ANNÉE 1983, DAVID, DERRICK ET DUSTIN, PASSIONNÉS PAR LA SCIENCE-FICTION ET LA POP CULTURE, DÉCIDENT D'ENVOYER UN MESSAGE DANS L'ESPACE GRÂCE À UN ORDINATEUR SOPHISTIQUÉ DEPUIS LEUR PETIT GARAGE À COSMOPOLIS, DANS LE CONNECTICUT. PUIS C'EST PARTI EN COUILLE.PLUS DE TRENTE ANS APRÈS, GRÂCE AUX EXPLOITS INFORMATIQUES DES "3D" (POUR "THREE DICKS"), LES ALIENS FOULENT ENFIN LE SOL TERRESTRE ! MAIS À QUEL PRIX ? C'ÉTAIT À L'ÉPOQUE UNE SIMPLE PASSION. NI FEMME, NI EMPLOI, DAVID, DERRICK ET DUSTIN ONT PASSÉ LE PLUS CLAIR DE LEUR TEMPS (ET LEUR VIE) À ÉTUDIER L'ESPACE ET LA POSSIBILITÉ DE LA VIE AILLEURS QUE SUR NOTRE BELLE PLANÈTE. SANS DIPLÔMES OU CERTIFICATS, ILS SE CONTENTENT DE CONCEVOIR DES ORDINATEURS ET AUTRES SOFTWARES CHEZ EUX DANS LE SEUL INTÉRÊT D'ENVOYER UN MESSAGE AU-DELÀ DE LA SURFACE TERRESTRE. ILS L'ONT APPELÉ CODE COSMO EN HOMMAGE À LEUR VILLE CHÉRIE (C'EST FAUX, ILS N'ONT JUSTE AUCUNE IMAGINATION), COSMOPOLIS.
EN COURS D'AFFICHAGE (WADE ET LE CODE SE BATTENT)

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Lun 15 Oct - 20:11

Louis Mercier

Personnage secondaire et solitaire, on l’appellera l’Amer

alias : Viens ici mon chien, médor, cerbère, c’est un bon chienchien ça ! Les noms ne manquent pas, hélas, s’il est un vilain, son apparence n’a rien d’effrayant et lorsque l’on ignore que sous son apparence patibulaire se cache l’amertume d’un homme oublié alors il est aisé de ne pas savoir et de l’appeler ainsi. Il change de nom, ou du moins, ce sont les autres qui l’appellent différemment, selon. Shadow quand on comprend qu’il n’est rien de plus que l’ombre des Antis. Doggo quand on parle de sa fidélité avec mépris. Veilleur quand il fait parti d’une équipe de braqueurs et que son rôle consiste à attendre sagement, tendre l’oreille et alerter quand il sent les ennuis approcher. Mais si vous lui demandez ce qu’il a choisi, ce que son cœur lui dicte, il ouvrirait les paupières avec délicatesse et murmurait dans un soupir exquis Titus, par égard pour sa propre histoire.
âge : 28 ans
race : humain, mais en mieux
statut financier :  Incertain, Louis n’a jamais vécu dans l’opulence, ou alors ce ne fut que bref, anecdotique, même, aujourd’hui il vit dans la normalité, dépense son pécule salement acquis presque dans l’immédiat des excès et puis de la brutalité, ce n’est certes pas cela qui le motive.
groupe : antis-bae
occupation : Elles sont multiples, mais il est surtout super vilain, il se déplace là où on lui demande d’aller, sans réellement sourcilier. Alors il peut être braqueur de banque, traquer des milliers de kilomètres un homme, une femme, un enfant, il peut s’improviser gardien, exécuteur de problèmes entre autres morsures à la jugulaire, gratte-papier, poète raté, scribouillard du dimanche qu’on délaissera peut-être pour l’éternité, chien errant aussi quand les nuits sont longues et que le sommeil s’enfuit, détracteur, criminel, secrétaire, informateur, il lui arrive aussi d’intervenir avec les chiens qu’il dresse à l’hôpital puisque le métier officiel de Louis est maître-chien et il éduque des chiens pour pouvoir les confier à des handicapés visuels
origine : Fils d’un professeur de piano gentillet et d’une (ancienne) pute brésilienne, arrivée plein d’espoir dans le pays de l’oncle Sam
pouvoir : Mordu par un chien éventuellement exposé à d’étranges produits toxiques, Louis a fini par développer quelques capacités. Sa vision périphérique est devenue plus importante, il peut voir dans la nuit uniquement grâce à la lumière des astres, mais il voit moins les couleurs et est devenu presbyte, des petits défauts qui lui vaut d’être catalogué comme « mal-voyant ». Ses capacités olfactives se sont décuplées et il peut traquer des milliers d’odeurs sans jamais les mêler. Il entend aussi beaucoup mieux, surtout les bruits très aigus. (Oui il est possible de le siffler avec un sifflet à ultrason il va accourir). Cependant, l’augmentation de décibels n’est pas bon pour lui, en plein trafic ou même au cœur de la nuit, il lui  arrive même de s’évanouir de douleur. Sa mâchoire est également beaucoup plus puissante. Il peut aussi se transformer en chien, en doberman, plus exactement, bien qu’il n’est pas aisé de le faire vêtu, sauf s’il souhaite s’y emmêler et ne peut donc le faire en public. Il s’entend très bien avec les canidés et peut communiquer aisément avec eux lorsqu’il est lui-même un chien. Il lui arrive parfois d’avoir envie de ne plus redevenir humain, tant il trouve la pensée humaine chaotique, alors il est dangereux pour lui de rester ainsi plus de douze heures.
égotiste ▵ nombriliste  ▵ patient ▵ égoïste ▵ extrêmement désagréable lorsqu’il ne prend la peine de cacher son mépris ▵ haït les héros, le monde médiatique aussi ▵ déteste les travers humains, extraterrestre métisses, vous voyez, il n’est pas du tout spéciste ! ▵ voudrait le monde pour lui tout seul et ses chiens ▵ aimant ▵ affectueux lorsqu’il le veut ▵ chaotique ▵ colérique, mais il n’exprime rien d’autre que quelque chose de très froid ▵ souffre de l’abandon du monde entier▵ extrême dans sa manière d’agir et de penser ▵ faussement fidèle ▵ menteur ▵ joueur ▵ imprévisible ▵ insomniaque ▵ a un gros problème avec les félins ▵ n’a absolument aucune pudeur ▵ parfois trop silencieux ▵ sinon il s’aime s’entendre parler ▵ il ne peut plus regarder de films à la télévision et ça ne lui manque pas ▵ il fait des origamis ▵ il aime bien passer devant tout le monde au supermarché avec sa carte handicapé, oui ça lui fait énormément plaisir (cc toi) ▵ il aime les livres audio, le noir et le blanc, il aimait le rouge avant ▵ il lui arrive d’organiser des expéditions punitives chez les gens qui maltraitent leur chien ▵ se fiche éperdument du monde et de son sort et n’éprouve pas de vrais remords ▵ il porte toujours des lunettes de soleil même la nuit, même que ok c pas du tout pour copier matt murdock arrêtez ▵ solitaire ▵ attention whore avec ses quelques amis ▵ n’hésite pas à trahir ses potes quand ils le font suer, même si c’est pas hyper bon pour le business ▵ il n’a pas de patience parfois et il lui arrive de casser des trucs, du genre le micro-onde, parce qu’il bipait n’importe comment et que ça lui cassait les oreilles ▵ bon d’accord parfois il a du mal à rester maître de lui-même ▵ il paraît toujours très poli, même quand il dit à quelqu’un d’aller se faire foutre  ▵ il a un sourire « alerte à malibu » mais il ne faut pas s’y fier ▵ parfois il a du mal à promener tous ses chiens du coup il a un trafic de promeneur de chien au black (essentiellement les gosses du quartier) ▵ il aimait écrire, avant, maintenant il en a marre que le logiciel de transcription fasse n’importe quoi ▵ il passe plus de temps à parler avec google que le reste du monde, s’il avait des voisins ils en auraient sans doute marre de l’entendre dire « ok google »  ▵ quand il est sous sa forme de chien vous pouvez essayez de lui faire faire des tours, s’il vous aime bien, il va le faire ▵ mâture parfois ▵ n’a aucune confiance en la justice ▵ et ne supporte pas les représentants de l’ordre ▵ il sait jouer du piano debout, c’est peut-être un détail pour vous, mais pour lui ça veut dire beaucoup ▵ il évite un peu, parce que bon, Gilbert Montagné, toussa ▵ son grognement est très effrayant ▵ n’utilise jamais son nom de famille, toujours associé à son père ▵ il mange des hot-dog, oui ▵ prêt à conquérir l’univers éventuellement

il était une fois
Gamin aimant, vraiment, souffrant le regard sévère des adultes, il est de ces mômes qui s’évadent des jours et des nuits entre les lignes des livres. Jeune aventurier, voguant sur l’imaginaire, un navire capricieux qui n’aimait qu’être imprévisible et il explorait avec avidité des lieux de rêves et de beautés. De l’effrayant au fascinant, sans discontinuer, oh, non, il n’aimait jamais terminer un livre et devoir l’abandonner, mais n’hésitait pas à se jeter avec envie sur les prochains. Pourtant il n’aurait jamais pu imaginer, ne serait-ce qu’esquisser dans sa toute petite tête tout le roman de sa vie, les péripéties qui sont trop grandes pour les gosses qui se cassent les dents sur des théorèmes et des règles obscures.

Et il n’a jamais vraiment aimé la télévision, c’est vrai, il n’y a rien d’excitant dans la succession de couleurs et de formes grotesques en grand sur l’écran glacé. Lui il préférait ses bouquins, s’imaginer donner des coups de pieds aux méchants pour de faux et puis rêver aussi des monstres pour s’imaginer qu’au final, ça n’existe pas vraiment. Et c’était bien, vraiment bien, c’est vrai, de faire semblant d’être le grand gentil dans une comédie familiale du dimanche, en compagnie d’un père aimant et d’une mère trop belle pour exister, pour pleurer.

Seulement voilà, la vie, ça n’est jamais que ça. C’est un embrouillement chimériques, un chaos routinier qui chante la rengaine de la banalité et de la joie sans discontinuer. Et puis qui ce sont aussi des fractures, un ramdam d’incompréhension et de terreur qu’on calme parfois aussi dans les bras aimants de ses parents. Et tout ça, non, un marmot ça n’y pense pas, ça rêve plutôt aux billes arc-en-ciel qu’on va échanger demain à la récréation.

Et puis un jour ça lui est tombé dessus, en grande définition, de couleurs et de formes grotesque, pareil à ces films qui n’existent pas réellement et qu’il n’a jamais aimé. Sauf que là, ce n’était pas du chiqué, comme quand on joue le super-méchant et qu’à la fin on se fait battre péniblement. Là, c’était vrai, les voitures de police, la foule de curieux, puis un héros en train d’accorder une interview à couper le souffle sans doute, qui mériterait sans doute des applaudissements, mais là, derrière, ça ne pouvait qu’être lui. Il ne voyait pas bien sa tête, mais il a reconnu la cravate qu’il lui avait offert pour son anniversaire. Celle avec des têtes de chiens rigolos. Et puis, non, peut-être pas, sûrement pas, parce que des policiers l’embarquaient, menotté, la nuque basse. Alors évidemment, ça pouvait ne pas être lui, pas vrai ? Pas vrai ? Regard inquiet vers la maman qui en a cassé sa théière sur le parquet. Mais non, cette fois elle ne parvint pas à le réconforter.

« Assassins, meurtriers, brûlez en enfer, que dieu vous pardonne, vous allez mourir avec vos péchés. Les gens comme vous, il faudrait les euthanasier » Succession de lettres, manuscrites ou même découpées et collées, des menaces et des invitations à prier le dieu tout puissant pour qu’on leur vienne en aide, même s’il ne leur pardonnerait sans doute pas. Sa mère ne sort plus, elle reste là, à guetter les nouvelles à la radio, elle avait fini par éteindre la télévision qui ne faisait que dépeindre son mari comme un monstre qui n’aurait jamais du exister, abject personnage que l’on disait fou, dérangé et les familles des victimes qui pleuraient, pleuraient, racontaient comment leurs enfants avaient pu être amenés à côtoyer ce père de famille apparemment sans histoire, qui enseignait dans une petite école de quartier, se rendaient devant chez eux pour chercher vengeance et malmener un peu plus ceux qui restent et qui affrontent la tempête. Mais, comment les blâmer, disait-on ! Le père avait abusé et dépecé des adolescents ! Et qui sait depuis combien de temps ? Alors tout le monde refait l’histoire, on reparle de l’ancien travaille de la mère et il y en a même qui allaient jusqu’à inventer des histoires sur le tout petit Louis. Et de timoré, il était devenu distant, forcément malheureux aussi, alors qu’il n’avait presque jamais pleuré de sa vie !

Coupables, coupables, coupables ! Qu’ils disaient, puisque c’était un héros qui disait avoir arrêté le père qui lui jure qu’il essayait simplement de sauver une jeune fille qui n’aura jamais survécu assez longtemps pour étayer ses dires. Et la police avait rapidement suivi, c’est vrai, dans la minute ils étaient intervenus. Et des preuves, des preuves, comme s’il en pleuvait ! Franchement, un criminel aussi négligeant il fallait le faire ! Et chacun s’enorgueillit, héros comme force de l’ordre qui ne cessaient de rappeler comme leur collaboration était capitale. Et bravo, bravo disaient-ils alors que chez les Mercier le monde se disloquait, tout devenait hideux et sourd, opaque et triste. Le téléphone les faisait sursauter, comme les bruits des vitres qu’on casse avec des cailloux simplement pour mieux entendre les autres hurler « dérangés » sans plus de dignité. Ah ça, oui, c’était beau, c’était bien, applaudissez.

Et l’enfant dans tout ça ? Il a arrêté d’aller à l’école, parce que là bas il ne pouvait plus respirer, les adultes rodaient autour de lui pour lui poser à tout moment des questions, prêts aussi à déceler en lui des formes de maltraitance inexistantes. En plus des autres qui n’arrêtaient pas de lui rappeler qu’il était le fils d’un détraqué. L’air était trop dense et à chaque qu’il rentrait, il lui fallait beaucoup de courage pour ne pas se mettre à chialer. Et puis après-tout peut-être que sa mère le faisait assez pour deux. Finalement, ils abdiquèrent, juste avant le début du procès, pour aller se réfugier dans le douzième district. Un retour en arrière pour la mère qui avait passé des journées entières dans les chambres miteuses du bordel à crier tout haut dans le ciel des onomatopées crevées et boursouflées d’une misère qui n’en finirait probablement jamais.

Condamnation éclair, mais après-tout l’avocat commis d’office n’avait jamais cru suffisamment pouvoir gagner. Il aurait préféré que le père plaide coupable, mais il n’avait jamais voulu, ô sublime pied de nez, n’avez vous pas honte ? Et non, et non, il aurait au moins pu accorder cela aux victimes.

Dans le douzième district on ne vient pas vous pourchasser pour vous insulter, tout le monde insulte tout le monde, tout le monde s’occupe de ses affaires, enfin, la plupart du temps. Et puis même si c’est la misère, même si l’endroit n’existe même pas vraiment sur la terre des hommes, les vandales et les pauvres valaient bien mieux que le monde miroitant plus haut, de son immonde perfection et ses relent exquis de gens trop bien pour s’en préoccuper.

Ou alors il valait mieux s’en persuader. L’un dans l’autre, il ne fallait pas penser aux journées de travail de sa mère et aux errances de la tête blonde qui avait arrêté de lire pour écrire sur des morceaux déchirés des lettres pour son père qu’il ne reverrait sans doute jamais. Ou du moins pas maintenant, il n’était pas assez grand. Il trouvait son bonheur auprès des chiens errants du quartier, sa toute petite armée qui marcherait un jour sur ce monde rempli d’Hommes monstrueux et qui bousculerait les héros, ce qui avaient fait condamner un innocent, il en était persuadé.

Ultime rebondissement, flash spécial, il était mort. Qui ça il ? Son père qui, il y a encore quelques années, s’amusait à le faire tournoyer, les épaules ceintes d’un drap qui lui servait de cape quand ils jouaient aux héros et aux méchants. Mort, très mort, parce que vous savez, on ne traite pas bien les tueurs d’enfants en prison. C’était la fin, il ne le reverrait jamais, il ne lui écrirait plus jamais rien. « T’inquiète pas mon fils, qu’il lui avait encore promis. La justice finirait forcément par se rendre compte que tout était une erreur. »

Alors il a grandi Louis, en détestant ce monde navrant, en collectionnant dans sa boîte à souvenir tous les mots d’horreur qui avaient fait pleurer sa mère tout ça dans l’idée de se venger un jour. C’est vrai, la haine rempli plus facilement le ventre que la nourriture qui vient à manquer, car sa maman n’est plus assez belle, qu’elle est trop vieille pour s’envoyer en l’air, peut-être juste assez pour se foutre en l'air. Nouveau changement de métier. Elle irait travailler pour une entreprise douteuse, parce que les criminels ne vous demandent jamais ce que ça fait d’être la famille d’un meurtrier.

Et ce n’est pas ce héro vieilli qui s’est rendu chez eux pour s’excuser, qui lui a fait changer d’avis. Oh non, vraiment pas. Parce qu’il a vraiment cru que… Il était persuadé que… Mais c’est difficile de tuer des adolescentes depuis un cercueil, même mode opératoire, même quartier, il était tout penaud d’avouer que ce qu’ils avaient pris pour un imitateur était en réalité le véritable meurtrier. Alors la nuit, Louis qui était devenu presque grand, adolescent à présent, avait prévu de faire un carnage dans le centre en compagnie de ses chiens. Il ne put cependant jamais mettre son plan à exécution puisque l’un de ses fidèles soldat s’était jeté sur son avant bras pour le lui mordre avec violence. Heureusement pour lui, ce n’était encore qu’un bébé, Sandy, mais le lendemain matin la plaie s’était infectée et il n’y voyait plus comme avant, le monde tambourinait contre ses tempes, fiévreux et nauséeux. Les vieilles dames du quartier qui faisaient office de docteur avaient prédit qu’il ne passerait pas la nuit. Qu’il fallait qu’on l’emmène à l’hôpital et ce, mais ils ne pouvaient pas se le permettre non. Pas assez d'argent gagné. Heureusement pour lui, sa mère alla mendier auprès de l’organisation qui l’employait une avance d’une année, en échange de ses os, de sa peau, de son cœur, de ses organes, de tout ce qu’ils voulaient, oui vraiment tout, elle n’avait qu’un fils à perdre et elle n’y survivrait pas s’il s’en allait. Ils acceptèrent et Louis a passé la nuit, le jour et même la semaine. Un vrai miraculé, lorsqu'il fut en état de se lever, même handicapé, il travaillerait suffisamment pour rembourser la dette qu’il n’a jamais demandé à payer.

Mais c’est comme ça, tu sais, la vie c’est jamais vraiment beau, sauf dans les livres qu’on écrit pour le monde entier. Pour qu’il soit moins triste à pleurer.

Alors il ne serait jamais écrivain, jamais grand poète, non, il serait un instrument de destruction, une prédiction de fin du monde, celle qu’il mérite et qu’ils ont forgé. Un super vilain pour de vrai. Qui veut le monde pour lui simplement pour tout y détruire et reforger.

« Et ce sera bien, vraiment bien quand on sera tous crevé. »
je bois du coca light, party in the usa, les raviolis tomates mozza basilic, "bouygues telecom vous informe: depuis cette destination (Belgique), composez le..." et ce msg est trop long, qd je vais dans ma salle de bain je passe en Belgique, ui, "observons soigneusement la façon dont la phrase suivante est représentée:" (le bescherelle), QUELLE VISION S’OFFRE A MA VUE??? & je suis le dc de luther slt
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Drake K. Calvelli
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Drake K. Calvelli

Lun 15 Oct - 20:21
Je sais pas pourquoi.
Mais j'ai envie de le gifler.
et en même temps de le câliner.
c'est un drôle de sentiment que tu me fais là.
En tout cas l'es bg.
rebienvenue !
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Achilles
Crédits : 0
Achilles

Lun 15 Oct - 20:29
je l'aime toujours autant
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Invité
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Invité

Lun 15 Oct - 20:39
oh ! le beau chienchien !

je vais t'adopter. Non ! Je t'adopte ! Voila :h2:
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ATRAX
Ambre E. Price
Crédits : 0
Ambre E. Price

Lun 15 Oct - 21:02
Ouaiiii un autre perso si chouette :h2:

Tu f'ras ami ami avec Atrax et tu viendras détruire le monde avec elle ? Elle peut prendre soin de tes puces.
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Nubes
Crédits : 0
Nubes

Lun 15 Oct - 21:13
OOOOHH MON DIEU OH MON DIEU :h2:
Titus est tellement parfait
il est juste génial
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Zep
Crédits : -10000
Zep

Lun 15 Oct - 21:27

C'est dans la boîte !

Bienvenue sur le forum

MUST PROTECC
Avec Luther j'avais presque oublié à quel point tu écrivais bien à côté et Titus est bcp trop attachant même s'il est détestable (tu me connais, c'est tjr ce que je préfère) :h2:

Tu peux désormais t'attarder sur la paperasse : recenser ton avatar, ton irl si tu en as un et ton métier. N'oublie pas d'aller poster ta fiche de liens ! Bon jeu !
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Invité
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Invité

Lun 15 Oct - 22:20
Vous êtes bcp trop adorable :hug:

Je suis super content que le perso vous plaise & j'ai super hâte de RPS avec ce bb.
*
Reiner
Crédits : 0
Reiner

Lun 15 Oct - 22:33
q u o i
doggy ????
c'est beaucoup trop parfait !!
je l'adore !!!!
:hug:
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