ANNÉE 1983, DAVID, DERRICK ET DUSTIN, PASSIONNÉS PAR LA SCIENCE-FICTION ET LA POP CULTURE, DÉCIDENT D'ENVOYER UN MESSAGE DANS L'ESPACE GRÂCE À UN ORDINATEUR SOPHISTIQUÉ DEPUIS LEUR PETIT GARAGE À COSMOPOLIS, DANS LE CONNECTICUT. PUIS C'EST PARTI EN COUILLE.PLUS DE TRENTE ANS APRÈS, GRÂCE AUX EXPLOITS INFORMATIQUES DES "3D" (POUR "THREE DICKS"), LES ALIENS FOULENT ENFIN LE SOL TERRESTRE ! MAIS À QUEL PRIX ? C'ÉTAIT À L'ÉPOQUE UNE SIMPLE PASSION. NI FEMME, NI EMPLOI, DAVID, DERRICK ET DUSTIN ONT PASSÉ LE PLUS CLAIR DE LEUR TEMPS (ET LEUR VIE) À ÉTUDIER L'ESPACE ET LA POSSIBILITÉ DE LA VIE AILLEURS QUE SUR NOTRE BELLE PLANÈTE. SANS DIPLÔMES OU CERTIFICATS, ILS SE CONTENTENT DE CONCEVOIR DES ORDINATEURS ET AUTRES SOFTWARES CHEZ EUX DANS LE SEUL INTÉRÊT D'ENVOYER UN MESSAGE AU-DELÀ DE LA SURFACE TERRESTRE. ILS L'ONT APPELÉ CODE COSMO EN HOMMAGE À LEUR VILLE CHÉRIE (C'EST FAUX, ILS N'ONT JUSTE AUCUNE IMAGINATION), COSMOPOLIS.
EN COURS D'AFFICHAGE (WADE ET LE CODE SE BATTENT)

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Tag genre sur code cosmo 1546781734-nominiSujet: sortie éducative / peter
Wade Wilson

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Rechercher dans: banlieue   Tag genre sur code cosmo EmptySujet: sortie éducative / peter    Tag genre sur code cosmo EmptySam 4 Aoû - 23:14




M U S I Q U E À É C O U T E R


RÉSIDENCE DU TROISIÈME ÂGE, GREEN LEAVES.
10:18 a.m

« MAIS QU’IL EST SEXY, J’Y CROIS PAS ! » (bonjour, enchanté, moi c’est Pool, Dead Pool… ou Bond, James Bond)(attend, tu t’es trompé, c’est moi qui devait dire qu’il est sexy et toi que t’es enchanté) Pourquoi j’ai des ficelles dans la bouche ? Je me retourne - ou du moins j’essaye et ça donne un truc moche, genre un asticot au bout d’un hameçon - vers ces dames « Laquelle de vous m’a embrassé avec du fil dentaire ? » C’est pas du fil dentaire. (c’est de la toile) Han….

Haaaaaaan…

Serait-ce………..

Je ne contrôle pas ma destinée, ni mes voix, ni mon coeur - surtout mon coeur. Telle une plume d’ange arraché au Paradis (celui des Chrétiens ?), il s’envole pour mieux se déposer sur le crâne moulé de lurex rouge (le sale copieur). Oh, que faire ? La chamade m’emporte, vais-je donc perdre la vie ? Greta et Evelyn ne sont que de vagues souvenirs, je… Oh…

(WADE, TU CRAINS)

Ok.
Reprenons mes esprits. Je viens de me faire surprendre en fin d’érotique entrevue par Spideyboy aka le chouchou du grand publique, aka un jeune mâle hyper bien foutu (il va à la gym ?) aux airs de Gandhi américain aka un caramel à la fraise. Non, pas un caramel à la fraise - je dis n’importe quoi. (tu as faim) Voilà, c’est pour ça.

Première chose à faire : me libérer de ce gourbis arachnide gluant (quoique, c’est sexy, ça se rapproche du bondage). J’atteins par miracle mon Bower Magnum (un poignard, pas un flingue, non, pas cette fois) et je précise bien miracle car ce dernier est au fond de la poche arrière de mon bas, lui-même replié sur mes pieds, eux-mêmes ligotés…

Bref. Je charcute le tout.

« LIBBBBÉRÉÉÉÉÉÉ, DÉLIVRÉÉÉÉÉ » Je hurle. C’était trop tentant.

Seconde chose à faire : me rhabiller.
Zip, zap, zooooop. Fait.
(notons le manque de description témoignant de la flemme de l’auteure) Chut. Laisse-là, elle fait de son mieux… #genre

Je souris de toutes mes dents sauf que toutes mes dents sont sous mon masque alors disons plutôt que mon masque s’étire de gauche à droite de toutes ses coutures. « Si, en me réveillant ce matin, mes voix m’avaient dit que j’allais rencontrer l’araignée la plus fuckable de Cosmopolis… Bah… Je les aurais cru. » Je ris.

D’en bas, j’entends des pas. Les infirmiers ? Oui, sans doute.

Troisième chose à faire : continuer l’aventure qui s’offre à moi. (et la bouffe ? et notre estomac ??) continuer l’aventure qui s’offre à moi et manger*.

Un infirmier entre.
Scène en accélérée : il est interloqué, il cri, il menace, je le cogne, il tombe, je lui retire ses vêtements, je les revêts par dessus ma combinaison, je m’applaudis, Evelyn et Greta aussi. « Notre bad boyyyyy ! » elles roucoulent. Fin.

« Bon, continuons le ravissement de mon enchantement de notre rencontre fortuite et super badass comme ceci : tu sors avec ces demoiselles rejoindre le groupe - » elles roucoulent bis « - je vous accompagne tel le bon infirmier que je suis, on se fait une virée de ouf. »

(il va dire non et te dénoncer à la police, ou pire, t’ignorer………) Ok, ajoutons de l’esbroufe à mon super plan. « Si tu refuses, elles meurent, parce que je les ai empoisonné pendant qu’on niquait et j’ai le remède bien planqué sur moi. Je leur file seulement si t’acceptes le plan. » (ce plan naze) Dieu soit béni qu’elles soient sourdes, sinon elles ne m’auraient jamais rappelé après ça et perdre de si bons coups… Horreur...

J’acquiesce. (c’est pas à lui d’acquiescer ?)

« Ok super, allons-y. »

Evelyn et Greta, débarrassées de leur nudité, s’enjoignent naïvement à nous et, bras dessus, bras dessous, nous quittons la chambre pour le Hall. Des papillons nous suivent, laissant de fines traces arc-en-ciel dans l’air - je peux presque entendre le gazouillis des mésanges, je peux presque me sentir rougir sous les oeillades tendres et admiratives de mon nouvel amant…

(en vrai, ça se passe autrement : les vieilles marchent de traviole alors tu dois te courber pour aider Evelyn tout en harcelant de ta proximité louche non pas ton nouvel amant mais ta nouvelle pauvre victime traumatisée pour qu’il avance alors qu’il est aux prises avec l’arthrose de Greta)

C’est beau.
« Au fait » - regard de braise (sous le masque, donc pli de braise du masque) - « Appelle moi Deadpool bébé. »
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