ANNÉE 1983, DAVID, DERRICK ET DUSTIN, PASSIONNÉS PAR LA SCIENCE-FICTION ET LA POP CULTURE, DÉCIDENT D'ENVOYER UN MESSAGE DANS L'ESPACE GRÂCE À UN ORDINATEUR SOPHISTIQUÉ DEPUIS LEUR PETIT GARAGE À COSMOPOLIS, DANS LE CONNECTICUT. PUIS C'EST PARTI EN COUILLE.PLUS DE TRENTE ANS APRÈS, GRÂCE AUX EXPLOITS INFORMATIQUES DES "3D" (POUR "THREE DICKS"), LES ALIENS FOULENT ENFIN LE SOL TERRESTRE ! MAIS À QUEL PRIX ? C'ÉTAIT À L'ÉPOQUE UNE SIMPLE PASSION. NI FEMME, NI EMPLOI, DAVID, DERRICK ET DUSTIN ONT PASSÉ LE PLUS CLAIR DE LEUR TEMPS (ET LEUR VIE) À ÉTUDIER L'ESPACE ET LA POSSIBILITÉ DE LA VIE AILLEURS QUE SUR NOTRE BELLE PLANÈTE. SANS DIPLÔMES OU CERTIFICATS, ILS SE CONTENTENT DE CONCEVOIR DES ORDINATEURS ET AUTRES SOFTWARES CHEZ EUX DANS LE SEUL INTÉRÊT D'ENVOYER UN MESSAGE AU-DELÀ DE LA SURFACE TERRESTRE. ILS L'ONT APPELÉ CODE COSMO EN HOMMAGE À LEUR VILLE CHÉRIE (C'EST FAUX, ILS N'ONT JUSTE AUCUNE IMAGINATION), COSMOPOLIS.
EN COURS D'AFFICHAGE (WADE ET LE CODE SE BATTENT)

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looking glass (wade)

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FONDATEUR - SPIDERMAN
Peter Parker
Crédits : -594
Peter Parker

Mer 9 Jan - 9:47



looking
glass

w/ wade



musique - Noël s'est essoufflé mais l'hiver est toujours là, battant son plein.
Le froid te mord les pommettes et le bout de ton nez - déjà rosi, malgré ta peine à le cacher derrière tes kilos de pulls, d'écharpes et de manteaux. Tu n'as jamais marché aussi étrangement, c'est comme si tu avais perdu l'usage de tes articulations. Chaque pas est à la fois rapide et hésitant, d'autant plus que tu sembles en oublier la présence de tes genoux. Ta démarche de canard ne t'empêche pourtant pas de faire ta petite escale quotidienne à l'appartement de Wade - un détour devenu trop habituel depuis plusieurs mois.

Mois. C'est étrange d'utiliser de mot quand hier encore cela sonnait comme quelques jours seulement. Le temps a vite filé depuis les derniers évènements et tu t'es retrouvé comme un imbécile après ton entrevue improvisée avec Dalida - à laquelle tu n'as, bien évidemment, rien tiré d'intéressant. Ton honneur mis sous le tapis depuis, tu fais profil bas. Tout comme Spiderman. Pourtant, depuis ton dix-huitième anniversaire, tes supérieurs se montrent incroyablement plus laxistes envers tes décisions.

Tu as la main qui tressaute et il te faut au moins trois essais pour enfiler la clé dans le trou de la serrure. Derrière la porte, tu entends déjà le fennec gratter et japper à l'idée de ne plus être seul pour la journée. En l'ouvrant, tu constates l'étendue des dégâts - les restes de nourriture de l'avant veille éparpillés sur le sol, un verre et trois mugs cassés : cet animal est une vraie tornade ! Tu lâches un soupir de désespoir, pas franchement ravi à l'idée d'enfiler ta tenue de fée du logis tout de suite. Il faut dire qu'il t'avait fallut au moins quatre jours pour nettoyer correctement l'entièreté des pièces la première fois que tu étais revenu, entre les fientes de pigeon et la saleté douteuse un peu partout... Tu n'es d'ailleurs pas certains que cet appartement soit réellement propre grâce à toi, tu es plutôt bordélique et du genre à bâcler ce genre de tâche mais tu as espoir que cela ressemble à un espace de vie... agréable ?

La porte se referme dans ton dos et te voilà déjà à ramasser les bêtises des animaux de compagnie de Wade avec l'unique hâte qu'il revienne un jour pour s'en occuper dignement. Au même moment, tu constates que sa chambre est grande ouverte, plongée dans la pénombre. Tu n'es jamais rentré à l'intérieur de celle-ci, tu ne te l'es pas permis, mais maintenant que tu es là, face à elle... Tu te dis que ça serait une bonne idée de dormir ici de temps en temps, histoire de tenir compagnie à Tsuki et Douille.

C'est presque à tâtons que tu entres dans la chambre à coucher et en allumes la lumière. Oh damn... C'est un vrai capharnaüm. Tu en as au moins pour la journée. Qu'est-ce que c'est que cette tâche sur le mur ? Non... Non, tu ne veux pas savoir. Vraiment pas. Tu jettes ton manteau dans le salon. Bon... Soupires-tu. Tu remontes tes manches et t'attèles à la tâche.

**

Trois sacs poubelles plus tard, tu te laisses lourdement tomber sur le matelas enfin propre.
Bizarrement, tu t'attendais à ce que cette pièce aie gardé son odeur mais même ça semble avoir disparu pour toujours - comme si Wade n'était plus qu'un lointain souvenir.
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CODE KING - DEADPOOL
Wade Wilson
Crédits : 7
Wade Wilson

Mer 9 Jan - 18:56



MUSIC Je vais être papa ! C’est tellement génial ! C’est le meilleur level du jeu auquel on joue. Je l’appellerai Maximus Robustus. Maximas si c’est une fille. Non, je sais, c’est beaucoup trop facile à porter comme prénom, tu as raison. Que dirais-tu de Platon ? Non ? Non, ouais, ça craint. Mh… Et… Pourquoi pas Larry ? Ok, j’arrête, le level prénom ce sera pour plus tard. Dis, si on baise, ça touchera pas le foetus ? Ou alors ce serait comme un massage prénatal ? Ok, je me tais.

T’as regardé la Petite Maison dans la Prairie sans moi, avoue. Avoue ! Tu vas payer pour pas m’avoir attendu ! Tu te branleras tout seul devant Charles Ingles, je ne t’y aiderais plus.

Je n’ai plus jamais regardé la Petite Maison dans la Prairie. Je ne me suis plus jamais branlé en matant Charles Ingles monter son cheval noir. Il avait la classe sur son cheval noir. En hommage, je devrais le faire ? Un soir ? Un de ces soirs ? Je devrais me branler en matant Charles Ingles monter son cheval noir ? (…Pas sûr que ce soit l’hommage qu’elle souhaiterait.) Mh. (Elle préfèrerait que tu te branles devant Colossus en train de faire ses pompes matinales.) Oui, c’est clair.

J’ai l’esprit qui divague un peu moins, non ?
(Je ne sais pas. Je ne pense pas.)
J’aurais pu être papa, je ne me branlerais plus jamais devant Charles Ingles, maintenant je pense aux morts.

Non, je repense au bébé.

Il aurait été beau ? Il aurait été beau, puisqu’elle était belle, il aurait été beau.

Ça aurait été beau. Ça aurait été drôle. Pas vrai ? Je suis sûr que c’est ce que je lui aurais dis si elle me l’avait dit, mais elle ne me l’a pas dit et elle ne me le dira jamais. Elle ne peut plus me le dire. Moi je le dis, parce que je veux le vivre un peu, juste un peu. J’aurais été papa, tu te rends compte ? J’aurais été, j’aurais pu. (Wade, il se fait tard. Tu comptes encore te saouler sur sa tombe longtemps ?) J’arrose les morts, fiche moi la paix. (T’arroses ton spleen ouais.)

Il s’en est passé des choses ces derniers mois. (Oui…) Cosmopolis ne me manque pas mais… Les choses qui s’y passaient un peu, elle me manquent un peu.

Ça va me faire bizarre, très bizarre, ça me fera bizarre, très bizarre d’y retourner ce soir. J’y retourne là. Tu vois ? Là, maintenant. (Que tu quittes le cimetière, c’est déjà un pas en avant, mais après… Après tu n’es pas obligé de passer à ton ancien appartement.) Pourquoi ? Mes meilleures armes y sont stockées. Ça me fera bizarre. Ajax aussi, ça lui fera bizarre. Cela ne me fera plus bizarre quand ça lui fera bizarre. J’ai hâte de l’entendre couiner.

(Lâche cette bouteille de Gin...) Non, je la sponsorise. (Non, ça c'est Reynolds.) Ta gueule, j'aime le Gin. (Tu es saoules.)

J'ai hâte de l'entendre couiner.

Mon ancien appartement.
Tu as dis : passer à ton ancien appartement.
Tu as dis ancien ?

C’est vrai, j’en ai des nouveaux, j’en ai jamais vraiment eu un de permanent. C’est jamais parvenant un logement ? Non. Oh, je divague un peu plus qu’un peu moins d’il y’a cinq minutes. (Si Douille et Tsuki étaient morts, tu y penses ? Tu n’es pas obligé de retourner là-bas. Achète tes armes à Striker.) Impossible, le gosse n'les aurait pas laissé crever. J’ai mes meilleures armes là-bas. Fin de la discussion. (Le gosse ?) Le gosse. (Peter ?) Je ne sais pas son prénom, il n’en a pas. (Si, tu le sais.) C’est le gosse. (Tu es immature.) C’est le gosse. Il n’existe pas pour de vrai. (Tu recommences…)

**** few hours later ****

Ma concierge a changé de couleur de cheveux. Le carrelage est propre. Il y’a de nouvelles affiches dans le couloir. L’ascenseur est en panne. Il a toujours été en panne. Il n’a jamais marché. Il y’a des choses qui ne changent pas, l’ascenseur ne change pas. (Ta bouteille de Gin est vide. Lâche là !) Ma porte d’entrée n’a pas changé, l’ascenseur non plus, il y’a des choses qui ne changent pas, elles ne changeront peut-être jamais.

Je dis beaucoup jamais ou toujours, c’est révélateur de quelque chose ? Je dis beaucoup chose. Chose. Jamais. Toujours. (Tu divagues. Tu devrais arrêter de t’enfiler autant de Mety. Tu devrais également arrêter le Gin.) C’est bon pour ce que j’ai. (Qu’as-tu au juste ?) Le spleen. Tu me le répètes tout le temps. J’ai le spleen. (La haine aussi. Haine et spleen, combinés à de la drogue et de l'alcool, ce n’est pas bon.) Tu as vu, mon salon est rangé. (Oui.) Ma cuisine est propre. (Oui.) Douille est en vie. Tsuki est en vie. (Oui.) Il n’y a pas de poussière. (C’est Peter.) C’est le gosse.

Je soupire. J’ai un peu mal. Quand j’ai soupiré, là, j’ai eu un peu mal, un peu mal au ventre. J’ai encore mal. Ça me fait un peu mal. C’est le spleen ? (Ce sont les regrets.) Les regrets ? (Cosmopolis ne te manque pas mais les choses qui s’y passaient, elles te manquent un peu.) Oui. (L’insouciance.) Jouer aux jeux vidéos. (Les contrats.) Lorsque j’aimais tuer. (Le fun.) Les grands-mères. (L’excitation.) Me battre. (Le plaisir.) Manger des chimichangas. (L’affection.) Les grands-mères. (L’affection.) Les jeux vidéos. (L’affection.) Me battre. (L’affection…) Le gosse. (Peter.) L’affection.

La malle où sont rangées mes armes est rangée sous mon lit. Sous mon lit, il y’a la malle, il y’a de la saleté, il y’a des magazines. Sous mon lit, il y’a le parquet grinçant. (Tu as une haleine de Gin.) À côté de mon lit, il y’a ma table de chevet. À côté de mon lit, il y’a Douille et Tsuki qui me collent du regard. (Tu es saoules, tu tangues.) Je suis debout, j'énumère. (Tu tangues.) En face de mon lit, il y’a mes cibles murales. (Wade…) Ma chambre n’a pas changé. (Wade !) Sous mon lit, il y’a la malle, il y’a de la saleté, il y’a des magazines. (Sur ton lit, Wade…) Sur mon lit, il y’a le gosse.

Quoi ?

(Peter. Il dort.) Il n’existe pas. (Arrête un peu !) Son visage a un peu changé. Je ne me rappelais pas son visage. Je m’en rappelle maintenant. Il a un peu changé. Il a l’air fatigué. Je m’assois, mais je ne reste pas, je ne vais pas rester, je m’assois juste, un peu à côté, juste un petit peu à côté de lui.

Je soupire.

C’est chiant, quand je soupire j’ai mal. (Les regrets.) L’affection, elle est là, elle dort et je suis assis à côté d’elle. C’est bizarre, ça me fait bizarre. Ça me serre la gorge. Ça me serre la poitrine. Ça, je ne sais pas ce qu’est ce ça. (L’affection.) Encore ? (Les regrets de l’affection.) Ça sert beaucoup les regrets de l’affection.

Je n’ai pas de churros. Je l’ai dis à voix basse. (Tu l’as dis à voix haute.) J’ai envie de pleurer. J’ai les yeux trop secs pour pleurer. Elle me manque l’affection. Je devrais me taire. (Tu aurais pu lui dire qu’il te manque.) Il me manque. (Tu lui as dis que l’affection te manque.) C’est pareil. (Tu triches.)

Si je reste, ça va me serrer plus fort. Ça, c’est cruel ça. Je dois me lever, prendre les armes et filer. (Oui, sans doute…) Je vais le faire. (Tu vas le faire. Tu vas toucher sa main.) Non, je vais me lever. (Ta main gauche s’avance vers sa main droite.) Non, je m’apprête à me lever. (Tu la frôles.) Je me lève. (Enfin !)

Je suis désolé. Je l’ai dis à voix très haute. (Tu l'as dis à voix très basse.) Tsuki me regarde. (Il a grossit.) Mes armes. (Fais vite.) Je n’ai pas envie de faire lentement. Ajax n’attendra pas lentement. Tant pis pour ça. Ça qui serre. Ça qui nourrit mon spleen.

Le gosse.

Peter.
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FONDATEUR - SPIDERMAN
Peter Parker
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Mer 9 Jan - 19:27



looking
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w/ wade



musique - Une chaleur soudaine sur l'extrémité de ta main t'arrache loin de ton lourd sommeil. À quel moment t'es-tu endormi ? Tu n'en as aucun souvenir. En temps normal, il t'aurait fallut bien dix minutes avant de réaliser où est-ce que tu te trouves et ce que tu faisais bien avant de t'abandonner dans les bras de Morphée. Mais dès l'instant où tu ouvres les yeux et que la première chose que tu vois, c'est un visage dont la peau a des crevasses et des cicatrices infinies, tu prends une douche froide.
Est-ce un mirage, un genre de rêve, de cauchemar, une illusion ? Ton coeur bat à tout rompre et alors que le monde entier s'attend à un instant de silence angoissant, tu lâches, dans un souffle presque inespéré : Tu.. Tu es revenu.

Pourquoi tu sembles si surpris ? C'est comme si t'avais perdu espoir. Comme si... oui, tu avais perdu espoir. Toutes ces semaines à rentrer à reculons dans cet appartement en sachant que tu le trouverais dénué de toute présence humaine, avec le souvenir amer de cette chaude nuit qui annonçait la fin de l'été. Dans les jours qui suivirent, tu t'étais pourtant convaincu que cela n'était sans nulle doute qu'une vulgaire erreur et qu'il reviendrait tout penaud à vomir des excuses devant ton nez. Mais ce jour n'est jamais arrivé si bien que tu avais cessé d'imaginer vos retrouvailles - émouvantes comme dans un film bidon.

C'est plutôt tout le contraire pour l'instant. Tu as la gorge nouée et la soudaine envie de l'étrangler mais aussi de le serrer dans tes bras - si bien que tu ne fais rien à part te redresser pour l'instant. Tu as mille questions en tête mais tu préfères te taire pour la première fois de ta vie.

Où était-il passé, que s'était-il passé, pourquoi est-il ici ? Tu passes ta langue sur tes lèvres asséchées, crevant l'envie de lui sauter à la gorge pour on ne sait quelle conséquence.

Du bout du lit, tu ne décroches pas de ses yeux. Tu n'arrives toujours pas à y croire. Je pensais que tu reviendrais jamais. Maintenant, tu balayes la pièce du regard, réalisant que ce n'est toujours pas chez toi, même après tout ce temps. Pardon je voulais juste ranger un peu, je pensais pas m'endormir. La porte était fermée mais je crois que le fennec a réussi à l'ouvrir et- Déglutissant timidement, tu choisis d'arrêter cette discussion purement inutile.

Sur tes cuisses, tu vois tes mains et tes doigts s'agiter. Tu as beau les crisper, ils sont incontrôlables et dieu que tu aimerais ne pas savoir ce qu'ils veulent. Spiderman n'est pas connu pour faire dans la demie mesure, si bien que tu finis par renoncer à toute dignité pour l'enlacer. Les bras autour de sa nuque et le menton contre son épaule, tu fermes tes paupières de toutes tes forces.

Tu m'as manqué. T'écrases d'un murmure toute la rancoeur accumulée. Où tu étais, tout ce temps ? Tu pues l'alcool...
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CODE KING - DEADPOOL
Wade Wilson
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Wade Wilson

Jeu 10 Jan - 19:42



MUSIC Je fais quoi ? Je fais quoi ? Qu’est-ce que je dois faire ? OH ! JE FAIS QUOI ? (Plutôt que de te poser ce genre de question idiote, profite de l’embrassade.) Il m’embrasse ? Mais… Sa bouche est supp- (C’est un synonyme Wade. Si tu préfères, disons qu’il t’enlace.) Oh. Mh. Il sent le Gin. (Non, c’est ton haleine que tu sens.) Il sent le shampooing. J’ai toujours aimé le shampooing. (Tu veux dire que t’as toujours aimé l’odeur de shampooing de ses cheveux.) Oui. C’est agréable de l’avoir contre moi. C’est agréable et bizarre. Ça me fait du bien mais ça me serre toujours, tu sais, les regrets. (Oui, je sais.)

Je n’ai pas très envie de me défaire de lui mais je dois partir. Je dois partir, non ? (Tu n’es pas obligé.) Je dois récupérer les armes. J’ai un rendez-vous galant. (Ajax ne sait pas que t’as un rendez-vous avec lui. Tu n’es pas obligé de partir maintenant.) Plutôt j’étale sa cervelle sur les murs, mieux je me porterais. (T’appelle ça un rendez-vous galant ?) C’est galant d’étaler une cervelle avec amour. (Avec haine.) C’est pareil. J’ai envie de Gin. Non, j’ai envie de shampooing. Je dois partir, non ? (Reste Wade, reste un peu.) Il me parle. Sa voix, ça me fait du bien, ça me fait bizarre aussi, comme l’embrassade, ça me fait du bien mais ça me serre toujours. C’est bizarre. (Tu divagues.)

J’étais en Chine… J’y ai épousé une chef guerrière vivant reclus dans les montagnes et désirant sauver son peuple d’Amazones de l’armée mâle anglaise approchant. Attend… Merde, c’est l’histoire de Diane ça. Mh. Non, elle ne vit pas un Chine. (T’as mixé la Cité Interdite avec Wonder Woman.) Je me disais.

J’ai été retenu captif par une tribus de chamans d’Afrique Centrale et leur ait enseigné le latin pour me sauver. Or, sur la route du Nil j’ai été intercepté sur un bateau par des pirates somaliens. Je me suis engagé à leurs côtés et nous avons écumer les mers à la recherche du trident de Poséidon. Or, Will Turner nous a devancé et j’ai dû fuir pour sauver ma peau lorsque les zombies de la malédiction du coffre se sont rapliqués.

Mh… Attend… J’ai recommencé. (Tu as recommencé.) Je n’arrive pas à savoir où j’étais. Où tu étais, tout ce temps ? Où ? Tout ce que je sais, ce sont ces histoires - si je les sais, je veux dire, si je les connais, c’est que je les ai vécu, non ? (Non, Wade, ce sont des films que tu as vu et dont tu t’inspires pour te créer une pseudo vie imaginaire.) Oh, mh. Je vois. Je dois venir d’un monde où l’imagination crée des histoires farfelues. Tu crois que je viens du Pays d’Oz ? (Arrête un peu.) Oui. De toute manière, j’ai jamais aimé l’adaptation ciné avec Emily Blunt. (Tu es saoules.)Probablement.

Où tu étais, tout ce temps ? J’étais là où Vanessa n’est plus. J’étais là où j’aurais aimé qu’elle soit. J’étais là où Ajax ne m’attendait pas. J’étais là où je ne m’attendais pas. (Tu deviens poète.) Non, je deviens dramatique. J’ai aussi une question moi - où est le temps du rire, de la déconnade et des blagues sexistes ? Comment je fais pour me débarrasser du spleen ? (En allant de l’avant ? En restant dans les bras de Peter ?) Oui, c’est ça !

Je vais écrire un recueil de poèmes et d’essais et l’appeler “les Fleurs de Pool”. (…) Quoi ? (Tu copies Baudelaire.) Mh. Connais pas. (Menteur.) Mh. Oui. (Bon sinon, c’est normal que tu lui renifles sa nuque ?) Hein ? (T’es entrain de renifler la nuque de Peter.) Oh, je me disais, j’ai faim. (Tu comptes le bouffer ?) Bah, non, enfin, si mais de manière métaphorique. (Métaphorique… Pas catholique quoi ?) Oui. (Tu reprends du poil de la bête. Ça marche l’antidote Peterantispleen.) Oui. Je vais peut-être m’attarder un peu. Même les anti-héros en perdition ont le droit à des congés. Je m’octroie trois jours et après j’vais honorer le corps de mon cher Ajax. (T’as vraiment des tournures de phrases glauques…) Appelle-moi Pool Poe. (Non, tu copies déjà Baudelaire, laisse Allan en paix.) Mh.

Je suis désolé gamin. Je n’aurais pas dû te laisser derrière mais tu sais… Le coeur d’un homme est un océan de secrets. Là, ma voix grave et virile devrait faire taire toutes ses questions. Je suis tel un guerrier japonais en partance pour la guerre mais désirant apaiser les craintes de sa femme en kimono. (Oh, oh, qui r’prend de pluuuus en plus du poil de la bête ?) Ouais. M’enfin t’excites pas l’amie, j’ai toujours ça qui me serre les tripes, la gorge, le coeur, le ventre et tout le tutti. (Je sais, je sais, mais c’est agréable de te sentir plus léger.)

Merci de t’être occupé de mon appartement et de nos enfants. Douille a l’air moins à l’article de la mort que quand je le gardais. C’est à croire que ce pigeon me nargue. T’as fais quoi toi pendant mon absence à part botter les fesses des vilains ? Pouaaaah, je suis tout engourdi ! J’ai les doigts qui me picotent ! (En même temps t’es resté collé longtemps à lui. Une vraie moule.) Ça fait du bien d’être debout. Mais j’y pense… J’ai oublié un truc hyper important que je songeais à faire et que j’ai oublié de songer à le faire donc j’y songe plus mais comme j’en parle ça me revient. (Quoi ?)

Je vais…. (Quoi ?) Je veux…. (QUOI ?) Je veux l’embrasser. Je veux le lui murmurer. Tu m’as manqué aussi. Sa bouche me faisait envie. (T’ES SÉRIEUX ? TU RECOMMENCES LE HARCÈLEMENT SEXUEL ? IL EST MINEUR J’TE RAPPELLE !) Laisse-moi jouir de ses lèvres, please, j’ai que quelques secondes devant moi avant qu’il ne me cogne la gueule. (Pervers.) Oh, j’ai passé quatre mois sans sexe. (Faux. Ça fait seulement trois jours que t’as pas baisé.) PETER C’EST DIFFÉRENT. C'EST MON MEILLEUR POTE ! (ON FAIT PAS ÇA ENTRE MEILLEURS POTES !) SI, ÇA S'APPELLE LA BROMANCE, IDIOTE ! (JE LE SAVAIS ! PERVERS PÉDOPHILE) COMMENCE PAS À M’EMBROUILLER ! J’T’AI DIS QUE JE PROFITE DU BAISER LÀ, CASSE-TOI DE MON CERVEAU ! (JAMAIS !)
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FONDATEUR - SPIDERMAN
Peter Parker
Crédits : -594
Peter Parker

Jeu 10 Jan - 20:10



looking
glass

w/ wade



musique - Tu comprends rien à ce qu'il te raconte et t'es à deux doigts de
1) rouler des yeux
2) soupirer
3) pouffer de rire
À la place, vu que tu es incapable de te décider, t'as plutôt un sourire niais d'adolescente en fleur, les joues creusées, les pommettes rosées et remontées, les yeux pétillants. Avec les sourcils un petit peu froncés parce que tu n'as vraiment rien compris à son histoire (pas que tu te dises un seul instant que c'est vrai mais t'essayes juste de suivre le fil conducteur) (ou plutôt l'absence de fil conducteur).

Ça fait du bien d'avoir Wade à nouveau auprès de toi, tu ne peux pas t'en cacher. Il t'énerve, il t'a blessé, il est stupide et pas très beau mais c'est ton po- pourquoi il essaye encore de t'embrasser ? Ni une, ni deux, tu fous ta main entre vos bouches en ayant un mouvement de recul si brusque que tu t'exploses le petit doigt de pied contre la table de chevet. Tu couines.

Mais ! Arrête ! Et tu tombes sur le lit dans ton élan mélo dramatique, le visage rougi et les yeux fuyants. Bon ben maintenant tu te sens incroyablement gêné à tel point que tu sais plus quoi dire. Pourquoi ne pas répondre à sa question ? Qu'est-ce que tu as fait pendant ces derniers mois ?

J'ai sauvé la ville. Plein de fois. Ce n'est pas vraiment une réponse qui risque d'étonner grand monde. Tu pousses un long mmmh en te tenant le menton, faisant une rétrospective de tous les moments forts qui se sont déroulés depuis.

Et j'ai eu dix-huit ans. Pas sûr que ça soit la meilleure des idées de l'annoncer à Wade.

Tu te redresses un peu et te balances d'avant en arrière, embarrassé, parce que tu sais que tu arrives sur un sujet un peu délicat mais tu ne peux pas ne pas en parler.

Je suis allé voir Dalida... Après... Tu sais. Tu fuis un peu plus son regard. Tu t'empresses de t'expliquer avant de te faire sermonner : Je voulais te retrouver. Et te libérer, en quelque sorte ! T'as les oreilles rouges maintenant. Mais... Mais bon, ça s'est pas trop passé comme prévu. Tu ricanes un peu, parce que rien que d'y repensé, tu te sens mal à l'aise. La fois où elle a utilisé son pouvoir contre toi et t'as réduit à... à pas grand chose en fait. Urgh.
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Wade Wilson
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Wade Wilson

Jeu 17 Jan - 18:37



MUSIC Alors il y’a plusieurs choses que je dois retenir, enfin que tu dois retenir. (Tu parles à qui ?) À toi. Non, à mon cerveau. Je dois retenir par son biais que : Peter est majeur, Peter à dix-huit ans, Peter ne peut plus me foutre dans la merde pour pédophilie, Peter est puceau à dix-huit ans. (… Je suis absolument certaine que ces choses sont toutes les mêmes et toutes pleines d’un super mauvais fond pervers de pensée.) Tout de suite les grands mots. Bon, y’a d’autres choses à retenir - ouais. Puis, c’est pas comme si ça changeait réellement quelque chose qu'il ait dix-huit ans. (Mh.)

Dalida.
Bambinoooo.... Pourquoi Dalida ?

Dalida...

DALIDA !

IL EST ALLÉ VOIR DALIDA ! (Ah quand même, tu te connectes !) OH LE CON T’ES MALADE ? Il n’est plus puceau, c’est sûr. Elle t’a fait des trucs ? Tu sais avec son pouvoir là ! Elle t’a fait quoi ? VOUS AVEZ… ? Je le secoue comme un pommier. Non, non, non, non. IMPOSSIBLE. Il doit rester puceau. Une jolie princesse l’attend quelque part. (T’es bizarre quand même.) Je le vois, là, en armure argenté sur son preux destrier blanc, sa princesse en robe rouge et noire dans les bras. (Mhhhh…. Drôle de princesse.) T’as jamais vu Mulan ? ELLE EST ROUGE ET NOIRE OK ?



(Dalida ?) OH PUTAIN OUI. ELLE LUI A FAIT DU MAL ? SI ELLE LUI AVAIT FAIT DU MAL ? JE NE ME LE PARDONNERAIS PAS ! DALIDA ! MAIS ! IL EST... AAAAAH ! QU’EST-CE QUI T’A PRIS BON SANG ! Je ne suis pas content. Ça se voit ? BIEN SÛR QUE ÇA SE VOIT ! Tu me gaves le môme, arrête de te foutre en danger pour moi - pour le reste du monde c’est ok. Pas pour moi. Jamais ! Je parle beaucoup. Je gueule surtout. (Oui, tu gueules et en plus tu continues, tu le secoues. Arrête !) Oui.

C’est touchant dans un sens, qu’il ait fait ça pour moi - je veux dire, il a essayé de me retrouver, malgré ce qu’il s’est passé et… Mh. Il ne connaît pas la vérité. Ou alors si ? (C’est quoi ça ?) Quoi ? (Tu l’enlaces maintenant ?) J’ai le droit. Je le punis. (L’enlacer aussi fort après l’avoir secoué, c’est ce que t’appelles une punition ?) Tu préfèrerais que je sorte les menottes et la cravache ? (J’ai rien dit.)

Dalida… Dalida… Il est allé la voir pour moi. Je rêve… Malgré ce qu’il s’est passé, malgré… Je radote. Mais… Mh. Non. Ne revenons pas sur le sujet ou le spleen va se rappliquer. Il est là, je le sens, il me renifle les pieds. (Non, ça c’est Tsuki.) Ah. N’empêche que je sais qu’il est là et qu’il me sent, le spleen, il se terre dans ma tête, dans un coin de ma tête - une commode, là où je range les mauvais souvenirs. (Cesse de le mentionner, sinon il va réellement revenir. Profite de ton temps d’accalmie.)

J’ai faim. Il a dix-huit ans. Tu sais ce que cela veut dire ? (NON ! LAISSE-LE !) ON S’BOURRE LA GUEULE ET ON COMMANDE GRECQUE ! (Ah. Ouf.) T’inquiète, pour la baise, je me cuisinerais Capucine à la sauce blanche. (Erk… C’est quoi ce prénom de poney ? Et c’est qui d’abord ?) Tu sais, la prostituée que j’ai sauvé d’un trou d’cul qui essayait de la peloter gratis y’a une semaine. Elle m’a refilé son numéro, je crois qu’elle a craqué sur moi. (Mh. Elle doit avoir un fétichisme pour les grands brûlés.) Connasse. (Hehe.) Bref, je disais… Je disais ? Ouais, t’inquiètes pour la baise, je l’appelle. Si ça se trouve elle aura une copine pour Pet- NON. SA PRINCESSE. IL DOIT ATTENDRE SA PRINCESSE.

Donc. Maintenant qu’il est là, que je suis là, que je suis debout et que je ne l’enlace plus - qu’il a refusé mon bisou - ah ouais je capte maintenant qu’il l’a refusé T’es nul bro. - merde j’ai pas mis le contexte - Les bros s’embrassent tu sais. - ouais mais là je me disperse encore… (Tu te disperses tout le temps.) Je gère, je gère. ON VA FÊTER TON ANNIVERSAIRE ET NOS RETROUVAILLES ! Ne te méprends pas, je reste en colère - mais heureux, un peu - mais quand même. Tu crois que je devrais appeler un médecin, qu’il vérifie sa virginité tout ça ? (T’ES MALADE !) Mh. Non. C’est pas le moment, j’ai vraiment faim et soif.

Je l’entraîne par un bras jusqu’au salon, j’allume la télé - je commande grecque - je pose deux bouteilles de whisky sur la table et un gros pack de bières. Netflix ou Play ? Ça fait des lustres que j’ai pas joué à la Play. Sexe ou préliminaires ? (Qu’est-ce que... Hein ?) Bah je lui demande Netflix ou Play, c’est clair non ? (NON !) Putain, aucun humour. Netflix ou Play ? Ou alors je continue les câlins - c’est bien aussi. NON JE SAIS, JE FAIS LE TOUT. (Tu me fatigues…) Là, voilà, j’aime bien le sentir sur moi. (Lâche-le, c’est inconfortable comme position.) Si, si. Je suis blotti dans le canapé, je l’ai blotti sur/contre moi - c’est l’attirail parfait des bros devant la télé. (Non, c’est l’attirail du couple chill.) Nous sommes de bros chill. DES BROCHIL. BROCHOLIS ! AHAHAH. (Beauf.) Oui.

Au fait, si j’invite une péripatéticienne, c’est ok ? J’ai des envies péripacatholiques. Tu veux que je lui demande de ramener une pote ? Faut décapsuler tes dix-nuits chéri. NON. TU DOIS ATTENDRE TA PRINCESSE. J’ai perdu l’ordre dans les commodes de ma tête. Oh putain, j’ai oublié de dire au grecque que je veux la sauce sans oignons. (T’es lourd. Je ne te suis plus.) J’ai court-circuité.

(T'as une curieuse manière de fêter des retrouvailles et de lui montrer que tu l'aimes hein...)
Qui parle ? J'ai plus de circuit. (Boloss.)
with every mistake we must surely be learning
*
FONDATEUR - SPIDERMAN
Peter Parker
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Peter Parker

Ven 18 Jan - 1:59



looking
glass

w/ wade



musique - Bien sûr qu'tu comprends très bien ce qu'il bafouille - l'idée de te remémorer ton entrevue avec Dalida te met également incroyablement mal à l'aise. Ce pouvoir ne t'avait malheureusement pas laissé insensible et pour cause ! Ne plus être maître de ses pensées et de ses désirs est une sensation que tu ne veux plus jamais expérimenter. Alors t'en rougis au lieu de répondre - il te laisse pas le temps d'en placer une de toute façon, à quoi bon ? Qui plus est, tu savais très bien que ça allait le mettre passablement en colère que tu te mêles de ses affaires mais quelque chose te dit que... ce n'est pas vraiment la raison pour laquelle il te traite de crétin. Wade semble plus agacé que tu te mettes en danger pour lui qu'autre chose et, malgré toi, ça te fait sourire un petit peu alors qu'il fait des grands gestes avant de passer du coq à l'âne - encore - en te proposant de fêter ces retrouvailles devant la télévision et un repas bien gras. Une seconde après et tu te retrouves sur le canapé avec une moule glué à toi et tu oses à peine bouger (en fait, tu ne peux pas, mais tu préfères ne pas le souligner), les muscles crispés et l'air définitivement... perdu.

Non ! Non ! Que tu finis par crier quand il te propose d'inviter des femmes pour passer une bonne soirée. Pas de filles ! Ça sonne bizarre. J'ai déjà eu bien assez avec Dalida et j'veux pas... Vraiment bizarre. Rien ne s'est passé. Enfin, en partie. Enfin... Elle a utilisé son pouvoir, tu vois ? Et ça m'a rendu super... bizarre. C'était pas vraiment désagréable hein, mais c'est juste que c'était pas le genre de sensation que je cherchais dans l'instant et-... Attends un peu. Tu poses tes mains sur son torse pour le pousser un peu et le regarder dans les yeux, l'air outré. Si tu sais tout ça c'est que vous avez... ! Tu fais une grimace de dégoût. À quoi tu t'attendais, Peter, franchement ? C'est Wade, ce serait étonnant s'il n'avait pas déjà mis sa langue dans la moitié des bouches de Cosmopolis à l'heure qu'il est.

Puis là, c'est comme si la colère et tout ce qui l'accompagne depuis des mois venait de te prendre aux tripes. Tu te lèves, d'un bond, et ce n'est pas bien dur de te défaire de sa poigne quand on s'appelle Spiderman et qu'on a une force plus importante que la moyenne. D'ailleurs, tu projettes une toile sur le bouton de la télévision pour l'éteindre et là, ça y est, la veine sur ta tempe se gonfle et t'en as le visage qui devient rouge et c'est certainement pas de la gêne.

Wade, tu me dois la vérité maintenant. Dis-tu de ton ton le plus grave. Tu m'as laissé tomber ! Tu es parti pendant des mois après m'avoir... ! Tiré dessus. Pourquoi tu n'es pas capable de le dire ? T'es juste parti. Et tu reviens, comme si de rien n'était alors que... Alors que je venais ici tout le temps, je m'occupais de tes affaires en me disant que t'allais rentrer vite mais- Tu croises les bras, détournes le regard, visiblement agacé. Ou plutôt à essayer d'cacher que t'as encore envie de pleurer comme un bébé. Ça fait bientôt quatre mois.
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