flaire un truc plus gros que prévu. C’est pas là-bas le dépôt de tous les gros benêts du secteur ? Armes, drogues, filles ? (Ouais, enfin, un parmi tant d'autres. C’est supervisé par un des copains de ton cher et tendre Francis.) Aaaah, Francis. C’était le bon temps avec lui - j’avais le luxe de pouvoir mourir. Il avait un de ces culs aussi… (Tu te plains d’être en vie ?) Mh, parfois, vivre, pour moi, c’est pas une sinécure. (Tu comptes faire quoi maintenant avec Spidey ?) Mh, mh.

« Bon, pour les churros, promis je me rattraperais. Là, pour le coup, je m’en vais faire des mères en pleures et de futures bénéfices pour les pompes funèbres. J’te le dis, histoire que tu te fasses pas de fausses idées sur mes intentions - non parce que des types qui enlèvent des fennecs et qui se dirigent de manière louche vers la 3e - tu apprendras que là-bas, pas mal de vilains pas beaux se cachent - je disais quoi ? - Oui je disais, je vais faire chauffer le compteur de Madame Faucheuse ! » J’effectue deux, trois pas de danse - Michael Jackson doit se retourner de jalousie dans sa tombe - fait tournoyer mes katanas - avoir l’air beau gosse en toutes circonstances puis m’en vais.

(Tu comptes le planter, là, comme ça, après!s lui avoir déballé d’aussi horribles propos ?) Quoi ? Je vais pas jouer les nounous et les pleureuses « pardon, pardon, me quitte pas, bouhou » - ça craint. Je lui offre des churros la prochaine fois qu’on se voit et voilà, hop, problème réglé. (Je doute qu’il accepte des churros de ta part ou qu’il accepte, d’ailleurs, de te revoir tout court sans tenter de te foutre derrière les barreaux.) Mh, m’ouais, mais… Ce serait drôle ! Plus de fun en perspective, hehe !

L’amour commence toujours pas la violence.
(Euh…)
*
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Dim 26 Aoû - 21:07



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musique - Il te rattrape - on dirait vraiment une romance à deux balles sur TMC qui passe à 15h43, quand tout le monde s'en fout. Il manquerait plus qu'un peu de pluie et le cadre serait parfait. T'en as bien conscience mais t'arrives même pas à en rire, ça te met juste encore plus en colère. Un colère qui se mue en déception lorsque Wade t'annonce qu'il n'est pas un héros, mais juste un mercenaire - le type de mec qui tu mets derrière les barreaux. Tu entrouvre la bouche, fronces les sourcils. Tu m'as menti en plus ?! Il te sort un méli mélo d'excuses et tu n'oses plus le regarder en face. De la même manière que lorsque Mr Stark te sermonnait. Il n'a pas tout à fait tord et t'en prends conscience. Mais peux-tu vraiment passer outre ton sens de la justice ? Tout ce que fait Deadpool est pire qu'immoral - c'est un tueur, un criminel. Avec de bons côtés. Et rien que pour cette putain de raison, tu t'es attaché. Comme d'habitude. Pas étonnant que tu aies des problèmes à longueur de journée avec un tel entourage.

Tu soupires. Et l'autre s'en va à son tour. Tu balayes la rue du regard, la moue agacée.

Tu te défais de ton jean, des chaussures et ton sweat, fous tout dans ton sac illico presto et enfiles ton masque. T'aurais bien besoin d'un petit Spider-ride pour aller plus vite, tu crois pas ? Ah. Tant pis. Tu le regretteras sans doute mais tu ne peux pas t'en empêcher : t'aimes tout le monde, à ton plus grand regret.

Mais son discours t'a convaincu. T'es peut-être trop crédule.
Ca n'étonnerait personne.

Tu fais quelques pas pour revenir à son niveau et l'agripper par l'arrière de sa ceinture. Je sais que tu risques rien mais tiens toi comme il faut. Tu pourras pas bosser avec les deux jambes cassées. Tu cours dans la rue et t'élances vers le ciel, la main droite fermement accrochée autour de ta toile. Une force herculéenne t'avait été offerte en même temps que tous tes spider-powers. Une chance, sinon vous n'auriez pas décollé vu le poids de Wade. Tu frayes un chemin dans la jungle urbaine qu'est Cosmopolis, rapidement, de bâtiment en bâtiment.

Vous vous plantez non loin de ce qui semblait être la cible de ton partenaire. Bien. Tu le lâches et lances : Bon. Ben, file, big guy. J'attendrai ici. Pour une fois. Et ton masque s'étire d'un sourire. Trop solennel.


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Wade Wilson
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Wade Wilson

Lun 27 Aoû - 14:42




♬ LE THÈME DE MON COEUR QUAND JE TE VOIS BÉBÉ
DEVANT UN REPÈRE DE MÉCHANTS.
04:08 a.m

C’est très étrange, tu ne trouves pas ? (Quoi donc ?) Ce sentiment étrange. (Oui, ok mais pourquoi étrange ?) Justement, c’est étrange, il est étrange et je ne sais pas pourquoi. (Tu m’embrouilles.) C’est pourtant simple à comprendre l’étrangeté d’une étrangeté mais ce sentiment étrange est doté d’une étrangeté que je ne comprends parce que c’est étrange justement. (Ok, j’abandonne.) J’ai un sentiment étrange.

(Il te fait penser à quoi ?) À un ours polaire sur un bout de banquise qui vient de se détacher et qui dérive. Il y’a plein de touristes qui le prennent en photo, ils devraient le sauver plutôt non ? - alors l’ours s’énerve mais il n’a pas assez de force pour s’énerver au point de leur faire peur, ou de leur faire comprendre qu’il veut être sauvé - alors les touristes continuent de le prendre en photo et lui, il finit par mourir d’épuisement. (C’est triste. Je ne vois pas le rapport.) Mais si ! (Tu es l’un des touristes assassins ?) NON ! Je suis l’ours. Mon étrangeté, c’est l’ours. (Tu penses bientôt mourir ?) J’aimerais, mais non. (Je ne comprends toujours pas.) Aaaaaaaah ça me fait chier putain !

Si je puis me permettre…
QUOI WADE N°JE SAIS PAS COMBIEN ?
Je pense que l’ours traduit ta gentillesse et les touristes, eux, ils traduisent ton goût pour le mal. Tu préfères faire la mal car cela demande trop d’effort d’être gentil ?
C’est stupide comme raisonnement Wade n°je sais pas combien.
Au contraire ! Là, tu te sens davantage comme l’ours parce que tu te rends compte que faire le mal, ça te fait mal.
Non, j’aime faire le mal.
Oui, d’accord, peut-être que tu supportes le mal que tu fais et que tu te procures, mais peut-être que tu ne supportes pas le mal que tu viens de faire à Peter ?
Mh. Peter ne fait pas partie de mon image de l’ours !
Si, c’est le bébé ours resté seul sur la terre ferme à côté de tous les touristes.
Y’AVAIT UN BÉBÉ OURS ? OH NON LE PAUVRE !
Aaaaaah, voilà, tu vois, tu es triste, tu culpabilises… J’AI TOUJOURS RAISON !
Rentre dans ta grotte Wade n°je sais pas combien !

Ok, donc, j’en suis où moi dans tout ça ?
Alors, tout le temps que t’as mis à te faire ta métaphore de l’ours, c’est le temps que Peter a prit pour : ne pas te tourner le dos, te transporter, te déposer devant le repaire des méchants et te dire qu’il compte t’attendre et ne pas interférer. C’est là, la source de mon histoire d’ours ? Je suppose. Ok.

Ok, ok.
Bon.
Je ne sais pas quoi dire. (Étonnant !) Si je dis aux touristes de se casser, alors l’ours aura la force de se battre ? (T’es encore dans ton histoire d’ours ?) Réponds ! (Oui, je suppose que oui.) Ok ! « CASSEZ-VOUS VILES TOURISTES SANS COEUR ! » Ils partent, ça marche ! (Tu te rends compte que tu viens de gueuler face à une poubelle débordante de rats ?) Ah. Je me sens un peu plus léger qu’avant.

Je rebrousse les quelques pas que j’avais fais pour me séparer de mon bébé ours - cela lui va bien comme animal totem - pour mieux lui faire face - le repère peut attendre ? - oui mais le fennec ? - j’en ai pas pour longtemps. « Peter, écoute… Je suis désolé. » QUOI ? (TOI, DÉSOLÉ ? JE SUIS CHOQUÉE.) MOI AUSSI. C’est cette histoire d’ours. Et, et, et, et ! Mon étrangeté s’est cassée ! « T’es quelqu’un de bien… Mh… » Je dis, sans exagération de voix mélodramatique, sans pose héroïque loufoque - juste en me grattant l’arrière du crâne comme un gosse qui aurait surprit sa mère en larmes et ne saurait réagir autrement qu’en étant mal à l’aise et peiné. (Joli !) Mh.

« Je ne tuerais personne ce soir. Je ne peux pas te promettre qu’il n’y aura pas quelques bras coupés ou jambes sectionnées… » Hahaha, je ris - non mais je ris dans ma tête, sinon il va me prendre pour un sadique. (Il te prend sans doute déjà pour un sadique.) « Je t’aime bien. Ça me ferait chier d'avoir à te tuer. » (TU TE FOU DE MOI ?) Quoi ? - je le rassure. (C’EST PAS RASSURANT ÇA !) Oh, ça va, je plaisantais. « Je plaisante hein. » Hahaha. je m’aime. « Puis… Tu peux m’accompagner. C’est plus cool et drôle de faire justice à deux ! » J’aimerais qu’il sauve le fennec avec moi, comme ça le fennec nous aimera tous les deux et ce sera plus facile de l’adopter. (Tu comptes adopter le fennec ?) Il serait comme notre enfant !

Du grabuge - un brouhaha sourd métallique principalement - nous parvient depuis l'entrée du dépôt, à une centaine de mètres plus au nord. Si nous n'étions pas dans l'ombre du coin de la rue, ces sales types nous auraient déjà repéré et canardé. La voiture des malfrats - ces salauds kidnappeurs de fennecs et braqueurs de restaurants mexicains - vient de se garer. Ils sortent.

Je regarde Peter. « Sois mon Jésus. » Ok, non, je voulais sortir un truc plus sérieux et solennel - montre-moi le droit chemin ou, viens on se casse et on va s'embrasser sur un toit quelque part. (Cela n'arrivera jamais.) Si, j'ai foi en son désir naissant pour moi. (Ah. Ah. Ah.) « Je ne veux pas y aller tout seul... Puis, si on le fait à deux - ahahah, mon esprit, ce perv- ta gueule - cela ira plus vite ! Des churros nous attendent chez Miguel... » Et Miguel attend de meilleures excuses que celles que je lui ai refilé (Tu ne lui en as pas refilé du tout.) C'est bien ce que je dis.
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Peter Parker
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Peter Parker

Lun 27 Aoû - 15:29



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CASSEZ-VOUS VILES TOURISTES SANS COEUR ! Euh. Qu'est-ce qu'il raconte ? T'as loupé un épisode ? Tu fronces les sourcils. Tu sais que tu devrais plus t'étonner à ce stade avec Wade mais faut croire que tu t'y feras absolument jamais.
Tout comme tu te feras jamais au fait qu'il est capable de s'excuser et de faire preuve de sincérité. Tu sais plus où te mettre tout à coup et ça te fout un coup : d'habitude, c'est toujours toi le sermonné, pas l'inverse. Alors forcément, réussir à faire avoir une prise de conscience à quelqu'un du haut de dix-sept ans, ça arrive pas bien souvent.

Tu tapotes Deadpool sur l'épaule. Tu sais pas quoi dire d'autre. Ni quoi faire.
Alors tu souris derrière ton masque, soulagé. Il a promis qu'il ne tuerait personne, c'est déjà une bonne évolution. En espérant que ça tienne.

Fais diversion. Je m'occupe des fennecs.

Tu lèves ton masque pour lui faire un clin d'oeil et l'abaisses aussitôt. Tu aurais bien pris la place du piège mais tant qu'à avoir un coéquipier immortel, autant s'en servir bien comme il le faut.

musique - Tu descends le long du bâtiment et glisses discrètement jusqu'à l'arrière de la voiture. Pendant que Wade fait tu ne sais trop quoi plus loin (une chose est sûre c'est qu'il est bruyant), tu ouvres le coffre. Il y a effectivement un animal en cage. Beaucoup trop mignon. Tu te sens triste d'avoir pensé un seul instant que tu n'aurais pas fait cette mission de sauvetage si t'avais joué au plus têtu.

Hey mon pote, je suis là pour te sauver, ne t'en fais pas. Dis-tu en chuchotant. Tu récupères la cage sans prendre le risque de fermer le coffre de peur de faire trop de bruit. Bon. Ce fennec est léger, mais encombrant. Mais tu peux pas le relâcher comme ça dans Cosmopolis, il se ferait écrasé ou choppé par d'autres braconniers. Tu jettes un oeil au-dessus de la voiture. Le groupe de malfrats s'est enfoncé dans la rue un peu plus loin, t'entends pas grand chose et tu vois absolument rien.
Pourquoi ces lampadaires ne fonctionnent pas ?!

Tu soupires. Bon. Il devrait s'en sortir seul de toute manière.

Tu te retournes et t'approches du hangar à pas de loup. Qu'est-ce qu'il y a là dedans ? Putain il fait nuit noire. On voit rien. En tout cas, tes spider-senses s'agitent. Psst... Karen, Kareeeen. Y a pas un mode vision nocturne sur ce costume ? Bien sûr que si. Je l'active de suite. Styléééé. Et là paf. Tout t'apparaît très clairement.

musique - Mais c'est parce que les lumières viennent de s'allumer soudainement. Oh-oh.

Tu fais face à une bande de mecs qui t'attendaient comme ça :

surprise butt (wade) Gangster2

Tout autour d'eux, des piles et des piles de cages d'animaux exotiques. Et pas que des fennecs. Hey... Sympa le zoo... Tu ricanes. J'ai moi aussi un serpent dans ma botte... Tu parles un peu plus fort en espérant que ça fasse venir Wade. Il entend rien ce con c'est pas possible qu'est-ce qu'il fout ?! Je disais que OHLALA MOI AUSSI J'AI UN SERPENT DANS MA BOTTE DIS DONC...

Les types en face ne rigolent pas.
Ca sent pas bon. S'ils se mettent à tirer dans tous les sens, ils risquent de flinguer plus d'une bête en ricochet. Mais si tu bouges pas tu vas te faire buter.
Tu serres fort la cage contre toi. Avec une main libre seulement aussi ça va pas être facile. Réfléchis Peter, Réfléchis...

... Salut ! Tu lances une toile vers le haut et pars t'accrocher au plafond. Vite vite vite. Tu décampes le plus rapidement possible vers le fond du hangar à la recherche d'un endroit pour au moins poser le fennec. Tu te fais canarder d'en bas, les types braillent à tout va. D'habitude t'es plutôt bon sur Metal Gear Solid quand il s'agit d'infiltration mais t'as sacrément raté ton coup.

Tu poses la cage dans un coin à l'abri (derrière d'autres cages, oui). Le fennec n'arrête pas de japper. Je reviens !! Tu seras plus rapide sans lui pour l'instant. Tu longes les murs le plus vite possible, lance une nouvelle toile au plafond pour t'y balancer et envoyer tes pieds direct dans les dents de celui avec la batte. TOUCHÉ ! ATTENTION AU RETOUR ! BAM dans les dents de celui avec le pistolet.

T'aurais bien besoin d'un petit coup de main. Histoire de pouvoir protéger tous les animaux en même temps.


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Wade Wilson
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Wade Wilson

Lun 27 Aoû - 17:45




DANS UN REPÈRE DE MÉCHANTS.
04:29 a.m

Il a accepté, mon ours peut donc mourir en paix. (Il n’est pas censé survivre justement ?) Ah, si. Mon ours peut donc rejoindre son ourson et tous deux peuvent vivre en paix. C’est beau. Je l’aime vraiment bien ce gamin. (Évite de trop t’attacher tout de même.) T’inquiètes, je gère. Tu me connais. Tu te souviens d’Edgar ? (Ton poisson ?) Oui ! Je l’aimais bien, bah quand il est mort, je n'ai pleuré qu'un jour. (Le rapport ?) Si maintenant Peter meurt, je pleurerais qu’un jour. (Tu le compares à ton poisson ?) Non, c’est l’ourson. (Oui mais tu viens de comparer ton attachement à lui à l’attachement que t’avais pour Edgar.) Oui. Tout à fait. (Donc, ça va, tu n’es pas trop attaché.) Peter c’est l’ourson, pas le poisson ! (Tu essayes de m'embrouiller, c’est ça ?) Oui. Ça marche ? (Oui.) Cool.

Tandis qu’il part sauver le fennec et bousiller les méchants, moi, je m’infiltre en douce par le côté droit de l’entrepôt. (Tu ne devais pas faire diversion dans l’entrepôt des trafiquants d’animaux, parce que là t’es dans le mauvais mon gars.) Ah, si. Une prochaine fois !

C’est là que je le vois… EUGÈNE. (Le mec dans Raiponce ?) NON IMBÉCILE ! L’ex super pote de Francis. (Aaaah, celui qui l’avait aidé à te torturer ?) Oui. Il est moche ! C’est affolant le poids qu’il a prit… On dirait un cochon laineux.

surprise butt (wade) Cochon_laineux

(Tu comptes faire quoi ?) Je suis ému, je sais pas. (ÉMU ?) Oui, tout de même, c’est comme regarder un album photo de famille, te souvenir d’un bout de ta vie… Je… Ah… Je pleure. (Sauvez-moi Seigneur pitié…) Il faut que j’aille le prendre dans mes bras ! (Et Peter ?) Il se débrouille très bien ! (Euh…)

J’allume ma petite enceinte portable, directement intégré dans un pli de mon costume - je suis quelqu’un de très évolué technologiquement, oui ! (Non, tu as juste piqué ça dans un atelier de Stark.) Chut ! S’il nous lit, je vais avoir des emmerdes. Click ! C’est bon, je peux lancer le thème approprié à ces retrouvailles… Oh, là, là, je stress !



« Destinée… On était tous les deux destinés, à voir nos chemins se rencontrer… » Je sors de l’ombre, enchaînant un pas de danse lascif - Eugène bondit hors de son fauteuil, flingues dirigés droit vers ma gueule. « MA PAROLE ! WADE WILSON ? » Oh, il ne m’a pas oublié… Je… Je pleure de plus bel, c’est… « L’avenir, malgré nous doit toujours devenir, tous nos désirs d’amour inespérés, imaginés, inavouuuuués… » Je m’avance, formant un coeur avec mes mains. « ESPÈCE DE BARJOT, J’TE CROYAIS MORT AU FOND D’UN FOSSÉ ! »

Ah, toujours à placer sa colère en avant - je sais mon petit, je sais combien il t’est difficile de t’exprimer autrement… « Eugène… » Je murmure sensuellement à son oreille… (Non, tu le murmures au mur là, il vient de te cogner.) Il fait venir ses hommes pleins de muscles, de sueurs, de virilité… (Ce sont ses gardes du corps, pas des chippendales !) « Je suis un clown démaquillé, le grand rideau vient de se baisser… »

J’évite leurs balles - non en fait je m’en prends une rafale - poursuis la mélancolie de ma danse. Je ne peux lutter contre Guy Marchand ! (Si tu pouvais lutter en revanche contre tes assaillants…) En accord avec le rythme de la mélodie, je tranche ça et là des bras, des jambes, des doigts… Il pleut du sang, des larmes, de la chair et je broie le noir de mon chagrin - tous ces cris, tous ces hommes à terre… Serions-nous au seuil de la fin de l’Humanité ? Serions-nous le remake caché d’un épisode de Peaky Blinders ? (Tu peux sortir de ton feuilleton télé ?)

« Eugène, tout ce qui nous a unit, je dois le désunir… Je… Je suis marié Eugène à présent. » Oh, c’est si douloureux. (WADE, TU PEUX REVENIR À LA RÉALITÉ S’IL TE PLAÎT ?) « Je… Francis et toi, vous resterez à jamais dans mon coeur. » Il s’apprête à m’enlacer, sans doute veut-il me retenir - (Non, il veut te poignarder.) - je fuis, m’en vais retrouver mon mari - (ENFIN !)

Le pauvre est aux affres de l’Enfer, encerclé ! Et toutes ces pauvres victimes animales ! OK ! DOUCHE FROIDE. Y’A UN RATON LAVEUR MORT QUI GIT À DEUX MÈTRES. OK, OK. FINIT DE RIGOLER. « QUI EST LE FILS DE PUTE QUI A FAIT ÇA ? » Je regarde autour de moi, voit Spidey réfugié dans un coin. « BÉBÉ, ÇA VA BARDER ! » Je ris - tel un démon démoniaque - non, quand même pas, sait-on jamais qu’un curé apparaisse et veuille m’emmener - disons que je ris tel un fou psychopathe. (Tu es un fou psychopathe.)

Changement de musique les chéris !



Je saute jusqu’à portée d’une rangée de trois types, sectionne les tendons de leurs chevilles - ils tombent, tordus de douleur. J’en profite pour récupérer leurs armes et les balancer à Peter ! « GARDE MOI ÇA DANS UNE TOILE CHÉRI ! » Je poursuis mon petit manège - ne pas tuer, ne pas tuer - ok c’est dur de ne pas tuer - Eugène débarque avec six de ses copains - merde. (Si tu t’en étais tenu au plan, TU N’AURAIS QU’UN PUTAIN DE GANG À AFFRONTER, PAS DEUX !) Je ne savais pas que j’étais dans le mauvais hangar avant. (SI TU LE SAVAIS, BOLOSS  !) Ok, ok, ça va, no stress.

« REGROUPE LES ANIMAUX, J’ME CHARGE DES FACES DE CUL… Mais… Viens m’aider après hein… » Sur ces magnifiques paroles - et cette demande de fillette - je pars en croisade.

BAM ! BIM ! TCHAAAAAK ! POUF !
(bruits de bagare)

Le sol est couvert de sang - mais pas un mort, pas un ! Pour l’instant. Je suis trop fier n’empêche. C’est Eugène qui me pose problème… Je viens de voir qu’il s’est pété par une porte dans le fond. Je fais quoi ? J’attend Peter et risque de laisser filer un des facteurs qui fait que ma vie est à chier ? Ou je le poursuis, le tue - parce que là je ne pourrais pas me retenir - et déçois Peter ? Ou risque de le faire tuer aussi s’il vient à ma rescousse ? AAAAAH.

Bon.
Je le poursuis.
Mais sans courir.
Comme ça, Peter a le temps de me rattraper.
NON MAUVAISE IDÉE.
Je ne le poursuis pas.
Le fennec a besoin de nous.
MEILLEURE IDÉE : je rejoins Peter et le fennec - et tous les animaux - nous mettons tout le petit monde en sûreté - j'embrasse Peter et lui souhaite une bonne nuit - et je reviens ici plus tard, traque Eugène, le bute, donne sa carcasse à bouffer à des porcs.
Ouais, c’est cool ça.
Et les churros ?
Merde. Mh. Plutôt que de lui dire bonne nuit, je l'envoie chez Miguel, je reviens ici lui prétextant que j'ai oublié mon téléphone, et voilà.
M'ouais. Ça pue comme plan.

« MON CHÉRI, TU ES OÙ ? »
*
FONDATEUR - SPIDERMAN
Peter Parker
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Lun 27 Aoû - 18:30



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musique - Deadpool s'offusque plus pour un raton mort à ses pieds plutôt que la situation de manière générale. Tu roules des yeux. Et qu'est-ce qui lui a pris tout ce temps d'abord ? Non. Tu ne veux pas le savoir. Il fait son job et tu fais le tiens, attrapant au passage chacune des armes pour les scellées au mur d'une dizaine de toiles - bonne chance pour les décoller ! C'est alors que six autres types débarquent. Hein ? Mais... Mais tu devais pas t'en occuper de ceux-là ?! Tu fronces les sourcils, mécontent. Est-ce qu'il t'a écouté au moins quand tu lui as dit de faire diversion ????? (non)

Bon peu importe. Six de plus ou de moins, ça ne changera pas la donne. Ton copain en collant te demande de regrouper les animaux. Mais.
Mais pourquoi il est si bête ? Ils sont tous déjà regroupés dans des cages et il faudra au mois douze Spiderman pour déplacer tout ça assez rapidement et surtout sans attirer les foudres des assaillants.

Pendant ce temps, une fontaine de sang - tu commences à t'habituer et ça te rend un peu triste. T'as jamais vu des animaux choqués d'ailleurs. Maintenant oui.
Ils ont tous des yeux globuleux et sont agités ou au contraire très silencieux, tapis dans le fond de leur prison.
Tu fais le tour des différentes cages pendant que t'entends Deadpool rire comme un diable en tranchant des gueules. Visiblement, l'attention n'est plus portée sur toi - ouf. T'en profites pour envoyer un message directement à la base pour expliquer la situation : Oui c'est Peterman- euh SPIDERMAN pardon. Je vais avoir besoin d'un petit coup de main à Ryld. Il y a un trafic animalier, je vous envoie ma position. Les types sont maîtrisés, il faut juste déplacer les cages. C'est tout ce que tu peux faire. Enfin...

Tu commences à en déplacer quelques unes, tu peux pas t'en empêcher. Il y a vraiment de tout, c'est dingue. Des singes, des chats de race, des fennecs, des oiseaux, t'as même cru voir un bison. Pauvres bêtes... Tiens ? C'est qui lui ?
Tu plisses des yeux et vois un mec s'enfuir la queue entre les jambes par la porte en face. Mmmh...

Tu lui cours après. Et tu le choppes avec une toile pour le ramener d'un coup sec vers le hangar. BAM ! Oh ! Oh ! MERDE ! Pardon ! Tu lui as cogné la tête dans l'encadrement de la porte en le faisant revenir. Bon au moins tu arrêteras de courir partout... Que tu te dis pour te rassurer.

Pendant ce temps, Wade hurle. Ah, il semblerait que ça soit pour toi.
Tu traînes le fuyard au sol.

J'en ai ramassé un qui essayait de partir. Tu t'approches de lui (toujours avec l'inconnu au bout du fil, derrière toi), et commences à poser ton index sur le torse de Wade à répétition. Pour le sermonner. Dis donc Wade Wilson. Tu foutais quoi tout ce temps pendant que je galérais ? Et d'où ils sont sortis ces types, tu devais pas t'en occuper ? Hein ? Spider-sense. Ohoh. Qu'est-ce qu'il y a ? Tu regardes autour de toi. Il en reste un. C'est sûr.
Puis du sang, un peu plus. Tu baisses le regard. Ton épaule. Ca a traversé. Oh non non tu t'es fait tiré dessus et-

Tu commences à paniquer un peu. Forcément ça n'a pas touché Wa- ah si ça lui est carrément rentré dans le bide.

T'as mal. Genre, super méga giga mal. Tu te fais jamais touché d'habitude mais il suffit que Deadpool soit dans le champ pour que tu sois distrait et que t'ignores tous tes sens qui sont supposés être un don de sURVIE. Entre ça et ton nez amoché, tu risques de mourir ce soir. Tu te tiens l'épaule dans un râle de douleur. Tu respires très mal, tu ne sais pas ce que ça a touché. Panique, panique, panique. Tu soulèves ton masque pour mieux regarder la plaie et là t'as sincèrement peur de mourir au prochain coup.

Wa...de...


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CODE KING - DEADPOOL
Wade Wilson
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Wade Wilson

Lun 27 Aoû - 19:16




POUR QUE TU TIENNES LE COUP BÉBÉ
REPÈRE DE MÉCHANT ET PIAULE DE POTE.
04:50 a.m

Ok, ok, ok, je panique ! Je fais quoi au juste ? « QUELQU’UN A DU FIL DENTAIRE ? » (Pourquoi faire au juste ?) Recoudre la plaie. Non, en fait c’est une mauvaise idée ! JE NE SAIS PAS COUDRE. Je fais quoi ? Il saigne ! Et s’il perdait d’un coup tout son sang ? Et si son bras était foutu ? Je ne veux pas qu’il soit amputé…

Respire Wade, ne laisse pas ta folie l’emporter ! Respire ! Respire !
Ok. Pensons de manière lucide.

« T’inquiètes pas Peter, ça va aller. Je vais te sortir de là ! » Ses petits potes d’Eurêka finiront bien par arriver pour s’occuper des voyous et des animaux ! Bordel, qui a tiré cette putain de balle ? Je ne vois rien ! Si seulement je n'avais pas ce moignon de poignet collé aux visières. (Charmant.) Là ! CELUI QUI COURT ! EUGÈNE, FILS DE CHIENNE ! « JE T’AURAIS, T’AURAS BEAU COURIR, JE T’AURAIS ! » Je dois le choper ! Non… Peter d’abord.

Je me penche dos à lui, l’attrape par les cuisses et le cale contre moi - il est léger, c’est dingue. « Accroche-toi. » Suite à quoi, je saute depuis la passerelle où nous nous trouvions. AÏE ! Je crois que je viens de me bousiller l’articulation du pied gauche. Fucking atterrissage de super-héros. (T’avais qu’à prendre les escaliers.) Non, c’est moins badass.

À part courir hors de ce lieu sordide - je fais quoi ? Je vais où ? (À l’hôpital ?) Oui, à la planque de Domino, tu as raison. (Non pas du t-) Elle saura quoi faire ! Surtout que sa planque est à moins d’un kilomètre - c’est rien un kilomètre quand on a le corps troué façon éponge de mer et un blessé sur soi. Rien. (Tu ironises ?) Non, franchement, ce n'est rien. J’ai vécu pire. Tu te souviens de la fois où j’ai dû ramper - parce qu’on m’avait tranché le bassin - sur près de 600m jusqu’à la piaule de Al pour finalement la trouver en train de copuler avec son voisin Eddy sur le canapé - À CÔTÉ DE MON DOUDOU LICORNE ? (Ewwwh oui.)

Je bondis dans la rue, esquivant les poubelles et les lampadaires - le fond de l’air est frais, entraînant une plus rapide coagulation de l'hémoglobine sur mon masque. Ça croûte. C’est dégueulasse. « Ça va tu tiens bon ? » Il y’a trop de voitures garées - si je m’en servais plutôt que des les contourner ? Ouaaaais, en plus, ça rajoute un côté héros en galère ! (Tu es en galère.)

Je m’élance ainsi de toit de voiture en toit de voiture - « Tu vas voir ! Je vais tout arranger ! » - BAM ! - J’ai shooté dans un rétroviseur ? (NON TU VIENS DE COGNER LA TÊTE DE PETER À UN FEU ROUGE !) Ah. Ça va. Il n’a rien, regarde, sa tête dodeline de gauche à droite - il rit ! (…)

Encore quelques mètres et nous voilà devant la planque de Domino. Je frappe. Pas de réponse. Ok. Génial. Avec la chance que j’ai, cette grognasse est en train de se saouler au rhum coco dans un bar quelque part. Je frappe à nouveau. Sait-on jamais. Toujours pas de réponse. (Hopital ?) Oui, je vais défoncer sa porte.

VLAAAN ! La porte s’ouvre non sans un fracas tonitruant. J’allume la lumière - découvre un living-room étonnement propre et rangé, agrémenté de napperons et de fleurs - AHAHAH ! Elle qui me disait être la plus dure à cuir des mercenaires - cette blague ! (Focus, Wade.)

Je dépose Peter sur le canapé - avec délicatesse, je précise - non, je ne suis pas un rustre, pas à plein temps ! Il est dans les vapes… IL S’EST VIDÉ DE SON SANG, OH MON DIEU ! (Non, tu l’as assomé bouffon !) Ah, oui, ah d’accord. Il ne riait donc pas… Mh. Bon.

Première chose à faire : fouiller la salle de bain de Domino et trouver de quoi désinfecter la plaie ; trouver une pince à épiler pour retirer la balle ; trouver un fil pour suturer la peau. (Je croyais que tu ne savais pas coudre ?) Ce ne doit pas être si compliqué. Je regarderais un tuto sur youtube. (Mh.)

Cinq minutes plus tard, je reviens au niveau du canapé et de mon bel endormi - haaaan, il est beau tout paisible, tout tranquille - il rêve de moi je suis sûr… (Tout inconscient et gravement blessé… Il rêve d’un monde sans toi…) Aloooors, je dois lui retirer son haut. C’est gênant. (Tu nous fais la prude alors que tu parles sans cesse de vouloir le niquer ?) C’EST PAS LE MÊME CONTEXTE LÀ !

Une fois son haut retiré - aaaah mais téma ses abdos, je peux toucher ? (NON !) Roh. Nul. - je compresse un coton alcoolisé sur la plaie - me saisit de la pince à épiler puis chercher minutieusement la balle… BINGO ! La voilà ! Hop ! Poubelle ! (Tu viens de la jeter dans l’aquarium… Puis... Ça ressemblait pas trop à une balle mais plutôt à un bout d'o-) Passons au saucissonnage à présent… Hehe.

Click ! Tuto youtube enclenché !

Putain, j’arrive à rien avec mes gants - ils sont trop épais pour que je puisse correctement manipuler le fil et l’aiguille. (Enlève-les ?) Oui, mais il va voir mes mains toutes pourries. (Il est dans les vapes.) Aaaah, ouais, cool, je suis content qu’il se soit mangé ce feu finalement.

Je retire donc mes gants et m’attèle à la délicate tâche de recoudre ses chairs. (Ce que tu fais, je dois l’admettre, plutôt bien. Tu m’épates Wade !) Je m’épate également… Là ! TERMINÉ ! C’EST QUI LE PLUS FORT ? HAN, HAN, C’EST WADE, HAN, HAN, C’EST WADE !

« Woof ! »

Qui a aboyé ? (Ce n’est pas un aboiement, c’est le glapissement du fennec.) IL FICHE QUOI LUI ICI ? (Je crois qu’il s’était planqué dans la déchirure de ta combinaison, celui au niveau de ton ventre.) Aaah, ça explique pourquoi il a le pelage tâché de sang et pourquoi je croyais que mes tripes dansaient la salsa - c’était lui !

Woof, n’empêche… (L’auteur est nulle, elle n'a pu su écrire le glapissement du fennec.) BOUUH L’AUTEUR, BOUUH !

« Viens là mon p’tit gars. Voici papa, que maman vient de soigner. Nous sommes tes parents. » (Ce n’est absolument pas bizarre, absolument pas…)
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Lun 27 Aoû - 20:04



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C'est assez marrant de voir Wade réagir aussi vite. Tu aurais eu tendance à penser qu'il n'aurait pas réagi tant que ça mais il y a quelque chose de rassurant à constater que tu avais tord. Il t'embarque sur son dos je ne sais où (l'hôpital, tu espères). De ta seule main non endolorie, tu t'agrippes à lui et resserres l'étau de tes cuisses autour de ses hanches (pas que t'as pas confiance mais un peu quand même).

... Wade, au pire appelle une ambu-






Hey. Salut. C'est Peter Parker. Je prends un peu la narration parce que cet abruti de Wade vient de me smasher le visage à un poteau. Le temps que je revienne à moi (si je ne décède pas, ce qui m'étonnerait fortement), je vous invite à écouter la musique d'ascenseur ci-dessus.
Honnêtement, de vous à moi, je sais pas du tout ce qu'il se passe pendant ce temps. Si Wade m'a abandonné au milieu de la rue en se disant que quelqu'un sauverait bien Spiderman de toute façon, s'il a décidé de violer mon corps inerte avec des répliques de la Belle au Bois Dormant ou s'il a réellement décidé d'agir comme un héros. Suspens suspens hein ? Moi je panique. J'ai pas trop envie de mourir. Après, je me dis que si je ne meurs pas là tout de suite, c'est Mr Stark qui s'en chargera.

Ah, il semblerait que j'ouvre les yeux. Vous pouvez arrêtez la musique d'ascenseur et reprendre celle qui va suivre ! Voilà ! À plus !

musique - Tu ouvres les yeux. Difficilement. Tu n'es pas mort, et tu le réalises assez rapidement lorsque la vive douleur de ton épaule se manifeste. Et celle de ton nez. Et celle de ton front. Pourquoi ton front déjà ? Ah, oui.

Tu tentes de te redresser - en vain. Aouch.

Où on est ? Tu baisses les yeux. Wade joue avec un fennec. ... Qu'est-ce qu'il fait là ?! Argh. N'hurle pas, n'hurle pas, ça lance.

Tu regardes autour de toi. On dirait une planque. C'est vraiment. Trop. Cool. C'est la sienne ? T'imaginais un truc plus... moins... comment dire... moins propre. Etonnant. ... Merci. Soupires-tu. Blanc comme un linge. Mais en vie, hey.
Tu baisses encore plus les yeux. Et a un hoquet de surprise à la vue de ses mains. Attends, ça va tes mains ? Tu t'es brûlé ?! Comment ?! Y a eu une explosion, un type avec un lance flamme, j'ai raté des tru- aouch. Tu te tiens l'épaule. Calme toi, bon sang.

Tu reprends ton souffle. Enfin, t'essayes. Il faut que tu ramènes le fennec... C'est pas un chaton... Mais il est vraiment trop mignon, quand même. D'ailleurs, l'animal en question court partout, sauf dans la direction de Wade. Il débarque sur ton ventre (le fennec, pas Wade). Tu souris, comme un môme. Cependant, au moment où tu essayes de caresser ses grandes oreilles, il se carapate le plus loin possible dans la pièce. Ah, forcément, il est super sauvage.
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Wade Wilson

Lun 27 Aoû - 20:53




♬ GROSSE AMBIANCE
DANS LA PLANQUE DE DOMINO.
03:30 a.m

Il est chiant ce renard miniature du désert, d’où il me fuit ? MOI ! SON HÉROS ! La mère qu’il n’a jamais eu… Haaan ! Imagine, il est orphelin ? Comme moi ? (Tu n’es pas orphelin…) SI ! J’ai des souvenirs qui remontent à la surface de ma mémoire… Toutes ces nuits que j’ai passé à arpenter les rues froides et grises… Tous ces jours, sans début ni fin, où je n’avais d’autre choix que de faire la manche, de voler avec les autres gosses du quartier. Si je n’avais pas été recueilli par ce bon vieux docteur, j’aurais fini sur la potence, pendu haut et court ! (Je rêve ou tu me fais un mauvais résumé d’Oliver Twist ?) Pas du tout. Alors, ce fennec, il est où ? (…)

Oh non ! ALERTE ROUGE ! PÉTOUNET VIENT DE CAPTER MES MAINS ! JE FAIS QUOI ? Déjà, je remets mes gants - ok, voilà, je me sens mieux. Non, absolument pas. « Oui, une bombe d’acide a explosé et j’ai perdu tous mes membres ! » Ah non, c’est bête ce que je dis. (Tu crois ?) « Je veux dire, j’ai trempé par accident mes mains dans la friteuse d’un des méchants. » Mh. Je suis presque sûr qu’il n’y avait pas de friteuse dans l’entrepôt. (Non, il n’y en avait pas.) « CE QUE JE VEUX DIRE C’EST QUE JE VAIS MOURIR ! » (QUOI ? MAIS NON PAS DU TOUT !) Merde. Je crois que je délire.

Ok. Je vais laisser couler.
Ne pas en parler évite à mon cerveau de sortir plus de conneries encore. (Je ne suis pas certaine de la fonctionnalité de cette technique…) Toi, tu la fermes. Tu ne m’aies d’aucune aide !

« Je ne veux pas abandonner le fennec… Il a besoin de nous ! » Je me penche vers l’animal, réfugié sous une commode. « On peut l’adopter ? Hein ? Alllllezzzzz ! » J’essaye de le déloger mais il grogne - on dirait moi quand je fais caca et que quelqu’un m’appelle. (Superbe comparaison.) Ses poils ont l’air si doux et soyeux, je veux trop le caresser ! (Oublie.)

Bon. Mieux vaut revenir au chevet de mon grand blessé. « Tu n’as pas envie d’un chocolat chaud ? » Moi j’ai envie d’un chocolat chaud. Pas le temps de m’asseoir deux secondes à ses côtés que je file vers la cuisine. Je ne sais pas où Domino range ses tasses et son cacao - je vais bien finir par trouver.

Neuf minutes plus tard : je trouve. Casserole sur le feu, armé d’une cuillère en bois et vêtu de son tablier - aux motifs hippies, non mais quel bobo celle-là - je m’improvise cuisiner. Ah mais… Tu crois qu’il l’aime comment son chocolat chaud ? (Chaud ?) Non mais, et s’il l’aimait tiède ou froid ? (Et s’il n’aimait pas du tout le chocolat chaud ?) HAN ! NON !

Je me précipite, la casserole brûlante en mains - oui non parce que j’allais pas la laisser sur le feu - et si le fennec avait bondit dessus ? Hein ? Il aurait cuit ! (Je ne pense pas que le fennec aurait bondit sur la casserole…) Dans l’élan de ma course, le tablier s’accroche à l’angle d’un meuble - je trébuche - JE NE TOMBE PAS, FUCK LE KARMA ET OUAAAAIS - en revanche la casserole se renverse sur moi. FUCK MOI... Ouais... Génial.

Tout vas bien.
C’est comme pénétrer un sauna.
Ou l’anus d’un mec dans un sauna.
(Ehw…)

« NON ÇA VA PAS ! AAAAAAAAH JE BRÛLE ! À L’AIDE ! PETER ! REFROIDIS MOI ! » (Je crois que dans le jargon mafieux, refroidir quelqu’un c’est le buter…) RAMÈNE PAS TA SCIENCE TOI, C’EST PAS LE MOMENT ! Je vais fondre… Je suis composé d’eau. JE VAIS M’ÉVAPORER ! Oh, la, la !

Pendant ce temps là : le fennec pisse sur le tapis du salon.
Information inutile, certes, mais… Il fallait que je l’écrive.

Je cours - que dis-je - JE VOLE jusqu’à la salle de bain où j’entreprend de me dévêtir à la vitesse de la lumière - bite à l’air et crâne chauve à la lueur du néon, j’allume le jet de la douche. BORDEL C’EST CHAUD ! (Tourne le bouton, abrutis !) Ok, ok, ça va. (Par contre, tu aurais peut-être dû te mette DANS la baignoire et pas tirer le pommeau jusqu’à toi ?) Bah, ça change quoi ? (Ça change que t’es en train d’inonder la salle de bain.) MERDE, MERDE ! COMMENT ON ARRÊTE CE MACHIN ?

Je tire un coup sec - la tuyauterie tombe à mes pieds et de puissants jets d’eau partent dans tous les sens. MERDE. Je ne suis pas doué. (Ah ça…) Je ne suis pas doué ET Domino va me niquer ma race. (Oh oui !)

Pendant ce temps là, tandis que l’eau commence déjà à se répandre sur le paquet du living-room : le fennec ouvre un placard - il est intelligent cet animal - et entreprend de bousiller un paquet de tortillas au piment.


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surprise butt (wade)
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