ANNÉE 1983, DAVID, DERRICK ET DUSTIN, PASSIONNÉS PAR LA SCIENCE-FICTION ET LA POP CULTURE, DÉCIDENT D'ENVOYER UN MESSAGE DANS L'ESPACE GRÂCE À UN ORDINATEUR SOPHISTIQUÉ DEPUIS LEUR PETIT GARAGE À COSMOPOLIS, DANS LE CONNECTICUT. PUIS C'EST PARTI EN COUILLE.PLUS DE TRENTE ANS APRÈS, GRÂCE AUX EXPLOITS INFORMATIQUES DES "3D" (POUR "THREE DICKS"), LES ALIENS FOULENT ENFIN LE SOL TERRESTRE ! MAIS À QUEL PRIX ? C'ÉTAIT À L'ÉPOQUE UNE SIMPLE PASSION. NI FEMME, NI EMPLOI, DAVID, DERRICK ET DUSTIN ONT PASSÉ LE PLUS CLAIR DE LEUR TEMPS (ET LEUR VIE) À ÉTUDIER L'ESPACE ET LA POSSIBILITÉ DE LA VIE AILLEURS QUE SUR NOTRE BELLE PLANÈTE. SANS DIPLÔMES OU CERTIFICATS, ILS SE CONTENTENT DE CONCEVOIR DES ORDINATEURS ET AUTRES SOFTWARES CHEZ EUX DANS LE SEUL INTÉRÊT D'ENVOYER UN MESSAGE AU-DELÀ DE LA SURFACE TERRESTRE. ILS L'ONT APPELÉ CODE COSMO EN HOMMAGE À LEUR VILLE CHÉRIE (C'EST FAUX, ILS N'ONT JUSTE AUCUNE IMAGINATION), COSMOPOLIS.
EN COURS D'AFFICHAGE (WADE ET LE CODE SE BATTENT)

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Porc aigre doux ft. George (nc-18)

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Sam 15 Sep - 13:31

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i know they'll never own me

salty george & sugar Murphy


Fronçant les sourcils face au tuto youtube, Murphy s'appliquait à se maquiller de la plus discrète et élégante des manières. Elle avait déjà rêvétu une jupe crayon noire, assortie à la veste de tailleur posée sur le lit de cette chambre d'hôtel quelque part dans le centre.
Une fois qu'elle eut parfait son trait d'eye liner, elle releva la cascade de boucle fraîchement teinte en blond en un chignon élégant, exactement comme la photo trouvée sur pinterest.
Reconversion professionnelle ? N'y croyez pas trop.
D'un coup moins élégante, elle remettait en place sa poitrine dans son petit chemisier décolleté. Puis elle glissait ses pieds dans cette nouvelle paire d'escarpin, achetée ce matin. Beaucoup d'argent dans des chaussures beaucoup trop sobre, Murphy collerait des strass dessus, dans quelques jours, histoire de leur rendre le glamour qu'elles méritaient.
Aucun de ses amis n'aurait pu se douter que dans cet uniforme parfait de working girl s'était glissé Murphy, elle même n'y croyait pas.
Mais elle était professionnelle, et rangeait dans son sac l'enveloppe pleine de billets, petite avance sur sa prestation. C'était déjà beaucoup, bien mieux payé que la plupart de ses (rip) clients. Elle aurait pu se tirer avec cette jolie somme, mais on l'envoyait droit dans le repaire d'une proie juteuse, de celle qu'elle ajouterait avec énormément de fierté à son tableau de chasse, après ça elle aurait tout vu tout goûté.

S'élançant dans les rues du centre, la nuit tombait sur Murphy mais il ne faisait jamais noir dans cette ville, où les néons s'allumaient frénétiquement, chacun leur tour, tandis que la vie continuait de tourner à toute allure.
Elle entrait dans un bâtiment, qui peu à peu, se vidait de son sang, de ses travailleurs tous vêtus de la même manière, effrayante marrée de fourmis ouvrière quittant le nid, avant de revenir le lendemain.
Dans l'ascenseur, elle regardait ses pieds, n'osant pas croiser le regard de la secrétaire. Habillée de la même manière, l'attitude en moins, Murphy se sentait mise à nue à travers ce regard façon rayon X. Etait elle démasquée ? Elle n'avait pas fait bien longtemps l'illusion. Et pourtant.

La porte se ferma derrière elle, et se trouvait désormais seule dans le bureau de Byron. Esquissant son plus beau sourire, masquant le rictus carnassier derrière une façade impecable, elle s'avançait vers l'impérial patron, inspirant un grand coup. Elle s'apprêtait à jouer le role de sa vie.

Bonsoir, je suis Ashley, un de vos proches collaborateurs m'a recommandée pour un entretien avec vous, il paraît que vous auriez des besoins spéciaux.

Lâchait elle d'une voix posée plutôt que sussurée, s'appliquant à chaque syllabe pour dissimuler ses accents de péquenaude.
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GOLD LION
George Byron
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George Byron

Sam 15 Sep - 16:08



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GEORGE & MURPHY
« i’m a gold digger, a fake dreamer »
MUSIQUE

Il tourne en rond dans son bureau, non sans s’enfiler de temps à autre un rail de coke. Il cherche, il cherche mais ne trouve rien - aucune idée pour améliorer la campagne marketing censée lancer le nouveau whisky haut de gamme de la maison.

Il aura passé sa journée ainsi, frustré de gamberger en vain, criblé de retard dans ses papiers, accumulant les rendez-vous et les coups de téléphone trop longs. C’est une boule de nerfs, saupoudrée de fatigue, cuite à la lassitude et farcie à l’irritabilité.

L’horloge sonne 21H passé lorsqu’il entend la porte de son bureau s’ouvrir pour mieux laisser une jeune inconnue y entrer. Endimanchée comme pour un premier jour d’école, elle s’avance, te parle sans y être invitée - ce qui, George, manque de t’arracher un grondement indigné. Quelles sont ces manières ?

Non, non, nul besoin est d’augmenter ton stress.

Il l’écoute lui conter une curieuse fable. Pourquoi curieuse fable ? C’est que jamais il n’accepte d’entretien d’embauche sans avoir eu un premier contact par mail ou via sa secrétaire. Ainsi, il la couve d’un regard circonspect, sans l’interrompre d’aucune façon.

Ashley ? George, ravi de faire votre connaissance. Asseyez-vous, je vous en prie. - dit-il, tirant le dossier du fauteuil pour mieux, en parfait gentleman, l’amener à portée de son hôte.

Ensuite, s’appuyant contre son office face à elle, jambes droites et bras croisés, il s’offre un moment de silence. Moment de silence mis à profit dans l'examen scrupuleux de son apparence. Perçantes, ses orbes bleues ne loupent aucun détail de celle-ci.

Quelque chose cloche chez cette demoiselle - cette tenue qui semble crier qu’elle n’épouse pas la bonne personne ? L’étincelle taquine nichée sous ses cils ? Cette moue trop innocente pour ce sourire trop sous-entendu ?

Des besoins spéciaux, mh ?

Cela sonne comme… Un jeu de rôle mal placé… Comme un tour d’esbroufe signé Mark Rosenberg. Ce ne serait pas la première fois que son collaborateur tente de le flatter en usant d’un tel stratagème.

George, tu n’es pas homme facilement dupé.

D’une voix feutrée - s’apparentant au calme plat d’un lac, il poursuit… Vos compétences comprennent-elles la séduction, la mise à nu de votre corps et l’offrande de celui-ci ? Pardonnez ma rudesse, mais vous n’avez rien d’une fille de bonne famille désireuse d’obtenir un poste dans ma compagnie.

Tu as les traits étrangement paisibles, l’attitude étrangement prévenante. Étrangement. Étrange. Tu es étrange. L’arrivée de cette jeune femme t’a, il semblerait, extirpé à tes mauvaises humeurs. Voilà qui est, George, une bonne nouvelle.

Il sort deux cigarettes. La première, elle rougeoie entre ses lèvres - la seconde, il la lui tend. Veuillez rentrer chez vous. La fumée se répand dans la pièce. Le tic tac de l’horloge poursuit sa course.

Cette interlude, si brève fut-elle, lui aura fait du bien avant la reprise de son sérieux et des affaires.



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Sam 15 Sep - 23:35

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i know they'll never own me

salty george & sugar Murphy


Il était plutôt pas mal le petit patron, Murphy avait tiré le gros lot. Un John Smith surclassé, édition dorée limitée et sans la bedaine. Plutôt bien conservé. Bon, puant de prétention, mais les mecs avaient tendance à être comme ça avec les filles comme elle, parce qu'elles pourraient jamais être aussi distinguées, les putes.
Il avait grillé sa couverture, d'une voix calme, posée, délicatement méprisante, tout en lui offrant une cigarette. Elle extirpait de son sac à main, entre ses ongles parfaitement manucurés, un briquet d'une sobriété qui faisait tâche avec le bureau, si bien qu'elle allumait rapidement et l'enfouissait rapidement au fond de son sac. Avec tout l'argent qu'elle avait déjà reçu, elle pouvait bien s'en acheter un beau, même si elle préférait d'ordinaire les briquets avec des messages obscènes, histoire de gêner ceux qui lui demandaient. Mais elle avait déjà dépensé une petite partie de cette somme confortable pour suivre à la lettre les consignes qu'on lui avait envoyé par texto. Afin d'être au mieux, pour son entretien.

Poliment, il lui demandait de se tirer. Elle restait de marbre. Mais en même temps, le message l'avait prévenue, il fallait se montrer persuasive.
Elle n'avait pas dépensé tout cet argent en fringue et soins exclusivement pour convenir à ce type capricieux, pour repartir les mains vides.
Mais quelle stratégie adopter ? Murphy n'y connaît rien à ce monde fourbe et feutré, malgré tout les épisodes de gossip girl qu'elle a pu s'enchaîner, pour en apprendre un peu plus. Elle détestait jouer les hypocrites. Elle allait pas se tordre dans les sens pour ressembler à sa parfaite petite carpette de secrétaire, qui jugeait sans jamais oser lever la voix, cette batarde hypocrite.
Et puis, elle pouvait bien faire ce qu'elle voulait. Il fallait qu'elle reste deux heures dans ce bureau pour être payée, Byron n'aurait pas la force physique pour la dégager. Mais elle avait envie de s'amuser, et pourquoi pas, casser le mur que sa proie venait d'ériger, serait un chouette défi.

Je crois que vous n'avez pas très bien compris.

Elle se redressait sur son siège, la cigarette coincée entre son majeur et son index, bientôt intégralement consumée. Elle tournait autour du bureau, s'adressant désormais au dos de Byron. Elle extirpait de son sac à main une lettre frappée d'un cachet "confidentiel", qu'elle lâchait fièrement au sommet de la pile de paperasse, avant d'écraser le mégot dans le cendrier sur le bord du bureau.

Aucune mst, dépistée hier soir.

Elle lâchait son sac sur le siège, enlevait sa veste qu'elle pliait délicatement pour la poser sur le dossier. Esquissant un grand sourire, elle tournait sur elle même, s'éloignant du centre de la pièce pour s'approcher des bibliothèques couvrant les murs, donnant des airs nobles et respectables à la pièce.

Votre collaborateur m'a envoyée pour vous apporter un peu de soutien, pour décompresser, je peux trier quelques... trucs ? vous inquiétez pas, je polluerais pas votre air, j'ai passé l'après midi à me laver, me baigner dans des huiles essentielles pour pas vous embêter
ajoutait elle d'une voix, essayant timidement d'imiter les accents distingués de Blair Waldorf et Serena Van der Woodsen, tandis que sa main droite déboutonnait délicatement les plus hauts boutons de son chemisier. Sa main gauche quand à elle glissait sans la fine poche de sa jupe crayon, et attrapait du bout des doigts le minuscule flacon, réplique miniature du Bleu de Chanel.

Elle tournait à nouveau sur elle même, et croisait le regard de Byron, qu'elle soutenait. Avec un sourire malicieux se voilant d'une candeur à toute épreuve, elle entrouvrait un peu son chemisier, montrant un peu, ce qu'il fallait, de la sublime lingerie en dentelle crème qu'on avait fait livrer chez elle avec le premier mot lui demandant d'accepter ce travail.
Levant l'autre main, elle laissait apparaître le flacon reconnaissable entre tous, et aspergeait son décolleté généreux.

Vous voulez vérifier ?

*
GOLD LION
George Byron
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George Byron

Lun 1 Oct - 9:26



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GEORGE & MURPHY
« i’m a gold digger, a fake dreamer »
MUSIQUE

Il y’a de ces jours où tu préfèrerais être un ouvrier, collectant des kilos de charbon pour mieux rentrer sur les rotules, le soir, et te réconforter d’une bonne soupe mitonnée par ta femme. Il y’a de ces jours où t’aimerais que le monde entier t’appartienne, que personne n’achète quoique ce soit sans qu’il y’ait tes initiales gravées quelque part.

Il y’a également de ces jours comme ce jour-ci, où ta patience est mise à rude épreuve, de même que… Tes pulsions primaires ?

C’est que mademoiselle, à jouer de la dentelle et de la provocation, à ne pas partir, à ne pas t’écouter, à fureter comme une louve à l’orée d’une bergerie… C’est que mademoiselle t’aguiche. Tu ne peux pas l’admettre, ton égo te l’interdis mais, avouons-le Georgie, ce genre de lingerie et plus encore ce qu’elle dissimule, c’est ton péché mignon.

À d’autres ce sont les tartelettes à la fraise, à certains ce sont les grands vins, toi ce sont les seins.

Idiot, non ?

De manière générale, tu aimes les femmes, leurs corps, leurs courbes, leurs parfums - tu te souviens que, alors que tu avais quinze ou seize ans, tu étais resté planté pas moins de trois heures devant la Venus de Milo, à Paris, en visitant le musée.

Je crois même que cela a été ton premier fantasme puisqu’elle a souvent revisité des rêves… Une statue aux bras coupés, génial - super sain comme premier fantasme George.

Revenons-en à notre petite affaire…

Morale et envie se font débat dans tes méninges tandis que tu te rapproches, jusqu’à la noyer de ton ombre. Une main posée contre le mur, une autre sur son épaule, tu revêtis délicatement son épaule dont le chemiser se languit - ne quittant pas des yeux la chute aux reliefs arrondis qui te hurle d’y plonger ta bouche.

Non, tu résistes - encore un peu, assez tu l’espères pour qu’elle désespère et parte. Vous êtes inconsciente, jeune femme. Ce n’est pas sain. Je pourrais être votre père. C’est faux, en soit, tu as son âge mais - tu te garderas bien de le lui révéler, ce serait tomber ton masque le plus savamment établit.

Et depuis ce chemisier que tu as ramené sur son épaule, tes doigts glissent en dépit de ta bonne volonté, serpentent jusqu’à la fleur brodée habillant son sein gauche, en détourent les perles, les coutures - et, curieux, ils pincent la chair nichée en dessous.

Une découverte qui se meurt en caresse - une caresse subtile, finaude, qui ne durera que le temps d’un soubresaut, que le temps d’un soupire contre sa nuque dont tu inspires durement l’odeur épicée.

Aussitôt tu t’écartes, gêné - et tu n’en monteras rien, engoncé d’un sourire princier. Ce n’est bon George, la morale fait piètre adversaire face à ton envie. Alors, comme à chaque fois que c’est le cas, tu prends la fuite. Tu t’en vas te rasseoir à ton bureau, t’allumes une cigarette et évites du regard l’objet de toutes les tentations.

Partez s’il vous plaît, j’ai du travail. - tu déclares, autoritaire.

Tu te félicites presque de ta contenance, presque - car, en soit, il y’a une petite voix au noir de ton esprit qui te dit qu’être un gentleman, c’est sympathique cinq minutes et qu’il vaut mieux, dans ce genre de situation, être un parfait connard.

Ouais.

T’es doué pour endosser le rôle du parfait connard en plus, George, c’est bête que tu refuses d’assumer.



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Mer 17 Oct - 6:09

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i know they'll never own me

salty george & sugar Murphy

Il avait cédé, doucement mais sûrement. Murphy jouait les pimbêches ingénues, qui l'eut cru ? Il dominait la conversation, l'enfermant sous son bras appuyé au dessus d'elle, l'autre se posant sur son épaule. Et une drôle de sensation parcourait le corps de Murphy, comme électrifiée. De la gêne, de se retrouver ainsi soumise ? De l'excitation, à l'idée d'avoir si tôt remporté le semblant de jeu ? De l'envie, pour ce type charismatique, qui résistait à ses avances ?
Elle n'en savait pas grand chose, soupirant de surprise quand il glissa sa main contre son sein. Elle ne baissa pas les yeux une seule seconde, le fixant avec toute l'intensité dont elle pouvait être capable. Elle avait rassemblé tout ses neurones, qui se concentraient dans ce regard appuyé, malicieux, provocateur. Si elle en avait eu les capacités, il aurait pu lire dans ses pupilles "baise moi, qu'est ce que t'attends".
Mais aussitôt il retire sa main de la chaleur de son sein. Elle est déçue, mais pas surprise. Il résistait, se rendant compte de la supercherie. En dominant, il perdait.
Alors il reculait, droit, fier, crispé par dieu savait quel principe.
En un instant, il s'installait à nouveau à son bureau, et Murphy réprimait un soupir de désespoir. Elle y était presque pourtant, mais pas au bout de ses ressources. Elle cherchait dans la pièce une horloge, n'importe quoi pouvant lui indiquer l'heure, mais surtout...
Seulement dix minutes s'étaient écoulées. L'horloge massive derrière le bureau, aux aiguilles finement ciselées, difficile à déchiffrer. Elle allait devoir redoubler d'effort.
Sans dire un mot, elle revenait au niveau du bureau, faisait semblant de chercher quelque chose dans son sac, assez bien penchée pour que dans l'entrebâillement de sa chemise, Byron profite de la vue sans la moindre retenue.
Puis elle se redresse lentement, avec toute la sensualité dont la nature a pu la pourvoir, c'est à dire assez pour que ce ne soit pas ridicule. Elle ignore son regard cette fois ci, prétentieuse qui pense pouvoir chasser la baleine sans être sûre d'harponner juste.

Oh vous avez du travail... Je comprends, mais, moi aussi vous savez, j'ai du travail, et ce n'est pas très professionnel de partir en plein milieu de son travail, on pourrait me virer vous savez...

Rétorque-t-elle, avec une voix un peu perchée sans trop d'effets non plus. Puis, sans rien dire de plus, avec seulement un sourire taquin sur ses lèvres peintes en rouge, elle ouvre le point et laisse apparaître dans sa main un tout petit bout de tissu, qu'elle fait tomber par dessus le bureau, d'un mouvement de poignet sec et rapide, qui dans sa chute effleure les jambes de Byron, avant de finir sur le sol.

Et puis, je ne peux pas partir tout de suite, ma petite culotte vient de tomber par terre, je ne peux pas prendre l'ascenseur avec votre secrétaire, elle risquerait de tomber des nues, la pauvre...

Sans en demander la permission, et en soutenant à nouveau le regard du grand patron, Murphy fait le tour du bureau, et s'agenouille pour la ramasser, avant de se redresser lentement.

Mais je ne sais pas si je veux vraiment la remettre, tout compte fait...
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