ANNÉE 1983, DAVID, DERRICK ET DUSTIN, PASSIONNÉS PAR LA SCIENCE-FICTION ET LA POP CULTURE, DÉCIDENT D'ENVOYER UN MESSAGE DANS L'ESPACE GRÂCE À UN ORDINATEUR SOPHISTIQUÉ DEPUIS LEUR PETIT GARAGE À COSMOPOLIS, DANS LE CONNECTICUT. PUIS C'EST PARTI EN COUILLE.PLUS DE TRENTE ANS APRÈS, GRÂCE AUX EXPLOITS INFORMATIQUES DES "3D" (POUR "THREE DICKS"), LES ALIENS FOULENT ENFIN LE SOL TERRESTRE ! MAIS À QUEL PRIX ? C'ÉTAIT À L'ÉPOQUE UNE SIMPLE PASSION. NI FEMME, NI EMPLOI, DAVID, DERRICK ET DUSTIN ONT PASSÉ LE PLUS CLAIR DE LEUR TEMPS (ET LEUR VIE) À ÉTUDIER L'ESPACE ET LA POSSIBILITÉ DE LA VIE AILLEURS QUE SUR NOTRE BELLE PLANÈTE. SANS DIPLÔMES OU CERTIFICATS, ILS SE CONTENTENT DE CONCEVOIR DES ORDINATEURS ET AUTRES SOFTWARES CHEZ EUX DANS LE SEUL INTÉRÊT D'ENVOYER UN MESSAGE AU-DELÀ DE LA SURFACE TERRESTRE. ILS L'ONT APPELÉ CODE COSMO EN HOMMAGE À LEUR VILLE CHÉRIE (C'EST FAUX, ILS N'ONT JUSTE AUCUNE IMAGINATION), COSMOPOLIS.
EN COURS D'AFFICHAGE (WADE ET LE CODE SE BATTENT)

Les visiter en attendant : CLICK !
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surprise butt (wade)

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FONDATEUR - SPIDERMAN
Peter Parker
Crédits : -594
Peter Parker

Lun 27 Aoû - 22:04



surprise
butt

w/ deadpool



musique - Il y a un sacré bordel dans la pièce à côté ? Tu fronces les sourcils. Il fait quoi encore ? Il sait pas prendre de douche comme un grand ? Soupire. Le fennec est tout agité, qu'est-ce qu'il ma- nON PAS ÇA !! Tu fais fi de la douleur pour t'élancer vers l'animal - ou plutôt le paquet éventré pour le renfermer dans un placard en hauteur. Non, arrête, pas bon ! Caca ! Recrache ça !

De l'autre côté, tu entends le bruit de l'eau - mais pas le genre d'eau qui sort d'un pommeau. Tant qu'à faire, maintenant que tu es debout, autant vérifier ce qu'il se trame du côté du mercenaire. C'est sans gêne (plutôt, sans réfléchir) que t'ouvres grand la porte, sans prendre le soin de toquer ni quoi que ce soit.
Il te faut bien un moment le temps de comprendre ce qui s'affiche son ton nez.

1) La tuyauterie défoncée
2) Wade qui tient le pommeau mais pas dans la baignoire.
3) L'eau partout
4) Le cul nul de Wade (et tout ce qui va avec)
5) LE VISAGE DE WADE ???
6) LA ""PEAU"" DE WADE ??

Attends, attends. Une chose en son temps.
La fuite. Enfin. Pour ce que tu peux y faire. T'y connais pas grand chose en plomberie mais couper l'eau devrait suffire. Tu fonces dans l'entrée en espérant y trouver un placard et - ah. C'est là. Tu mets tout ça en mode off avant de retourner en panique jusqu'à la salle de bain pour vérifier si tout va bien. Visiblement, oui. Enfin, à quelques choses près.

Oh. Euhm. Dé-Désolé. Tu t'empresses de lui tendre une serviette pour au moins se couvrir le bas. Et tu restes planté là, les bras ballants. Comme un con.
Pour ta défense, tu t'attendais pas à... ça ce genre de physique. Qu'est-ce qu'il lui est arrivé pour que sa peau soit ainsi ? Enfin, ce type est immortel et tout repousse. Pas la peau ? C'est étrange et tu n'arrives pas à décrocher ton regard aussi mal placé qu'il peut être.

C'est pour ça que tu voulais pas retirer ton masque... ? Dis-tu d'un ton désolé. Mince. Idiot. Il ne veut sans doute pas de pitié. Tu secoues ta tête. Ok. Stop. Quelque chose de sympa, qui n'enfonce pas la situation dans un malaise sans fin.

Ca a son charme. Tu souris. E-Enfin j'veux dire que... T'es bien. Tu as de beaux yeux. Tu fermes les yeux. C'est gênant. ... Bon je retourne dans la salle-

Sans plus attendre, tu pars d'un pas pressé en direction du sofa pour t'étaler dessus. C'est vrai que t'as encore mal. Et maintenant, t'es gêné.
coded by blair of shine & ooc


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CODE KING - DEADPOOL
Wade Wilson
Crédits : 7
Wade Wilson

Lun 27 Aoû - 23:02




♬ LOL
DANS LA PLANQUE DE DOMINO.
03:49 a.m

Est-ce que tu crois que si j’arrête de respirer, genre je bloque l’air dans ma bouche, je finis par m’évanouir et me réveiller dans un pays merveilleux ? Comme celui d’Alice ? Où des lapins fument des chenilles qui fument du narguilé ? (Hein ?) Super. J’essaye ! (NON, WADE !) Comment je fais alors pour éviter le regard de Peter ? (Tu le laisses filer ? Ah, tiens, il vient de le faire.) Génial. (Il a tout de même dit que t’as de beaux yeux.) Par pure politesse, c’est certain.

Je ne sais pas quel est le pire entre : le fait qu’il m’ait vu entièrement nu et donc entièrement cancéreux ou le fait que, en nouant ma serviette autour de la taille je viens accidentellement de pincer mon pénis. « BORDEL DE MEEEEERDE ! » Ça fait mal ! ÇA FAIT MAL ! JE VAIS PLEURER ! (Sois un homme, accepte la douleur.) Facile à dire, t’as pas de service trois pièces en vrac toi ! (Glamour.)

1 minute 29 secondes plus tard : je suis calmé. Bien, pensons de manière lucide. Il m’a vu, et ? Et ? ET ? (Quoi ?) Tu n’as aucun conseil à me refiler ? (Assumer ?) Mh. Essayons. C’est vrai que si l’Histoire nous a bien prouvé une chose, c’est que lorsque les hommes assument leurs actes, la paix s’installe durablement. (Non, pas vraiment mais…) AINSI. MOI, WADE WILSON. JE VAIS SORTIR NU FACE À PETER PARKER. (Je doute qu’il ait très envie de te voir nu - juste pour le principe de la pudeur, tu connais ?) C’est lié à la puberté ? (Euh…) Laisse-moi gérer ça, je suis adulte après tout.

Tel Adam au sortir du jardin d’Eden, je franchis le seuil de la salle de bain - et c’est d’un pas élégant, gracieux et déterminé que je me dirige vers le divan. Dans cette avancée digne d’un héros grecque - le destin me joue un mauvais tour et offre en litanie à mes pauvres pieds - monture de fortune - le fennec en rampart imparable à l’équilibre. Je chute - tel le guerrier de Troie du haut de sa falaise, acculé par les Perses mais vai- (WADE.) - ok je chute, évidement par-dessus le divan et m’écrase sur Peter.

Ses cheveux sentent bon mais si je pouvais éviter de les bouffer, ça m’arrangerait - han, son visage est si doux, si duveteux - le pauvre, j’espère que je ne lui ai pas accentué la douleur de son épaule ? (Mais non, tu es si léger, si délicat…) Ouf. C’est plutôt inconfortable comme position. Il faut que je me sorte de là ! (Inconfortable et gênant au possible oui !) Oh ça va, il a déjà du se prendre un homme nu dans sa vie. (Dis comme ça…)

« Désolé Peter, je suis… ARGH ! C’EST QUOI LE MACHIN LÀ ? QU’EST CE QUE C’EST QUI ME BOUFFE LES PIEDS ! » Le fennec. Évidement, c’est le fennec. Il n’a pas mieux à faire que de tester la qualité nutritive de mes orteils ? PAS MIEUX ? GENRE CROTTER SUR UN COUSSIN ? « BOUGE, PETIT CON ! » - je gesticule, sauf qu’étant toujours sur Peter - gesticuler : c’est difficile. « Si tu pouvais te laisser glisser d’en dessous de moi jusque sur le tapis, cela nous aiderait ! » (Si TOI tu pouvais arrêter de gesticuler comme un asticot au bout d’un hameçon, ce serait merveilleux !) Le fennec est tenace, ce n’est pas de ma faute !

Je parviens, non sans mal, à me relever. J’époussette mon haut - ah non, je n’en ai pas. Mon bas ! Non, non plus. La lumière du lustre est très vive - tu ne trouves pas que cela fait ressortir mes cicatrices ? (Un peu.) C’EST LAID ! Oublions le fait de s’assumer, Adam, la pomme, le fennec et tout ce bordel - UN PLAID, ET VITE !

Tel un sushi, je m’enroule dans le premier sus-nommé trouvé pour mieux m’enfuir dans un coin de la pièce. Là, recroquevillé face au mur, je médite. (Non, tu geins comme un bébé.) JE MÉDITE. (TU GEINS !) Ok je geins, c’est gênant.

Je m’en vais donc, cette fois-ci, en direction de la cuisine - pour y faire quoi, je ne sais pas encore - mais c’est mieux que d’être collé au canapé et à Peter. « JE VAIS MOURIR ! » (POURQUOI TU SORS ÇA D’UN COUP LÀ ?) C’est pour lui faire comprendre que je suis un peu gêné par la situation. (ON NE DIT PAS JE VAIS MOURIR À QUELQU’UN QUAND ON EST GÊNÉ, ON LUI DIT QU’ON EST GÊNÉ !) Ah. Bon. Soit.

Effectuant un énième trajet - en fait, je n’arrête pas de bouger dans tous les sens, le fennec toujours sur mes talons - visiblement il adore mes pieds - je m’arrête au niveau de la table basse séant face au divan pour finalement m’y asseoir. « Maintenant que tu sais à quoi je ressemble, je suppose que je peux dire adieu à nos fiançailles ? » Mince, ça c’était la phrase n°2 que je voulais lui sortir. Je ne me souviens pas de la n°1 ! AH SI ! « Tadaaaaam ! Le revers de médaille de mon super pouvoir badass. Immortel mais moche. » Les origines de ma mocheté - on y viendra plus tard - ou jamais - ouais jamais, c’est cool jamais. « Tu veux bien le faire, le chocolat chaud ? J’ai pas perdu l’envie d’en boire… » (Gros bébé.)

En fait, si, je la perds un peu.
J’ai une mini douche froide - pourquoi, va savoir… Il m’a vu.
Ça me fait chier. Ça me fait très chier. Personne ne doit me voir. (Beaucoup te voit tel que tu es, pourquoi lui ça t’emmerde ?) Je ne sais pas. J’ai envie de rentrer et de jouer à des jeux vidéos. (Si ça peut te redonner le sourire, parce que quand tu déprimes, t'es encore plus moche.) Salope !

*
FONDATEUR - SPIDERMAN
Peter Parker
Crédits : -594
Peter Parker

Lun 27 Aoû - 23:37



surprise
butt

w/ deadpool



musique - Wade tombe sur toi et à force tu te demandes s'il ne le fait pas juste exprès. Tu pousses un râle de douleur et d'agacement car, je le rappelle, UNE BALLE T'A TRAVERSÉ L'ÉPAULE TOUT À L'HEURE. Chose que ton pote passe son temps à oublier on dirait bien parce qu'en plus de ça il gigote bien et très franchement, rencontrer d'aussi près son bas-ventre en mode baiser d'esquimau ça te met juste très mal à l'aise. Alors tu te débats comme tu le peux, avec une seule main, en vain. Wade ! Wade ! Arrête de bouger tu me fais super mal put- Comment ça c'est à toi de bouger ?! Tu fronces les sourcils mais il parvient à se redresser à ce moment là - une chance, sinon tu lui aurais envoyé une toile au travers de la gueule. Attendez une seconde elle est passée où sa serviette ? Tu deviens rouge d'une seconde à l'autre et tu détournes le regard - tu l'as déjà vu avec cette histoire de grand mères mais tu aimerais bien ne pas avoir à t'en souvenir, merci.

Deadpool s'en va. Hein ? Pourquoi ? Tu l'entends chouiner de l'autre côté et il a vraiment la bougeotte, le voilà qui revient et s'installe en face de toi. Tu t'assieds correctement sur le sofa, non pas sans douleur. D'ailleurs, qu'est-ce que t'aimerais pouvoir remettre un t-shirt parce que ça caille.

Il se traite de moche. C'est vraiment... Improbable. A l'opposé total de la confidence dont il fait preuve d'habitude (pour le peu que tu le connaisses). Tu te sens attristé pour lui - encore plus parce que tu sais que tu es une bonne épaule pour pleurer mais définitivement pas la personne pleine de bons conseils et qui sait parler pour faire ravaler les larmes. Mais, tu vas t'essayer.

Tu me demandes de faire un chocolat chaud alors que j'arrive à peine à bouger un de mes bras ? Tu ris. Puis tu attrapes son bras et effleures les brûlures (ou tout ce qui s'apparente à des brûlures) pour en découvrir les reflets. C'est étrange, on ne dirait pas de la peau humaine. Deadpool serait donc un grand brûlé ? En tout cas, ça y ressemble, mais tu ne veux pas t'avancer. T'es loin d'être moche, Wade Wilson.
Tu le regardes droit dans les yeux. Je trouve ça trop stylé ça fait bad guy et ça raconte une histoire. Que t'as survécu à plein de trucs. Et puis, ça va, enfin, j'veux dire, c'est juste ta peau qui est différente mais t'es pas défiguré avec la moitié du visage qui a coulé ! Tu baisses la tête. Désolé je suis vraiment nul avec les compliments je sais pas m'y prendre, tout c'que je veux dire, c'est que, Peter, tu vas dire une connerie, si j'étais gay, ou bi, ou je sais pas quoi, je te sauterai dessus. Ah bah bravo. Tu réalises ta connerie. Enfin- T'as compris. Je suis pas intéressé hein je te l'ai déjà dis en plus t'es carrément plus vieux que moi- Peut-être pas une bonne façon de le rassurer ça, ... Je vais faire du chocolat chaud.

Au Diable la douleur, c'est trop gênant cette conversation. Tu te lèves et tu pars dans la cuisine chauffer du lait dans une casserole. Pendant ce temps, le fennec s'est tapi dans un coin, fatigué sans doute. Pauvre bête. Il faudra que tu penses à appeler le zoo ou un vétérinaire demain, sinon tu sens que Deadpool va commencer à lui donner un petit nom et le garder ici définitivement - ça n'arrivera pas.

Tu reviens un instant. C'est les joues un peu roses que tu finis par demander : Je peux rester dormir ?
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*
CODE KING - DEADPOOL
Wade Wilson
Crédits : 7
Wade Wilson

Mar 28 Aoû - 0:19




SO MUCH LOVE
DANS LA PLANQUE DE DOMINO.
04:05 a.m

Ce n’est pas Wade Wilson qui parle, c’est moi, la voix que d’ordinaire vous lisez entre les parenthèses. Pourquoi ? Disons que, pour rendre compte au mieux de la situation tout en gardant une qualité narrative - je suis l’élue ! L’auteur en a décidé ainsi. FUCK YOU WADE ! (TA GUEULE.)

Tu ne sais pas si tu dois sourire - car le commun des mortels, lorsqu’il reçoit un compliment, opte pour cette réaction physique - ou si tu dois t’enrouler davantage dans ton plaid de sorte à te cacher totalement. Tu tiens plus d’une adolescente que d’un homme - ce que je peux concevoir étant donné le fait que des compliments, dans ta vie, tu en as peu reçu. (FAUX !) Chut, JE raconte.

La partie de son discours sur le fait que s’il avait été gay ou bi, il t’aurait sauté dessus - tu n’y prêtes presque pas attention. (Quand mê-) Presque parce que t’es trop perplexe. Et quand tu es perplexe, Wade, ton cerveau fonctionne au ralentis. Jouer les minettes rougissantes ou les potes à l’égo gonflé : très peu pour toi. Alors, quelle réaction as-tu lorsqu’il finit par accepter de faire ton chocolat chaud - je précise : plus pour atténuer sa gêne que pour te faire plaisir - mh ?

Tu lui saute dessus.
Évidement.
Qu’aurais-tu pu faire d’autre…

« Une minute. Une seule. » Tu murmures, puis tu l’enlaces, prenant garde - ô miracle - à ne pas appuyer sur son épaule endolorie. C’est agréable. Apaisant. Chaud. Tu t’offres même le luxe d’un soupire d’aise - léger - comme le parfum de shampooing de ses cheveux. Si improbable soit-elle, cette scène est magique. Pour ce qu’elle offre de vous et pour : le silence du fennec. Là, assit non loin, il vous contemple.

La minute s’est écoulée. Tu t’écartes, embarassé - mais ça Wade, tu te gardes bien de le montrer. (Je suis viril !) Ne gâche pas tout !

Lorsque tu reprends tes esprits et ta contenance - la logique, amie rare dans ton cas, nous le savons, te pousse à chercher de quoi te vêtir. Ta combinaison est dans un sale état - autant porter une serpillère et non merci, tu aurais l'air ridicule ! Domino doit bien avoir des vêtements amples quelque part… « Mh. Je reviens, j’te laisse préparer le chocolat. »

Tu fouilles les placards de sa chambre - elle va définitivement t’arracher les yeux de la tête - jusqu’à, par chance, trouver un jogging et un pull. Et. Et. UNE SECONDE. Ce ne sont pas les tiens ? Qu’est-ce qu’ils foutent ici ? (Alors, ma petite voix, fait que tu ignores : Domino, in love de moi, me voue un culte et pique régulièrement mes fringues pour se mas-) OK, OK ÇA VA. MERCI. Ta chance paraît moins jolie d’un coup… Ehw.

Vêtu à la cool - bizarrement, tu conserves une certaine allure - tu réapparais dans le living-room. (C'est agréable d'être... À découvert.) Je me doute... Le Fennec bondit sur tes pieds - il n’en aura visiblement jamais assez. Plus rapide qu’il ne l’est, tu l’attrapes et le brandit en l’air au dessus de toi. « ALORS, ON FAIT MOINS LE MALIN, HEIN, TSUKI ? » Tsuki ? (Quoi ? C’est joli non ?) Ça fait fille. (Si tu savais…)

Ne le lâchant pas - c’est que tu es plus têtu qu’un mulet - tu regagnes le salon. « Je ne le rends pas ! Il est à nous ce fennec. Nous l’avons sauvé ! Surtout que… Après ce que nous avons vécu ensemble cette nuit, il ne pourrait retourner à l’état sauvage dans une réserve ! Regarde comme il m’aime ! » Il te mord mais… Y’a de l’espoir !

TCHAK !

Il te mord un peu trop là ! Lâche-le ! (NON !) Wade, tu le lâches ! (Noooon !) Ok, je compte jusqu’à trois. Un. (OK, COMPTE PAS, ÇA ME FAIT PEUR !) Espèce d’enfant ! (Je ne suis pas un enfant !) Tu t’entends parler ? (NON PUISQUE NOUS SOMMES MIS PAR ÉCRIT !) Ne recommence pas à briser le 5e mur ! (C’EST LE 4E !) Non, je suis sûre que c’est le 5e ! BREF. On s’en fiche !

Tsuki, trop heureux de pouvoir retrouver le tapis - qu’il s’amuse à mettre en pièces, laisse notre cher ami en proie à un vague-à-l’âme. Qui ne tarde pas à s'évanouir au profit... D'une odeur. L’odeur du chocolat chaud en préparation. Une odeur qui l’enivre… Ainsi, il va, trottine, chemine - avant de s’arrêter dans le dos de Peter qu’il entoure sagement d’un bras - étreinte étonnement tendre. « Alors, bientôt dégustable ? » Tu te rends compte que c’est un geste de vieux couple ça ? Le coup du mari qui câline sa femme tandis qu’elle cuisine ? (TROP PAS ! C’EST UNE ACCOLADE MASCULINE !)

Alors pourquoi tu viens de subitement reculer ? (J’ai chaud.) Ah ça… Peter, lui, il a froid semble t-il. (Le plaid !) Tu t’en saisis puis lui balances sur la tête - tu n’aurais pas pu le déposer sur ses épaules, non, non. (Faut savoir ! Cela aurait aussi fait vieux couple ça !) Et dis, tu n’aurais pas oublié quelque chose ? (Quoi ?) Il t’a demandé, un peu plus tôt, s’il pouvait rester dormir. (Ah.)

« Bien sûr que tu peux dormir ! Par contre… Ici, ce n’est pas chez moi. C’est à une très bonne amie. Ne t’en fais pas. Nous squattons souvent l’un chez l’autre. » Et avec toutes les parties de jeux vidéos que vous faites, tu ne l’as jamais battu à Brotherhood 2. AHAHAH. (Je l’aurais un jour, je l’aurais !) « J’ai ma ceinture de téléportation donc, il me suffira de nous téléreporter chez moi. J’te préviens, c’est le bordel, pas comme ici. »

Si mon souvenir est juste : t’as laissé une poupée gonflable traîner sur ta table de cuisine non ? (Ahem, non, non.) Ah ? (Elle est sur le frigidaire.) Génial.

*
FONDATEUR - SPIDERMAN
Peter Parker
Crédits : -594
Peter Parker

Mar 28 Aoû - 1:08



surprise
butt

w/ deadpool



musique - Oh- Okay. Que tu dis lorsqu'il t'enlace en sortant de nulle part. Tu ne sais pas trop où mettre tes mains au début et tu apprécies le simple fait qu'il n'écrase pas ton épaule encore une fois. Une prise de conscience, alors ? Tu lui tapotes amicalement le dos et réalises que cette étreinte est un peu plus longue que ce que à quoi tu t'attendais - et une minute de câlin, mes amis, c'est très long. T'as le temps de lorgner la déco dans les moindres détails et loin de toi l'envie d'être malpoli, tu apprécies le geste mais... Bon. C'est Wade. Pas Reiner. Ou- Pourquoi tu penses à elle ? Redescends sur terre.

Le mercenaire finit par tracer sa route ailleurs et réapparaître aussitôt avec le fennec dans les bras et quelques couches de tissu en plus sur les épaules - dieu merci. Tu soupires. Non Wade, c'est un animal sauvage. Sa place est en liberté. Avec ses frères. Ses soeurs. Tout ça, tu sais. Et ne lui donne pas de prénom... tu vas t'attacher pour rien. Même pour toi c'est difficile, tu adores les animaux. Mais tu les adores à tel point que tu préfères les voir dans leur élément naturel et pas dans un appartement urbain. Pendant ce temps, tu espères qu'Eurêka a pu récupérer le reste des cages et travaille activement avec la police pour mettre fin au trafic. Et dire qu'il y en a un ou deux qui courent toujours... Tu espères qu'ils seront vite retrouvés. Une chance que vous portiez vos masques à ce moment là.

Wade pose son bras. Et le retire. Il a de sérieux problèmes, hein. Tu déverses le lait dans le mug et le mélange à la poudre de cacao. Tu tends le tout à ton acolyte qui en a profité pour te remettre le plaid. Tiens. La seconde suivante tu apprends que ce n'est pas chez lui. Et tu te sens bien mal à l'aise. Non seulement parce qu'il a détruit la salle de bain mais en plus que tu as salopé le sofa avec ton sang. Tu te pinces les lèvres. Et espères ne jamais rencontrer cette très bonne amie.

Téléportation ? Comme la dernière fois où il t'a salement lâché au milieu des champs, oui. Comment ça se fait que tu aies un tel gadget ? Même nous on en a pas à Eurêka c'est pas juste. Tu hausses l'épaule. Le plaid glisse et tombe. Tu soupires. Maladroit. Tu le ramasses et le remets en place. Honnêtement peu importe, je veux juste pas retourner à la base, ils vont m'engueuler et j'ai... oh merde. Tu regardes l'horloge dans ton dos, tout paniqué. Presque cinq heures du matin. Oh non non ! Je dois aller en cours dans trois heures ! POUR CET EXAM DE BIO POURRI. Ca y est tu stresses. T'as même pas révisé. Merde merde merde. Comment tu vas aller en cours avec cette blessure, même ? Respires, réfléchis.

... Tu saurais appeler mon lycée demain en te faisant passer pour Mr Stark et dire que je pourrai pas venir... ? Puppy eyes.
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CODE KING - DEADPOOL
Wade Wilson
Crédits : 7
Wade Wilson

Mar 28 Aoû - 1:44




OH YES !
CHEZ WADE.
04:20 a.m

Je rêve ou il me demande de mentir pour lui ? Le chocolat chaud me fait du bien, mmh. J’aimerais me baigner dans une baignoire de chocolat chaud… Ce doit être tellement agréable ! Imagine ! Avec des petits canards en guimauve qui flottent ! Oh et du bain moussant comestible - genre, de la crème fouettée ! OH ET ! IL M’A DEMANDÉ DE MENTIR POUR LUI LÀ ! Je n’ai pas oublié ! Putain, comment je m’embrouille tout seul… (Sans déconner.) Mentir, j’aime ça. Je viens de m’en souvenir. (Comment peut-on oublier un truc pareil ?) Ce sera drôle !

« Pas de soucis bébé, j’appelle, je joue les types sérieux… Tony, quoi - ça passera comme un doigt dans du beurre ! » Surtout que cela m’évitera d’être réveillé à 7h par son devoir de lycéen - la barbe ! Tout de même, je me demande ce que cela fait d’étudier. La sensation de fierté quand tu reçois une bonne note ? La honte quand tu en reçois une mauvaise ? (T’as qu’à t’inscrire dans une université !) Plutôt crever !

Je termine ma tasse, la pose dans l’évier - il est temps de constater nos dégâts. Combien de fric je vais devoir filer à Domino pour qu’elle passe l’éponge et paye les réparations ? Un sacré paquet, je le sens. Ou alors, je la baise - elle n’attend que ça. Pour sûr que tout me serait pardonné ! (T’es un gigolo ou quoi ? Remarque, elle est hyper bonne Domino.) Un peu ouais ! Le truc c’est que j’me suis promis de pas la toucher - Cable est fou amoureux d’elle. Ça me ferait chier qu’il m’en veuille. (Mh.) Non et puis, la connaissant, elle voudra directe me passer la bague au doigt : j a m a i s !

Ma combinaison git sur le carrelage trempé de la salle de bain - dans mon malheur, j’ai un peu de chance. La poche avant, celle sur le haut, est sèche. C’est là que je garde ma petite réserve en cas de pépin. (Ta grosse réserve ouais, qui se promène avec 30 000 dollars ?) Tu crois que si je lui en laisse 10 000 c’est bon ? (Je suppose ?) Va pour 10 000. Je les glisse sous un des oreillers de son lit, ma combinaison avec - elle saura que c’est moi. Je suis sûr qu’elle sera heureuse de l’avoir - pleine de mon sang, de mon odeur - dans son fanatisme, elle va la foutre dans une vitrine ahahah.

« Bon, il est temps de partir ! » Je regarde Tsuki, enfin calme - ô par tous les satans - il dort ? Il est trop mignoooooon ! Ça me fait trop chier de ne pas pouvoir le garder… « Dis, on ira lui rendre visite alors ? Dans son petit paradis pleins de ses frères et soeurs, hein ? » (T’en parle comme s’il était mort !) IL EST MORT, DANS MON COEUR ! Enfin non mais presque. Je voulais trop l’adopter…. Trop, trop, trop ! (Pense à Douille !) OH ! Mon doudou pigeon, il me manque…

« Accroche toi à mon bras - et tâche de ne rien laisser traîner derrière toi. Si ma pote sait que je suis venu accompagné, elle me tue. Genre. Littéralement. » Je clique sur l’un des boutons de ma ceinture et hop ! Nous voilà, lui, Tsuki et moi dans mon salon. « BIENVENUE CHEZ WADE ! » Ce n’est pas le grand luxe - mon canapé en cuir gueule au monde qu’il a trop vécu, mon tapis est couvert de paquets de chips, ma table basse l’est de DVDs de Buffy Contre les Vampires… Il y’a des armes éparpillées un peu partout sur le parquet, des plumes… La poupée gonflable, dégonflée en l’occurence, gît sur le toit du mini-frigo plein à craquer de bières et de jus d’abricot (Ce contraste...) - j’étais persuadé d’avoir laissé Dolly sur le gros frigo dans la cuisine ! Mh. Douille a dû s’amuser.

Le voilà justement qui vole à notre rencontre - qui essaye plutôt - il se mange quelques murs, hurle à la mort - puis s’échoue à mes pieds. « MON PIGEONOT GOUZI GOUZI GOUZI ! » Je lui chatouille le bas du cou - il roucoule. (Non, il semble sur le point de vomir ! Pique-le l’machin putain !) NON, IL EST ROBUSTE, IL VA ENCORE VIVRE CENT ANS ! Tu verras ! (Demain, il est clamsé.) Connasse.

« Ma ceinture, c’est le cadeau d’un pote du futur. » Dédicace à toi Cable, j’t’aime bro. « Bon. Tu dors dans mon lit, je prends le canapé. Je compte me faire une petite partie de GTA avant de pioncer de toute manière. » Je l’entraîne à ma suite jusqu’à ma chambre - SEULE ET UNIQUE PARTIE MIRACULÉE DE MON APPARTEMENT, JE LE PRÉCISE EN MAJUSCULE PARCE QUE JE MÉRITE UN PEU DE CONSIDÉRATION. Le lit est fait, rien ne traîne par terre - ou peut-être une revue sur l'élevage des moules - cela sent le propre. Les murs sont vides. Si j’y colle des affiches, cela va m’influencer dans mes rêves ! Je préfère dormir dans un lieu vierge. (Tu es bizarre…)

« Installe-toi. Ah, juste, la cloison est fine donc tu risques d’entendre ma voisine niquer. C’est une escorte-girl, elle a souvent des clients et… Bref, pas besoin d’un dessin. » Je jette un oeil en direction du couloir - Douille m’y attend, prêt à recevoir plus de câlins encore. Mon pigeoooon, je l’aime, oh la la. Il m’a trop manqué ! Non, focus. Je n’en ai pas finis avec mon hôte. « Si t’as besoin d’un truc, tu me demandes. » Petite tape virile sur l’épaule non abîmée - je suis un homme virile, très virile. (Tu essayes ne pas repenser à l’épisode du câlin ?) CHUT. « Allez. Dors bien. » (Tu es d’une crédibilité…)

Sur ces belles paroles, je referme la porte derrière moi et m’en vais gagner le moelleux de mon divan - vieux, mais toujours aussi confortable, eh ouais ! Je lance la play - OH YEAH ! Qui c’est qui va péter son score ce soir ? Pooly ! (Tu aurais pu le quitter d’une manière plus sympathique qu’en gros gland gamer !) Oh, tranquille l’amie, j’ai pas besoin d’avoir plus d’émotions ce soir moi. J’ai eu mon quota. Déjà que je lui prête galamment mon plumard - je vais pas encore aller le border ! (T’en rêves !)

Pendant ce temps là : Tsuki explore les placards de la cuisine, dénichant un pot de beurre de cacahuète...
*
FONDATEUR - SPIDERMAN
Peter Parker
Crédits : -594
Peter Parker

Mar 28 Aoû - 2:21



surprise
butt

w/ deadpool



Et paf. Vous voilà dans l'antre de la bête. T'es encore tout secoué, avec un sourire jusqu'aux oreilles. Tu t'es téléporté, putain ! Tu te sens comme un môme (tu en es un) et t'as envie de courir partout. C'était beaucoup, beaucoup trop cool. T'aimerais lui demander de recommencer et de vous transporter, tu ne sais pas, à Tokyo par exemple, et revenir ici en dix minutes. Le rêve ! Fini les dépenses inutiles avec les billets d'avion ! Ok ok, tu t'emballes un peu trop.

Les lieux sont à l'image de leur propriétaires, mais ça ne te dérange pas. Dans ta tranche d'âge, c'est à peu près à quoi ressemble les chambres (minus la poupée dégonflée que tu vas essayer d'esquiver du regard, comme si elle n'était pas là). Tu te tournes vers Wade, prêt à faire la pipelette mais celui-ci semble très occupé avec... avec... c'est quoi ça ? Tu hausses un sourcil. Un... pigeon ? Ca ne ressemble pas à ça un pigeon, si ? Il l'a trouvé où ? Ce truc là est archi louche. Il braille comme un vieillard et ses yeux globuleux sont dix fois plus gros que sa tête ! On dirait le poulet dans un Disney avec l'océan - tu as oublié le nom, mais le poulet en question t'a marqué.

Wade ne te laisse pas le temps pour poser une ou deux questions, il t'envoie direct dans la chambre pour dormir. Etonnement, celle-ci est bien rangée. Il t'annonce qu'il va prendre le canapé et faire une partie de GTA avant de partir se coucher. D'accord.
Attendez, GTA ? Pas possible que tu rates ça ! Ca fait des mois que tu as pas eu le temps de toucher à une manette, ça devient un manque vital !

Tu ne te gênes pas pour ouvrir un de ses tiroi- woah c'est quoi ça hop on referme je veux pas savoir. Nous disions donc, tu ouvres le tiroir du dessus donc, à la recherche de vêtements pas trop classe, pour dormir et pas dégueulasser avec ta plaie béante (va vraiment falloir que tu ailles à l'hôpital demain par contre, ça sent l'infection violente). Tu trouves par miracle un t-shirt noir, sobre, et large avec un logo dont tu ignorais l'existence en plein milieu.
Ca fera l'affaire.

On fait une éclipse sur la galère que c'est d'enlever le bas de ton costume et enfiler ton t-shirt. En tout cas, t'as l'impression de sentir le sang circulé dans tes jambes normalement maintenant. Et putain qu'est-ce qu'il est grand Wade, ce t-shirt t'arrive au genoux, on dirait que tu joues le rôle de la petite amie qui aime piquer les vêtements de son copain et y a PAS MOYEN mais c'est vraiment tout ce que t'oses mettre parce que, tu le connais pas, le Wade. Pas tant que ça.

Ni une, ni deux, tu retournes dans la pièce principale et t'effondre sur le canapé à côté de lui. Tu annonces alors : Je viens te voir jouer pour le moment. Je suis sûr que t'es nul en plus. Tu ricanes. Tu pourras pas oser lui piquer la manette, donc pas parce que t'as peur mais parce que t'as qu'une main de disponible alors que tu te contenteras de regarder sagement tout en faisant des remarques jusqu'à ce qu'il décide de se coucher.

Je suis content.

Tu fixes l'écran, dis cela comme tu pourrais dire bonjour. Ca ne semble rien, pourtant ça voulait tout dire. Que tu aies été honnête avec moi tout à l'heure. Et aussi que tu montres ton visage. C'est vrai, après tout. Tous les héros ne sont pas ainsi. Et Deadpool n'en est même pas un, quel comble. Ca montre que tu me fais confiance. J'crois ? Tu souris un peu, pas spécialement assoiffé de réponse à la question.

Puis tout devient un peu flou. Tu te sens épuisé, reposé. C'est beaucoup d'émotion, tout ça, quand on est adolescent. D'un tacos à des malfrats, de malfrats à un trafic, d'un trafic à une balle dans l'épaule, d'une balle à l'épaule à la téléportation, et d'une téléportation à un sofa chez un mercenaire un peu sentimental malgré lui. Tu rirais encore si tu n'étais pas si crevé.

Et poof, tu te laisses emporté dans les bras de Morphée. Contre l'épaule de Wade, la tête lourde.
Tant pis, pas de GTA pour aujourd'hui.

Tu as même oublié de lui demander pour la photo.
coded by blair of shine & ooc


*
CODE KING - DEADPOOL
Wade Wilson
Crédits : 7
Wade Wilson

Mar 28 Aoû - 11:23




ALL NIGHT...
CHEZ WADE, AU DÉBUT.
04:51 a.m

Le voilà pas qui s’effondre à côté de moi ! C’est quoi cet adolescent désobéissant ? Il n’est pas censé avoir un gêne héroïque qui fait qu’un ordre, il y obéit, peu importe de qui il vient ? Genre dodo et hop il va dodo ? Sauve le monde et hop il sauve le monde ? Part en poussière et hop il p- (Ce n’est pas un chien Wade…) Non mais attend, en plus il pique un de mes t-shirts ? CELUI QUE JE MET POUR ALLER À LA MESSE ! (Tu ne vas jamais à la messe sauf pour draguer les nones.) Je le couche, il désobéit, il pique un de mes t-shirts et il fait le mur pour me provoquer à GTA ? C’EST TROP MON BRO ! (Tu es cinglé Wade.)

Je lui offre mon plus beau rire gras de « tu ne me battras jamais à ce jeu petit con » - et me concentre sur ma partie. Je détale dans la street avec mon gros tank - beeeem - je fais peur à toutes les biatchs avec mon gros tank - beeeeem - qui est-ce qui va se péter les 10 étoiles ? POOOOOLY ! (Tu sais que tu remues comme un bidon sur un bateau en mer agitée là ?) JE M’AMBIANCE OUAIS !

« Je suis imbattable à GTA, le noob. » Oh non. Je sens un truc louche arriver - un truc … Ah ! Tu sais, un truc qu’il y’a dans la Petite Maison dans la Prairie ? (Euh ?) Un truc comme quand Tom Hanks il propose à John Coffey de s’évader ? Ou quand Flynn Rider revient pour sauver Raiponce ? (Arrête avec tes exemples, je ne vois absolument pas ce que tu cherches à me dire !) JE SENS UN TRUC ROSE ARRIVER ! (Rose ?) Ouuuui, un truc rose, doux, duveteux. JE SUIS ATTENDRI. HAN. HAAAAAN.

En même temps il vient de me faire une belle déclaration sur ma superbe honnêteté - qu’ils se prosternent tous à mes pieds les sauveurs des bacs à sable, J’PÈSE DANS LE GAME MOI. (Calme-toi.) Oh. Il dort ? Sérieux ? Sur mon épaule ? Oh noooon. On dirait Douille ! Il fait ça quand il n’en peux plus de voler, il s’écrase sur mon épaule. (Peter est tout de même plus mignon que Douille… Et plus vivant.) Critique pas mon pigeon, vieille harpie !

Ahem. Je peux bouger ?
Non, cela va le réveiller.
Content hein.
Il est content…

Bien malgré moi, il m’arrache un large sourire - nous avons vécu une sacrée aventure aujourd’hui tous les deux. « Brave môme… » J’en aurais presque un lourd sentiment de culpabilité quant à toutes les conneries que j’ai pu lui sortir - mais non, tout vas bien. Hehehe. (Monstre !) Roh, chill. Il a bien rigolé lui aussi ! (Son épaule est foutue !) Mh, mh. R’garde, je vais faire un acte de bonté.

Je sors mon téléphone - coincé dans un pli de ma poche arrière - j’ai les fesses trop musclées, oh la la la - CLACK ! plus de photo de lui en caleçon. Voilà. Supprimée. (Sérieux ? Tu l’as réellement fait ? Il a peut-être une bonne influen-) CLICK ! LÀ ! AHAHAH. Lui et moi en amoureux sur mon canapé, moi lui baisant la joue - c’est trop cuuuute - C’EST UN CARRÉMENT MEILLEUR FOND D’ÉCRAN ! (……..)

Bon. Je n’ai plus très envie de jouer à la play' - je nous transporte dans mon plumard ou je nous laisse là ? (J’te cause plus.) J’ai une meilleure idée - une vraie meilleure idée - un vrai acte de bonté ! (Je n’y crois pas.) Déjà, faut que je me relève sans le réveiller… Ouh, difficile. Allez, et çaaaa y’essst presquueee… YES ! Elle est où ma ceinture ? Ah, là, forcément - sur ma pile de DVDs. Rangée à sa place.

S’il lui manque des affaires - il n’aura qu’à venir les récupérer - ou je lui envoie ça par la poste avec un bouquet de roses ? Nan. Une photo de moi en slip et un paquet de churros, c’est plus approprié. (Tu es tellement romantique…) « Tu vas me manquer Peter. » Je déclare à mi-voix, un tantinet contrarié de ne pas le garder à mes côtés cette nuit - j’aurais pu faire tellement plus de photos et oh, il m’aurait préparé mon petit-déjeuner et - NON, je fais ce qui est juste. Surtout qu’il ne vas pas me manquer et que je suis bien heureux d’avoir MON lit À MOI. De toute façon, j’flaire dans l’air un goût de « on va vite se revoir. » Hehehehe. (Boloss.)

Ainsi notre Wade national, Peter dans les bras façon princesse sauvée des griffes d’un dragon - précisons qu’en fait il le sauve de lui-même là, hein - TA GUEULE LA NARRATRICE ! - s’évertue à inscrire les coordonnées de l’hôpital le plus proche sur sa ceinture et… POOF ! Ils quittent l’appartement.

Les urgentistes furent tous un peu choqués de voir apparaître de nulle part un type en sous-vêtement et t-shrit trop grand et un grand brûlé ? Cancéreux ? Mec ayant prit un bain d’acide ? Sosie de Cher en momie ? - ils n’en furent pas moins prévenants et tout de suite aux petits soins. Sachant son acolyte au chaud et soigné dans un lit blanc immaculé, Wade repartit non sans un dernier au revoir soufflé à l’oreille « Je garde le fennec. » POOF !

Et mais… CE N’EST PAS UN AUREVOIR ÇA WADE ! TU NE GARDES PAS CE FENNEC !
(Hehehehe.)

Ok, j’ai pas envie de me fatiguer donc… Fin.

NAN CONTINUE ! ÇA FAIT COMME UN CONTE DE FÉE !
JE FAIS QUOI APRÈS ?

Après tu fermes ta gueule et tu vas dormir.
*
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