ANNÉE 1983, DAVID, DERRICK ET DUSTIN, PASSIONNÉS PAR LA SCIENCE-FICTION ET LA POP CULTURE, DÉCIDENT D'ENVOYER UN MESSAGE DANS L'ESPACE GRÂCE À UN ORDINATEUR SOPHISTIQUÉ DEPUIS LEUR PETIT GARAGE À COSMOPOLIS, DANS LE CONNECTICUT. PUIS C'EST PARTI EN COUILLE.PLUS DE TRENTE ANS APRÈS, GRÂCE AUX EXPLOITS INFORMATIQUES DES "3D" (POUR "THREE DICKS"), LES ALIENS FOULENT ENFIN LE SOL TERRESTRE ! MAIS À QUEL PRIX ? C'ÉTAIT À L'ÉPOQUE UNE SIMPLE PASSION. NI FEMME, NI EMPLOI, DAVID, DERRICK ET DUSTIN ONT PASSÉ LE PLUS CLAIR DE LEUR TEMPS (ET LEUR VIE) À ÉTUDIER L'ESPACE ET LA POSSIBILITÉ DE LA VIE AILLEURS QUE SUR NOTRE BELLE PLANÈTE. SANS DIPLÔMES OU CERTIFICATS, ILS SE CONTENTENT DE CONCEVOIR DES ORDINATEURS ET AUTRES SOFTWARES CHEZ EUX DANS LE SEUL INTÉRÊT D'ENVOYER UN MESSAGE AU-DELÀ DE LA SURFACE TERRESTRE. ILS L'ONT APPELÉ CODE COSMO EN HOMMAGE À LEUR VILLE CHÉRIE (C'EST FAUX, ILS N'ONT JUSTE AUCUNE IMAGINATION), COSMOPOLIS.
EN COURS D'AFFICHAGE (WADE ET LE CODE SE BATTENT)

Les visiter en attendant : CLICK !
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rambo, be our guide // peter

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Wade Wilson
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Wade Wilson

Mer 29 Aoû - 21:33




AMBIANCE
QUELQUE PART SUR UNE ÎLE PAUMÉE.
heure inconnue

J’ai rêvé de lui pendant une semaine. Une semaine ! Tu te rends compte de ce que c’est ? Sept jours, 168 heures, 10 080 minutes ! Attend, non, je me trompe - je n’ai pas passé ce temps non-stop a rêver de lui, puisque je rêve la nuit… Quoique non, hier, je dormais le jour et j’ai rêvé. Cela change rien à la durée niveau heure ou minute ? Si ? Qu’est-ce que je raconte…

OH IL ME MANQUE. Je veux le voir. Je veux le serrer dans mes bras, respirer son parfum, l’entendre rire… Rien que d’en parler, j’ai l’estomac noué et les larmes aux bords des yeux. Dis quelque chose ! Aide moi ! (Sachant que tu parles de ton livreur de pizza, non, je ne compte pas t’aider.) HAAAAN ! Et s’il est mort ? Hein ? Si son remplaçant est en fait un faire-art de décès déguisé que je n’aurais pas compris ? (On s’en fou ?) Mh.

Je n’ai pas envie de pizza de toute façon - j’aimerais des brocolis. En lisant Santé Magazine ce matin, j’ai appris que le brocolis est un super légume ! Bourré de fibres et de vitamines ! Si j’en mange en grosse quantité peut-être vais-je vaincre mon cancer et redevenir l’homme le plus sexy au monde ? (Non ?) Je tente le coup ! Je file, je serais là dans une heure ! (Tu vas où ?) Chez le Pakistanais ! (T’as pas un truc de prévu avant ?) Sortir Douille ? (Mais encore ?) Acheter un harnais à Tsuki ? (… Mais encore ?)

PETER ! (Bingo.) Oh putain, j’ai failli zapper d’aller le kidnapper ! (Dit comme ça…) C’est notre anniversaire de mariage. (Pardon ?) Si ! Si aujourd’hui on se marrie et que mon moi du futur revient, il tombera sur la date de notre mariage alors que nous serions déjà mariés et donc notre anniversaire est valide. Tu piges ? (Non. Sans compter le fait que JAMAIS Peter accepteras de t’épouser.) Avec la surprise que je lui prépare, il se jettera à mon cou !

Ainsi, l’heure qui suivit, Wade s’affaira à stalker Peter - fait devenu si courant qu’il connaît, ô horreur, son itinéraire journalier quasi par coeur. Il le vit au détour d’un croisement et, sans lui laisser ne serait-ce qu’une seconde pour appeler à l’aide - le fourra dans un sac de toile noir. Sachez que le dit sac est fourré de plumes blanches, de boules de coton rose et de paillettes en forme de coeur. Qui a dit qu’un rapt ne peut être romantique ? Les instants qui suivirent, Wade les occupa à réunir les quelques affaires nécessaires à la suite des évènements - toujours sans causer, histoire de prolonger le suspens. (Comme s’il n'était pas grillé d’avance…)

Click ! Ceinture enclenchée ! Arrivée réussie, sans dommage corporel !

C’est le moment… Je le sors du sac, réajuste mon oeuf papillon - oui j'ai décidé que FUCK LE COSTUME EN SPANDEX ROUGE, je sors le costard et la peau de lézard - et - « TADAAAAAAAAAM, HOTEL 5 ÉTOILES POUR ARAIGNÉE 5 ÉTOILES ! » Soleil écrasant, sable fin, roches, volcan à l’horizon, jungle dense… Exactement comme sur l’annonce Trivago. (…) Quoique, je ne me souviens pas avoir lu la présence de tortues géantes. En tous cas, chapeau bas ! Leur décors est dingue. (Ce n’est pas un décors Wade, tu t’es trompé de coordonnées. Ici, t’es sur une île non cartographiée de l’Océan Pacifique.) Mh. Rien de grave ! « Ne t’affole pas bébé, je vais vite nous rapatrier, prépare-toi à savourer de délicieux petits fours en buvant une coupe de champagne dans une piscine de fraises ! »

Cli- PLOUF !

QUOI PLOUF ? QUI A FAIT PLOUF ? OÙ ÇA PLOUF ? (Ta ceinture. Quand elle a glissé d’entre tes mains. Pour tomber. Dans la vague qui vient de vous immerger les pieds.) Non, non, non, nooooooon ! Je ne l’avais pas vaporisé avec le spray qui la rend étanche ! ELLE EST FOUTUE ! (Abimée mais réparable, nuance.) Comment veux-tu que je répare les branchements SANS branchements de rechange puisque mes branchements de rechanges sont dans mon appartement qui est à Cosmopolis SOIT À DES MILLIERS DE KILOMÈTRES ? (Ahah, la lose.)

« Ok. Petit souci… Très léger. Nous devions atterrir dans une chambre d’hôtel de luxe à Paris - tu as du le deviner, malin comme tu es, hihi - mais Zeus, ou Osiris ou je ne sais quel dieu de quelle religion en a décidé autrement et … Cela reste romantique remarque. Il y’a de jolis palmiers, de jolies fleurs, de jolis oiseaux, de jolis nuages noirs… » (Il va y’avoir de l’orage et vous êtes perdus sur une île inconnue, sans trace visible de civilisation, bien joué Wade.) Haaaan, c’est comme vivre une aventure à la Indiana Jones ! Sans nazis. Quoique…

« Woof ! » Pourquoi ma valise remue ? TSUKI ! OH ! Le coquin, il s’y était planqué ! Par contre faut vraiment que l’auteur trouve un autre terme littéraire pour décrire son glapissement parce que woof, c’est copyright chien ! «  GRRREUH » HAN DOUIIIILLLE ! La famille au complet ! (Comment ce piaf a t-il survécu à une téléportation ? Je le croyais mort - il s’est électrocuté au frigo hier, électrocuté !!) Médisante ! Mon Douille est trop fortiche !

« Prêt pour une nouvelle aventure mon chéri ? » Je dis, tout sourire, sans manquer de tendre les bras pour l’inviter à me faire un câlin. (Au vue de la situation, ton câlin, tu peux te le foutre au cul.)
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Peter Parker
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Mer 29 Aoû - 22:40



rambo,
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musique - Quand tu sors du sac, tu foules le sable fin et face à toi, la magnifique étendue bleue et... Et la sale gueule de Wade que tu as envie de cogner de toutes tes forces. Tu le dévisages tandis qu'il t'explique un peu trop calmement que vous êtes coincés sur une île déserte après t'avoir fait la peur de ta vie, enfermé dans un sac alors que tu te rendais au lycée dans la plus grande des banalités. Tu te sens bouillir de rage à tel point que tu ne clignes même pas des yeux. Tu réfléchis à toute les manières de le noyer et te souviens qu'il est immortel. Alors peut-être qu'avec un gros caillou à la cheville tu pourras le coincer à tout jamais mille lieues sous les mers sans une once de regret.

... Inspire. Expire. Il te tend les bras. Tu lui présentes ton majeur. VA TE FAIRE FOUTRE WADE ?! Que tu hurles, outré. C'est quoi ce délire ?! JE DEVAIS ALLER EN COURS ! ET JE ME RETROUVE SUR UNE ILE DESERTE AUTREMENT DIT LA PIRE SITUATION IMAGINABLE - SURTOUT AVEC UN TYPE QUI NE PEUT PAS CREVER ET QUI N'A AUCUNE CONSCIENCE DU DANGER ???

Tu ne l'as pas revu depuis la dernière fois - et tu regrettes avoir pensé pendant une semaine à le remercier pour t'avoir amené à l'hôpital. C'est trop tard, tu le détestes à nouveau. Tu fronces les sourcils quand tu vois le fennec de la dernière fois. Mais pourquoi tu l'as pas ramené ?! Puis le "pigeon". C'est quoi tout ça ?! Tu t'es cru dans un Disney ?! Parce que si tu veux chanter How Far I'll Go vas-y, ce serait vraiment parfait ! T'as envie de taper du pied mais ça ferait peut-être un peu trop. Ok. Calme. Calme.

Et comment tu comptais payer un hôtel cinq étoiles ? T'as vu chez toi ? Et même, c'est quoi... cette tenue... Tu le jauges de la tête au pied sans oser ajouter quoi que ce soit.

Tu roules des yeux et l'ignores sans honte avant de te laisser tomber sur le sable. Il fait une chaleur à crever et l'humidité est écrasante. Et donc maintenant on fait quoi, champion ? On se fait des jupes en feuilles de bananier et on se construit une cabane pour y vivre paisiblement jusqu'à la fin de nos jours ?

Tu pointes du doigt sa ceinture. Répare-moi ça. Tout. de. suite.


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Wade Wilson
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Wade Wilson

Ven 31 Aoû - 13:21




AMBIANCE
QUELQUE PART SUR UNE ÎLE PAUMÉE.
heure inconnue

Alors, je crois que Peter n’est pas très, très content que ce ne soit pas un hôtel 5 étoiles. Il rêvait des petits fours et de la piscine. Ô CIEUUUUX, CESSEZ DE NOUS MAUDIRE ! Je veux mon jaccuzzi en chocolaaaaat. Mh. Je ne comprends pas ! Il parle beaucoup. Peter. Il parle beaucoup. Quand il parle beaucoup, ce n’est pas un bon signe ? Il faut que je lui chante quelque chose - c’est comme un bébé lorsqu’il pleure, il faut lui coller une berceuse dans les oreilles. (Je ne suis pas certaine que ce soit la solution…)

Ok, faut que je clarifie ma voix. J'ai une ancêtre cantatrice - il va être épaté ! Tousse, tousse, tousse. « Fais dodo, Peter mon p’tit frèèèreuuuh, fais d- » Non, c’est ridicule, la chanson manque de tonus. Remarque, c’est le principe d’une berceuse. Rihanna n'est pas connue pour endormir les mômes. Je fais quoi alors ? (Tu répares ta ceinture ?) MAIS JE NE PEUX PAS JE N’AI PAS DE BRANCHEMENTS DE RECHANGE !

Douille vient de se faire pote avec un crabe - mate, ils se serrent dans les bras ! C’est tellement beau ! C’EST UN BON SIGNE ÇA ! Le destin nous protège ! (Le crabe essaye de l’bouffer…) Non, non, c’est l’amitié naissante.

Il ne me reste qu’une solution : m’allonger dans le sable à ses côtés et espérer qu’une étoile filante passe pour que je puisse chanter « l’amour brille sous les étoiles » - han mais non, il faut qu’on attende la nuit ! Là, y’en aura un paquet d’étoiles ! Il est où Tsuki au fait ? (Il rogne un bout d’os de sèche.) Oh, niquel, c’est bon pour les dents ça.

« Bon mon chaton… Je reconnais que ça paraît mal barré comme situation mais t’inquiètes, avec nos sens surdéveloppés, on va faire de cette île une maison de banlieue. Oui parce que, en fait, j’peux pas réparer ma ceinture tu vois, elle est trempée… Je n’ai pas de branchements de rechange. MAIS ! Voyons le bon côté de ce non-drame : c’est une jolie petite île, des bateaux doivent passer pour la photographier et sur une des photos, ils nous verront et viendront nous récupérer ! Pas nous sauver, puisque nous ne sommes pas en danger. Sauf si le volcan entre en éruption mais, avec notre karma de bouddha, c’est peu probable que cela arrive. »

Je commence à avoir faim et cette chemise de smoking me sert l’estomac - si je l’enlève, je redeviens Wade Wilson mais si je la garde, je reste James Bond. C'EST COMME AVOIR UNE DOUBLE IDENTITÉ DE SUPER-HÉROS ! (.........) Où est ma voiture de luxe hyper robotisée ? Où est mon majordome ? Où est la nana mannequin que je dois me taper ? (Tu n’es pas James Bond.) Que faire dans ce cas ? Manger. Un estomac plein peut tout affronter.

Ou je fais l'amour à Peter.
(Non.)
Oui, plus tard, laissons-le s'habituer à l'environnement. Ensuite nous introduirons la femelle. Moi. Non, je suis le mâle en fait ?
(Ce n'est pas un animal...)
Il a été trop longtemps retenu en captivité.
(Tu me fatigues.)

« Je suis ok pour les jupes en bananes mais… Je préfèrerais d’abord manger les bananes. » Han, si je mange les bananes de sa jupe, il se retrouverait nu en dessous. « Je commencerais par tes bananes. » Non en fait, c’est pas assez nutritif une banane. Par compte le spe- (WADE, N’Y PENSE MÊME PAS.) QUOI ? C’EST BOURRÉ D’OMEGA 3 ! Il me suffit de détendre Peter et de le br- (WADE, FERME TA GUEULE !) Ok, ok.

Fichue censure.

Je me redresse, regarde vers l’intérieur de l’île - une ribambelle de cocotiers puis la jungle, dense et humide. Je ne risque pas de tomber sur un distributeur ou un restaurant mexicain - c’est tout de même incroyable ça ! Le monde devrait équiper ses îles désertes de distributeurs !

« Il faut qu’on se construise une cabane et qu’on aille chasser. Je construis, tu vas chasser. Tu es l’homme agile, je suis l’homme fort. » (C’est presque censé ce que tu dis…) Totalement oui ! « Ah et j’ai pas pu me séparer de Tsuki, pour en revenir à … Bah à Tsuki. Il me fait penser à toi, et j’aime penser à toi. Tu sais, je pense tout le temps à toi. La nuit surtout, seul, dans mon lit… Mh… Ou le matin, quand j’écrase une araignée avec mon magazine Mickey. Le prends pas mal, c’est que ces vilaines me bouffent mon élevage de moustiques ! » RIP à Walter, mon bien-aimé moustique tigre que j’avais ramené de Somalie… (Il était porteur d'un virus mortel, merci à l’araignée que t’as tué oui !)

« Je pense aussi à toi l’après-midi, quand le soleil se couche… Non, ça c’est le soir. L’après-midi je disais. Pas hier après-midi cependant. Hier après-midi, je regardais les photos de mariage de Vincent Cassel et Tina Kunakey. Sa robe t’irait bien… » Clin d’oeil. Clin d’oeil bis. Clin d’oeil bis, bis. (Il a compris, tu peux t’arrêter.)

Meanwhile...

Douille... Qui mange le crabe.
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Sam 1 Sep - 11:49



rambo,
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musique - En toute honnêteté, cette situation est digne de la pire comédie cinématographique jamais réalisée. Il n'y même pas de crash d'avion désolant ou l'histoire d'un bateau qui s'échoue, forçant deux hommes à faire face à leur véritable nature pour survivre au beau milieu de l'océan. Non, toi tu te retrouves en jean et t-shirt, parfaitement propre, avec un pingouin cramé des orteils jusqu'au ciboulot !
Il te sort mille et une raison de ne pas t'inquiéter mais tout ce qui sort de la bouche de Wade t'inquiète. Je commencerais par tes bananes. Que- ?! Ça aussi.

Il commence alors à suggérer des idées un peu plus utiles : construire une cabane, trouver à manger. Tu soupires. D'ailleurs, tu préfères oublier toute la suite de son discours, ça commence vraiment à te mettre mal à l'aise. Au boulot, alors, j'imagine... Las, désespéré. Les mots sont faibles.

Tu retrousses le bas de ton jean et te libères de ton t-shirt pour le poser sur une branche. Tu n'as jamais fait les scouts ou quoi que ce soit de la trempe. T'as jamais appris à pécher, ou à chasser. Voilà qui s'annonce bien. Tu t'approches du bord de l'eau. C'est magnifique. Malgré toi, tu ne peux t'empêcher d'admirer le paysage - tu n'as jamais eu l'occasion de voyager en dehors des Etats-Unis, alors forcément...

Mais pas question de donner ce plaisir à Wade. Tu reprends ton expression frustrée et désemparée pour attaquer les poissons qui passent entre tes jambes d'un coup de toile ! Comme un filet, tu te surprends à en toucher quelques uns mais sans parvenir à les capturer pour autant. Mince ! Tu pestes.

Une heure et demie plus tard, tu abandonnes.
À peu près sûr d'avoir épuisé toutes tes ressources de toile (c'est possible ça ?) et d'avoir attrapé le coup de soleil du siècle, tu retournes à l'ombre des cocotiers à la recherche de Wade.
Introuvable.

Tu commences à paniquer - non pas pour sa vie mais pour la tienne (tu as compris, à force). Wade... ? Wade !! La jungle se dresse devant toi, grondante et dangereuse. Tu déglutis. Même Tsuki et le pigeon ont disparu.

Tu le cherches du regard, au delà des arbres et des fougères. Mais rien à part des oiseaux et quelques insectes volants. Tout semble silencieux soudainement et l'escapade prend une autre tournure : un peu plus angoissante.

Wade ! Que tu cries à nouveau.
Pas le choix, il va falloir y aller.

Tu croises les doigts pour ne pas tomber sur quoi que ce soit de mortel.
Prudemment, tu rentres. La lumière du soleil prend des reflets émeraudes et les couleurs des fleurs aux alentours n'en sont que ravivés.

Plus les minutes passent, plus tu t'enfonces jusqu'au coeur de l'île. Sans une trace de Deadpool.

Ok très bien... Wade ! Je suis désolé de m'être énervé ! J'apprécie fortement tes efforts pour essayer de me faire plaisir ! Alors merci Wade ! C'est pas croyable de disparaître comme ça hein. Une dernière technique Je me promène nu dans la jungle, dommage que tu sois pas là pour le voir !

Tu regrettes aussitôt d'avoir dit ça. Puisque tout ce qui te répond, c'est ton propre écho. Tu fais la moue et décides de rebrousser chemin jusqu'à la plage. Et schkrack.

Shkrack ?

Tout à coup, tu te fais emporter en l'air par ta cheville - le piège le plus cliché ! Wooo... OOOOOH ! La liane s'entoure fermement. Tu paniques, tu as la tête en bas, et c'est extrêmement haut. Ok ok. Tu parviens à te redresser pour éviter que le sang ne te remonte au cerveau. Dans un râle, tu essayes de te balancer - en vain, t'es juste en train de bousiller ta cheville. Et tu n'as rien pour couper cette foutue liane. D'où ça sort ça, en plus ?
Tout transpirant, tu tentes de tisser une toile - tu rates l'arbre. Vise mieux bon sang !


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Wade Wilson
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Wade Wilson

Sam 1 Sep - 14:35




AMBIANCE
QUELQUE PART SUR UNE ÎLE PAUMÉE.
heure inconnue

Il est temps pour moi de partir bâtir notre résidence de luxe - j’ai repéré quelques troncs d’arbres au sol, plus loin vers la crique rocheuse. (Peter te parle.) Courir sur le sable, crois-le ou non, c’est hyper agréable ! Il est chaud, juste la température qu’il faut pour ne pas agresser la corne sensible de mes pieds. (Pourquoi t’as retiré tes chaussures ? Et t’as zappé Peter ! IL TE PARLAIT !) LÀ ! REGARDE ! (QUOI ?) Mes troncs d’arbre sont magnifiques.

Je m’en saisis et CRRAAAACK - ma chemise part en lambeaux. En centaine de lambeaux. Putain d’écorce. Putain de petites branches sournoises de soumsoum miskine. PUTAIN. Putain (Arrête de jurer !) PUTAIN quand je pense que je l’ai payé presque 300 dollars ce costard. (…) Ok, autant ne porter que le pantalon.

Une heure plus tard…

Tadaaaaaam ! Cette hutte est parfaite. Il ne manque plus que les grosses feuilles de palmiers pour couvrir le toit et les pierres pour entourer la place à feu. Stylé, non ? (Tu m’épates, je suis sincère. Je ne pensais pas que tu serais capable de bâtir quelque chose de convenable.) Quand tu passes quinze ans de ta vie dans les forces spéciales américaines, tu dois être capable de t’en sortir dans n’importe quelle situation.

Je me souviens… Ce devait être ma première mission en équipe, je crois ? Nous étions partis en Afghanistan pour intercepter un convoi d’armes censé alimenter un groupe de terroristes. Nous devions ensuite les éliminer. Ils avaient prit le contrôle d’un petit village, massacrant femmes et enfants… De pures pourritures. Nous étions pressés d’arriver pour les envoyer saluer Tonton Satan, tu t’en doutes.

Le pilote, distrait par notre agitation, a perdu le contrôle des commandes. Notre avion s’est craché dans le désert - nous avons dû survire en buvant notre urine et l’eau des rares cactus que nous avions autour de nous. Les journées étaient si chaudes qu’il était presque impossible de respirer - il n’y avait pas d’ombre ! Rien ! La nuit, l’air devenait glaciale. Bref, l’Enfer.

N’empêche qu’on a survécu - deux sont morts, certes, mais on a survécu. Mh… Pourquoi je deviens nostalgique tout d’un coup ? Wow, Wade, focus, c’est ta lune de miel !

C’est à ce moment précis que je remarque l’absence de Peter.
Il est où cet insouciant ? Il est au courant que c’est la jungle sauvage ici ! (Non, TU CROIS ? C’EST DE TA FAUTE SI VOUS ÊTES DANS CETTE JUNGLE SAUVAGE J’TE RAPPELLE.) Oui, oui, ça va, n’en rajoute pas.

Je m’inquiète - il n’est nulle part. Pas sur la plage - ce qui signifie que ce soir, on aura pas de poissons, mais ça, on s’en fou. Il n’est pas non plus aux abords des palmiers, près de la crique… Ne me dis pas qu’il s’est payé un roadtrip dans les terres ? Oh le con.

JE PANIQUE LÀ. JE FAIS QUOI ? « Wooof ! » Han, Tsuki ! Il a terminé de rogner son os de sèche ? (Depuis le temps, oui, je suppose…….) C’est peut-être ma chance, ma seule chance. Ok. « Tsuki, cherche, cherche Peter ! » - J’ai pas même un bout de ses vêtements à lui faire sentir… Que notre bonne étoile s’active pitié, que ce petit père comprenne ce qu’il doit faire !

IL S’ÉLANCE ! « C’est bien mon kiki, vas-y, cherche Peter ! » Il y fait presque sombre dans ces lieux, tant les arbres sont proches et feuillus. J’ai le coeur qui bat à tout rompre - c’est normal ? Tu crois que je fais une réaction allergique à quelque chose ? (Non, je pense juste que t’es vraiment foutrement inquiet.) Oui.

OUI, TOTALEMENT. MON DIEU ET S’IL ÉTAIT TOMBÉ DANS UN TROU ? OU S’IL ÉTAIT POURSUIVIT PAR UNE BÊTE BIZARRE ET PLEINE DE DENTS ? OU S’IL S’ÉTAIT BLESSÉ, S’IL SE VIDAIT DE SON SANG ?

Waaaaaade, bro, respire, respire.
Tsuki est sur le coup.
Ok.

Il tourne à droite, à gauche, va tout droit. Il passe sous des racines, saute au dessus d’un cours d’eau.

Au bout de 30 minutes, enfin, il s’arrête. Je regarde tout autour de nous et je le vois. Suspendu à l’envers. Miracle. « PETER PUTAIN DE BORDEL DE MERDE ! »

Je défais la liane dans laquelle il est emmêlé - le réceptionne dans mes bras et… Le pose brusquement à terre. Rouge. Je vois rouge. Et je parle pas des fruits qui pendent au-dessus de nos têtes. (Ce sont des grenades, c’est comesti-) « Pourquoi tu n’es pas resté sur la plage ? Pourquoi tu ne m’as pas attendu ? Tu es totalement idiot ou quoi ? Tu te rends compte de la frayeur que tu m’as fichu ! T’es qu’un môme ! UN PUTAIN DE MÔME SANS CERVELLE ! Imagine, imagine si tu avais glissé, si tu t’étais tordu une cheville ou je sais pas, si tu étais tombé dans une crevasse ? Franchement… Il est en vacance ton instinct de survie ? »  

Et je continue, je continue à râler, à le secouer, à râler encore et je ne remarque même pas les larmes qui perlent autour de mes yeux. C’est gênant. Un moustique a du me piquer les paupières. (Oui, bien sûr, c’est certainement cela.)

Meanwhile

Douille… Niquant avec une mouette.
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Sam 1 Sep - 16:28



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w/ wade wilson



musique - Tu t'attends à toutes les remarques du monde quand il arrive au loin pour te détacher et te récupérer. Des blagues vaseuses, des oh je viens te sauver mon amour attends-moi à ne plus en finir. Et pourtant.
Tout ce dont tu as le droit, c'est de te faire taper sur les doigts. Tandis qu'il te secoue dans tous les sens en te faisant la morale, tu fronces les sourcils et te pince les lèvres - tu ne sais pas où tu mettre maintenant, c'est malin. Et puis, finalement, fatigué par toute cette situation, tu finis par lâcher :

Mais ! Comment j'étais supposé savoir que je devais rester sur la plage ?! Je pensais que t'étais perdu comme d'hab et que t'avais besoin d'moi !

Force est de constater que c'est plutôt toi qui ai besoin de son aide. Jusqu'à maintenant, c'est toujours lui qui t'a sauvé la mise (à défaut de t'avoir mis dans de sacrés pétrins plus d'une fois). Entre les fusillades, la balle, l'hôpital et les petites attentions, tu es sans doute le plus ingrat de vous deux. À cette pensée, ton coeur se serre. Un peu plus quand tu remarques qu'il a les yeux rouges. Oh non Wade. Come on. Ça y est, tu te sens mal.

Non pas sans hésitation, tu pars le serrer dans tes bras d'une accolade... virile (non). Il est encore en costard, franchement, c'est n'importe quoi tout ça... Ah non, tout est déchiré. Bon, il a toujours le pantalon, c'est une bonne chose.

Je suis désolé.

Parviens-tu à dire, timidement. O-On est tous les deux sur les nerfs je crois alors le mieux... c'est de se calmer, hein ? Arrête de pleurer... T'aurais jamais cru avoir à dire ça à Deadpool. Ni à devoir tapoter son crâne chauve et boursoufflé en espérant le calmer un tantinet. Tu finis par briser l'accolade pour te reprendre. Tu t'éclaircis la gorge.

Bon, et la cabane, c'est bon ? Moi j'ai pas réussi à pécher, je crains vraiment mais... Tu lances une toile vers le haut et finit avec deux noix de coco dans les bras. On peut toujours manger ça, non ?

Tu soupires. Juste... Viens avec moi.

Tu formes comme un panier avec les restes de ta toile pour transporter les noix de coco et tires Wade par le bras pour le ramener jusqu'au niveau de la plage. Tu les déposes dans un coin avant de prendre un grand baton et de commencer à écrire un gigantesque "HELP" au sol.

Bon. Tu sais faire du feu ou pas ? Moi, pas du tout. Mais ça peut toujours attirer quelqu'un qui passerait par là.


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Jeu 6 Sep - 19:14




AMBIANCE
QUELQUE PART SUR UNE ÎLE PAUMÉE.
heure inconnue

Son étreinte me fait du bien. Sa chaleur me fait du bien. Ses mots me font du bien. Qui l’eu cru ? Moi, Wade Wilson, aux bords des larmes et de la crise de nerfs car inquiet pour un adolescent, super-héros à ses heures perdues ? La belle affaire.

Tu te fais trop tendre avec l'âge, pooly. Beaucoup trop tendre.
À moins que ce ne soit son influence ?

J’en connais une qui doit se marrer de là où elle est. Pas vrai ? Tu te marres, Vanessa, hein ? Tu te marres parce que je m’étais juré de plus jamais me soucier de quelqu’un, et que, suuuurprise, ça me tombe dessus ? T’as envie de gueuler « Je le savais ! » ? Tu te marres tellement que t'en as la bouche cousue ? Ouais c’est ça, reste silencieuse.

T’es toujours silencieuse de toute manière. Toujours.

Je me l’étais juré putain. « Wade, s’attacher sérieusement à quelqu’un, c’est accepter que ce quelqu’un devienne indispensable à ta vie. Conséquence ? S’il arrive quelque chose à ce quelqu’un, si il meurt, si il te trahit : toi, tu souffres. Tu souffres à en crever. Tu n’aimes pas souffrir de cette manière là. T’en as déjà assez chier. Ouais. Alors, les attaches sentimentales, c’est terminé. Ouais. »

Je n’ai plus envie de rire.

À chacune de ses questions, j’acquiesce - peu soucieux de savoir s’il attendait une réponse positive ou négative. Qu’importe. Je n'ai qu’un souhait, me poser et boire un litre de rhum. Deux litres même. Ou trois. Ou six. En fait, j’ai la folle et vorace obsession, là, toute de suite, d’être ivre mort. (Tu devrais éviter, tu n’as pas l’air au meilleur de ton humeur…) Je t’emmerde, t’es qu’une voix dans ma tête, j’ai pas à t’écouter.

Ivre mort, je ne suis plus qu'un flasque tas de chairs. Pas de réflexions, pas de tourments, pas de gueule d'enterrement. Ça me plaît.

« Je sais faire du feu, je m’en occuperais. La cabane est juste là, aux abords des palmiers. À vingt mètres. Rejoins moi quand t’auras finis ton gribouillage, et pas de détour par la jungle, merci. » À ces mots, je m’éclipse non sans le défaire de sa cargaison de noix de coco.

Même si le coeur n’y est pas, je souris. Ce ne sont pas ces quelque kilos de noix de coco qui vont nous sustenter. Je ne vais pas me plaindre pour autant - c’est de ma faute si nous sommes là après tout. C’est de ma faute si le danger rôde à chacun des pas que ce garçon fait.

Si seulement je pouvais être lucide tout le temps… Si seulement je pouvais être normal ou avoir la fibre héroïque, comme ces types avec qui il bosse. Ils sont aimés de tous, adulés, bourrés de frics et mènent la petite vie parfaite.

Je les hais. (Tu es jaloux.) Oui. Je les hais.

Je ramasse des pierres, de ci, de là, puis des bouts de bois et des feuilles sèches. En un quart d’heure, le feu est prêt. Brillant et chaud, il offre aux cieux, déjà teintés de rose de par la nuit proche, des lucioles éparses et éphémères. Ni trop loin de la cabane, ni trop près - nous n’aurons pas froid.

Je m’installe tout à côté, pousse un long soupire et prends conscience d’à quel point ma folie n’a rien d’amusant, dans certains cas de figure. Non. Dans tous les cas de figure. (Cesse de déprimer, par pitié. Tu ne vous aideras pas de la sorte !) Comment pourrais-je nous aider ? En l’encourageant à écrire mille appels aux secours sur toutes les plages ? En construisant un radeau ? Sérieusement, c’est une putain d’île déserte.

Lorsqu’il revient, je tente d’abord de paraître comme à l’accoutumé - grossier et à côté de la plaque. Raté. J'échoue même à raconter une blague salace. Qu’est-ce qu’il m’arrive putain ? (La fatigue ? Une prise de conscience ? Le souvenir de Vanessa ?) M’ouais. Un tout, je suppose.

Je préfèrerais avoir la tourista que ce genre d’état d’âme. J'ai l'impression de faire u mauvais remake de Logan. C’est de la merde.

Bon. Autant déballer ce qui me pèse sur le palpitant et le cervelet. À quoi bon jouer les « je vis dans le déni, j’assume rien de ce que je ressens, bouhouhou, je suis un personnage no-homo intérieurement mais c’est pas vrai, j’ai des tendances masochistes, je suis seul au monde et je pleure sur mon oreiller rose » - ce serait encore plus barbant qu’un épisode de Winnie l’Ourson.

« Tu comptes pour moi, tu sais. » Voilà. C’est dit. Sans effet de voix. Sans geste incongru. Allez, la suite. Courage. Cherche pas une excuse dans le vide, regarde-le. Regarde-le droit dans les yeux. « Je n’arrive pas vraiment à me l’expliquer, pour être honnête. Je veux dire, t’es un héros, je suis un mercenaire. T’es jeune, j’suis vieux. T’es brillant, intelligent et généreux, je suis sociopathe, stupide et dangereux. T’es aux antipodes de mon monde. » - et ça m’fait un peu rire, juste un peu, de l’imaginer en tenue de mercenaire.

Ça ne lui irait tellement pas.

Il vaut tellement mieux que ça.
Il vaut tellement mieux que moi.

« Je suis désolé pour tout ça et quand je dis tout ça, j’dis bien tout. Depuis le début. Toutes les conneries, toutes les emmerdes… Quand on fichera le camp d’ici, j’arrêterais. Je te le jure. Je te ficherais la paix. » Et je signe d’une croix mon torse, appelant les Enfers si jamais je brise ce voeu.

« T’es un chouette être humain, Peter Parker. » - et j’ai terriblement et très sérieusement envie de t’embrasser. Ça non plus, je ne me l’explique pas.

*
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Peter Parker
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Dim 9 Sep - 21:53



rambo,
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Tu traînes des pieds jusqu'à la plage. Quelle mouche l'a piqué franchement ? Tu fais la moue, tu sais pas trop comment réagir à ça, tu pensais que Wade c'était le mec qui s'énervait jamais vraiment (ou jamais assez sérieusement pour que ça puisse te mettre dans des états pareils). Et puis, c'est sa faute si vous en êtes là, c'est pas parce que t'as fait un faux pas dans la jungle que ça y est, tu dois être à incriminer.

T'attrapes une grande branche et commence à tracer, lettre après lettre, HELP sur le sable. Ça te prend bien quinze minutes vu la taille du machin mais tu veux t'assurer que ça sera bien visible depuis le ciel. Une chance que vous soyez des super héros et pas des personnes lambdas, vous ne pourriez pas survivre autrement.

Tu peux alors sentir l'odeur du feu de là où tu es, et, un peu plus loin, la fumée et la lumière. Tu presses le pas jusqu'à Wilson avant de t'asseoir à ses côtés. J'ai faim... Penses-tu en soupirant.

Je tiens à toi et toute la suite de ton discours te le font fixer avec de grands yeux globuleux. Tu ne sais plus où te mettre, c'est malin. Tu aimerais penser que c'est une grosse plaisanterie mais son ton sérieux prouve le contraire et tu as rarement entendu autant de compliments à ton égard, si ce n'est que de la part de tante May. Tu sais que tes proches t'aiment, tu n'as pas spécialement besoin de mots pour le savoir mais c'est vrai que c'est différent, lorsque c'est dit.

Quand il a fini, tu te pinces les lèvres et fixes les flammes. L'idée même qu'il ne puisse plus jamais recroiser ta route te fait un petit pincement au coeur. Tu lui hurles dessus souvent et l'accuses de tous les tords mais jusqu'à maintenant, c'est sans doute la personne avec laquelle tu t'amuses le plus en dehors de Lie et de quelques uns de tes collègues d'Eurêka.

Mais, Wade... Pourquoi tu dis ça ? Tu finis par le jauger du regard. Ça me fait plaisir qu'on passe du temps ensemble, on se marre, et je t'aime bien. Tu hausses les épaules, ajoutant au passage : Je veux dire, tu es mon ami. Il n'y a pas de raison qu'on arrête comme ça. Après, tu fais des erreurs mais... Comme tout le monde. Finalement, après tout ce temps, tu as un petit sourire aux coins des lèvres. On va finir par trouver un moyen de rentrer. Au moins tu me fais voyager, j'étais jamais sorti des Etats-Unis jusqu'à maintenant. Appuyant tes dires, tes yeux balayent le paysage - magnifique. C'est super beau ici, c'est comme les vacances.

Sur ces mots, tu lances une toile jusqu'à ton sac à dos que tu avais laissé dans un coin et le ramènes jusqu'à toi. De là, tu sors ton téléphone portable - forcément, il n'y a pas de réseau. Tu le savais déjà de toute manière, c'était juste pour mettre un peu de musique d'ambiance.

Allez, arrête de faire la tête, j'aime pas ça ! Autant profiter de... cet imprévu pour s'amuser.

musique - Le son se lance et tu le mets à fond en commençant à te trémousser. Allez.... Alleeeeeez... ! Tu lui donnes des coups d'épaules avec un sourire idiot et les sourcils haussés. Bon, tant pis, tu vas devoir le faire rire par ta propre bêtise.

Tu te lèves d'un bond et commence à danser autour du feu en playback, avec des mouvements dramatiques (malgré toi tu connais le clip de Shania Twain par coeur). Au loin, le soleil se couche sur l'île. Ton ombre commence à t'accompagner dans tes âneries.

There's no need to be alone when YOUUUU FIIIIND THAAAAT SOOOOOOMEOOOOONE... Tu le pointes du doigt en remuant tes hanches d'avant en arrière, de gauche à droite (bon en gros ça ressemble à du air hoolahoop)... Tu commences à chanter à tue-tête, volontairement le plus mal possible.

Puis là aussi, c'était marrant jusqu'à ce que...
T'entendes un truc se décrocher de l'arbre à côté de toi et PAF une noix de coco sur le coin de la figure. Tu t'écroules, la tête la première dans le sable. Tu te tiens le crâne de douleur mais t'as un fou rire dans ta douleur (une légende raconte que les gens peuvent mourir d'une chute de noix de coco). AAAAAH c'est dégueu j'ai mangé du sable !! Tu te redresses avec une belle bosse rouge sur le front avant de cracher le dit sable à côté de toi. Une fois, deux fois. Putain, ça croque sous la dent c'est vraiment pas agréable.


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*
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Wade Wilson
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Wade Wilson

Dim 9 Sep - 22:57


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Cher 4e mur et chère auteure qui actuellement écrit en mon nom et donc s’auto-clash puisque ce que je dis sort de sa tête - mais ce n’est pas grave, mettons cela sur le compte de sa schizophrénie - je disais donc…

Attend, deux secondes, je met une musique d’ambiance histoire que tu me lises très sérieusement.
Là. Je cherche…
Youtube charge pas, change ta connexion connasse !
Pardon. AAAAAH !
Ok, trouvé.



Avoue ça pue la classe. T’AS PEUR HEIN ?
Je reprends à je disais donc…

Cher 4e mur et chère auteure,
Je te prie de bien vouloir cesser de m’influencer, moi, l’unique, le superbe, le grand, le génial, le magique Wade Wilson avec tes pulsions gays romantico-dépressives d’ex émo, actuellement frustrée sexuellement. En d’autres termes : je ne suis pas Harry Marlow. JE SUIS DEADPOOL. Alors tu m’sors de ma léthargie de tapette et tu me ponds une action délirante ou je viendrais hanter tes rêves érotiques avec Cillian Murphy en collant mon cul de lépreux sur sa face d’éphèbe irlandais.

Merci.
Amour, licornes et paix,
WW.

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Ok c’est bizarre je ne sais absolument pas à quel fil conducteur me rattacher pour me connecter à la réalité là. Il s’est passé quoi ? J’ai été affligé par des envies qui ne sont pas les miennes, ça, ok, c’est réglé - quoi d’autre ? Ah ouais, j’ai apparement eu le super gros et intense désir d’embrasser l’araignée humanoïde, mais ça, bah, je l’ai dès que je vois une bouche - sauf peut-être celle de Courtney Love, j’aurais trop peur de me prendre une giclée de botox.

Je parle de nouveau pour ne rien dire putain, c’est un truc de dingue. (Ouais, on t’refait pas.) AH T’ES LÀ TOI ? JE PEUX SAVOIR OÙ TU ÉTAIS ? (Je ne sais pas. Dans un trou noir, mais pas celui d’un être vivant.) Mh. Scientifiquement parlant, c’est intéressant. Hors, je ne suis pas scientifiquement parlant intéressé pour parler science et Tom Cruise. Non. (C’est la Scientologie ça, c’est différent.) Oui. Qu’il se fasse sucer par un prêtre des sciences ou un prêtre de Jésus, j’vois pas la différence !

BON.
Oui, focus Wade, focus.

Ouvre les yeux, inspire une grande bouffée et… AH ! ILLUMINATION ! Je suis sur la plage, il y’a du feu, le bruit de l’océan et les braillements des mouettes… Pas mal, pas mal. J’ai un pantalon de costume en lambeaux, pas de chemise - oh, dis-donc, j’suis sexy quand même. Ok, ok. Je vois un fennec en train de niquer une tortue de mer, ok - attend, c’est Tsuki ? Oh mon kiki… Ok, bon, la suite ? DOUILLE ! OÙ EST DOUILLE ? (Il vient de se faire enlever par un singe.) Ah. Tranquille, il s’en sortira. Ok, ok, je continue. AH ! Il y’a un volcan derrière moi, une ribambelle de palmiers, bref la jungle. Oooook…

OH, AH, EH ! Y’a Peter Parker qui danse.
Qui chante.
Qui se mange une noix de coco.
Qui se mange du sable.

« AHAHAHAHAHA PUTAIN JE MEURS ! » Ouais je meurs, j’ai trop mal aux côtes là, que quelqu’un m’envoie une ambulance, pitié ! Je vais me faire pipi dessus ! (Je crois que c’est déjà fait.) CHUT. Dis rien, on croira que c’est l’humidité environnante. (Tu me tues.)

Allez DJ, balance la musique, c'est l'heure !



« Mon lapin, t’es le roi des maladroits. » Je me lève à mon tour, le tire par un bras en direction des vagues - à quelques mètres à peine de notre petit campement. « Y’a qu’une solution, malheureusement, à l’ingestion accidentelle de sable possiblement toxique car on sait pas quelle bestiole pisse dedans… » Je le saisis par les épaules, foutrement inquiet (Pas du tout) - ta gueule, c’est pour l’effet théâtral - et…. Et… « LA TREMPETTE ! »

SPLAAAASH !

Un Peter à l’eau, un ! Hahahahaha, je m’aime. Qu’est-ce que je suis drôle ! R’garde, il boit la tasse ! (C’est pas un peu dangereux non ?) Mh. T’as raison, il est peut-être allergique au sel marin. Hop ! En un tour de bras, je l’extirpe à sa noyade (N’exagère pas…) - et le pose au coin du feu. « Merci. Grâce à toi, je suis à nouveau moi, pour le meilleur et pour le meilleur. » Je déclare, avec une sincérité à couper le souffle. Une sincérité époustouflante; Une sincérité essoufflée de souffle ! (Ferme-là.)

J’viens de me souvenir d’un truc…

Un truc un peu important mine de rien… Genre… La raison qui nous a poussé à venir ici. (La raison qui T’A poussé, PAS VOUS. TU es le fautif, TU vous a perdus sur une île inconnue au milieu de nulle part.) Allons, t’en fais des tonnes là ! Ce n’est pas si grave.

NOUS MARIER.
Ouais mais sans costume complet c’est mort.
Tant pis, on va se la jouer séjour touristique.

Petey n’est pas mécontent de toute façon. Il l’a dit lui-même, ce sont ses première vacances, sa première fois hors des États-Unis, sa première noix de coco sur le crâne, son premier campement sauvage, sa première aventure non écrite dans les Comics… EH MAIS ! (QUOI ?) Je viens de citer uniquement des premières fois là…

Genre… Il est en train de toutes les vivre avec moi, toutes ces premières fois… Y’Aaaallaaaah ! JE SUIS UNE PUTAIN DE PREMIÈRE FOIS À TOUT ! JE SUIS… LE HÉROS DES PREMIÈRES FOIS. (Wow, molo sur l’excitation neuronal, j’te suis plus moi !) Il n’y rien à suivre, il y’a tout à vivre.

#poète

« Peter. Je suis d’accord pour également être ta première relation sexuelle non homosexuelle puisque techniquement parlant, je suis hermaphrodite. » (Hein ? Tu n’es pas hermaphrodite Wade, tu es un homme !) Chhhhh - ça va le rassurer. C’est une technique ! Il n’est pas encore sorti de son placard en tant qu’homosexuel alors l’homosexualité doit lui faire peur DONC je prends le parti d’être à la fois un homme et une femme. Je suis malin ! (Tu es crétin.) Jalouse ! (Tantouze !)

STOP.
C’EST MON HISTOIRE.
À MOI.
JE LA VIS COMME JE VEUX.
TAIS-TOI !

« Oh et t’inquiètes, je compte pas te lâcher les baskets. Je vais te coller jusqu’à ce que t’aies 90 piges et que t’aies besoin de moi pour aller aux chiottes. Tout ce que j’ai pu dire ou faire de tristounet, c’est pas moi, c’est un adolescent bisexuel qui a des problèmes existentiels et n’ose pas céder à ses pulsions bestiales et enfin coucher avec son crush, à savoir le mec qui lui sert de père de substitution mais qui est aussi son futur amant. Ouais, j’sais, c’est compliqué la vie. »

OH DOUIIIIILLE ! Il vole vers nous ! Non, je veux dire, il se traine, il survit en glissant, il dégueule des feuilles mortes, il… Mon doudouuuuu, il est trop mignon ! (Il n’est pas censé être devenu le nouvel oreiller d’une tribu de singes ?) Mauvaise langue ! Mon Douille est un combattant né !

« Notre enfant est vivant, je suis ému ! » J’ai prévenu Peter que sur le carnet de santé de Douille, il y’a son nom, son adresse et son numéro de téléphone à la place des mes informations ? (Non.) Pas grave. T’façon Douille va jamais chez le véto, alors le véto n’embêtera jamais Peter. (Douille va chez le vétérinaire une fois par jour.) Ce sera l’occasion de resserrer les liens filiales !

(…)

« Tâchons de profiter tant qu'on le peut de ce tête à tête mon amour d’araignée hermatophile... Je trouverais le moyen de réparer ma ceinture. Qui sait, peut-être qu’il y’a l'épave d’un bateau ou j’sais pas trop quoi qui aurait un peu de fer et de câbles à me fournir ? »

Je le prends dans mes bras, façon étaux super serré - il pue l’algue, ce n’est pas grave, ça lui donne un côté viril (Non, pas du tout, je le plains, il va se transformer en poisson.) - dis pas de connerie ! Mh, n’empêche, j’adore la sensation que son petit corps tout frêle et mouillé m’offre. Je veux dire, j’adore le sentir contre moi.

Qu’il ose bouger et je le tape. (Ta gentillesse t’honore…) C’est pour son bien ! Il est trempé ! S’il ne reçoit pas de chaleur, il va crever de froid ! (À QUI LA FAUTE ?) EUH, ALLÔ, L’OCÉAN ? (…) Ce n’est pas négociable, il restera coincé entre mes bras, point final.

J’ai faim.

Je viens de capter, là, maintenant, tout de suite.
J’AI SUPER FAIM.

Il va faire nuit : pas de pêche envisageable, pas de chasse sans arme…
Sérieusement ? Nous sommes condamnés à bouffer les boules poilues d’un palmier ? Putain.
PUTAIN. (Bouffez Douille.) HAAAAAAN, TU ES HORRRRRIBLE ! (T’as raison, vous seriez aussitôt intoxiqués.) Salope !

« Peter… Si jamais le pire des cas arrive dans notre cas - je parle du cas présent, pas d’un cas d’un autre cas… Sache que tu pourras me couper un bras et le manger. Non, ne sois pas gêné, ni triste. Il m’en repoussera un autre. »

Au même moment…
Les singes sortent de la jungle.
Prêt à reconquérir Douille.

Ps : ça se mange un singe.


*
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Peter Parker
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Peter Parker

Lun 10 Sep - 0:33



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musique - Attention, ça va aller très vite.

Il t'a jeté à l'eau et t'a ramené sur le sable par la cheville (bon, presque). T'as bu la tasse et t'es étonne d'être encore vivant. Il te dit qu'il est hermaphrodite après t'avoir proposé être ta première relation sexuelle non homosexuelle (?) puis il te dit qu'il te collera jusqu'à la fin de ses jours en prétendant ne pas être un adolescent bisexuel de seize ans ayant quelques soucis avec une figure paternelle (?????) jusqu'à ce que Tsuki et Douille reviennent dans le paysage. Puis il se rend compte à son tour qu'il est temps de bouffer et vous vous lancer un regard complice.
Pour manger ce singe.

Pas si complice parce que tu cries :

Non... Non, Wade, on ne va pas tuer un singe... WADE ! WADE REVIENS PUTAIN !! Ni le bras de Deadpool au passage mais ce con a déjà sprinté jusqu'à l'autre bout de la plage - à tel point que les macaques sont parti en hurlant.

WADE STOOOOP !!! ON VA MANGER DES FRUITS LAISSE CET ANIMAL TRANQUILLE !!! Bon du coup, tu le courses le plus vite possible mais tout le monde sait que courir sur le sable est la pire chose imaginable, ça travaille sur les cuisses (trop).

IL T'ECOUTE PAS BON SANG ???!!!

Putain vous avez pas l'air cons à moitié à poil en train de courir après des singes et STOOOP ILS S'EN VONT VERS LA JUNGLE PAS POSSIBLE DE RETOURNER LÀ DEDANS ALORS QU'IL COMMENCE À FAIRE NUIT !

T'arrives pas à le rattraper, t'es beaucoup trop lent et t'as rien à quoi te raccrocher pour te balancer dans les airs. Re... VIENS ! Tu tires une toile qui s'agrippe à son arrière train pour le tirer d'un coup SEC jusqu'à toi et autant dire que Wade surfe sur le sable, en arrière, sur plus d'une vingtaine de mètres. Ok il serait peut-être temps de freiner Peter.

Tu sais pas faire ça.

Du coup quand tu vois le corps de Deadpool te revenir comme un boomerang à la gueule tu te plaques au sol et tu le sens te passer au-dessus comme un coup de vent, ça t'a décoiffé !
Mais avec cette vitesse il va traverser toute la plage, tu dois stopper ça ! Tu relances une toile, l'attrape par le poitrail et CRAC il s'arrête d'un coup sec et tombe sur le sable à son tour.

Attends, crac ?!

!!!!

TU LUI AS BRISÉ LA NUQUE !!!

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Tu cours jusqu'à lui (en te rétamant au moins deux, voire trois fois, hein) et tu finis à quatre pattes à côté de lui. C'est pas beau à voir, tu grimaces.

Aaaah je suis TELLEMENT désolé !!!! J'ai pas calculé ma force et-... Tu fais les gros yeux. C'est normal que y ait comme une grosse bosse sous sa peau ? Tu vas toucher pour vo- C'EST L'OS. C'EST LE PUTAIN D'OS !!! COMMENT CA A FAIT CA ?

Ok c'est pas le moment de lui demander comment ça va. (Bravo)

Euhm bon j'imagine qu'on va devoir attendre que ça se régénère... Du coup on a du temps à perdre alors euh... Tu fais de ton mieux pour trouver un sujet de conversation. À la place, tu en trouves douze. On ne peut pas manger ces singes d'accord ? C'est trop mignon on peut pas leur faire de mal. Tu veux que j'aille chercher des fruits ? Ou que j'essaye de pécher ? D'ailleurs comment ça se fait que t'aies des cicatrices pareilles, tu as pris feu un jour ? Comment t'as eu tes pouvoirs ? T'es sûr que tu veux pas rejoindre Eurêka ? Ça va ?

On avait dit pas de ça va ? Peter...


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*
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Wade Wilson

Lun 10 Sep - 1:23


rambo, be our guide // peter 727

balance les vibes

J’aime quand on m’enduit d’huile. Enduit-moi d’huile. L’huile, c’est bon, l’huile c’est sain. Huile-moi, allez. T’attends quoi ? Huile ! Huile j’te dis ! Tu vas me huiler oui ? ALLEZ, HUILE-MOI ! (Wade… Je peux savoir ce que tu fais ?) Je tente de me faire huiler par cet orang-outan, je l'incite par la seule force de ma pensée et par la persuasion de mon persuasif regard. Huile ! Huiiiiile !

HUUUUILE !

(…Tu m’expliques mieux que ça ?) Si tu avais lu le magazine Sciences & Vie de mois-ci, tu saurais que cette race de singe sécrète une huile au niveau de leurs fessiers et s’ils t’en projettent dessus ou s’ils se frottent à toi, c’est qu’ils sont en confiance. (Je suis presque sûr que tu as confondu avec une autre espèce, les singes ne sécrètent pas d’hu-) Chhhhut, regarde, il s’approche.

« Aouh, ouh, bazoooo, peter, bang bang, ouuuh aaaah aaah, zooong bazaaa- » (Wade, tu nous fais quoi cette fois-ci ?) Je communique, pauvre cloche ! Je sens au plus profond de mon être de cousin de cet animal au troisième gêne de l’évolution, que ce que je lui dis va le convaincre de se mettre sur le ventre et d’attendre docilement que je l’empale avec mon poing.

(……. T’ES EN TRAIN DE M’DIRE QUE TU VEUX LE FISTER OU JE RÊVE ?) J’ai pas d’arme, l’anus est mou, ça se pénètre easy, surtout avec l’huile, si il veut bien m’en enduire ce connard égoïste - HEIN, HUILE-MOI PUTAIN ! - donc je disais, en remontant par l’anus, je lui arrache les tripes et il crève. (TU ES ABJECTE !) Non, je suis pratique dans ma logique… Ou logique dans ma pratique ?

Pas le temps de triompher de notre futur dîner, j’ai une toile qui me viole les fesses et m’fait bouffer trente-six palmiers et deux kilomètres de sable. Jusqu’à… Bouquet final de la finalité de ce super et magique moment… CRACK ! Adieu à ma nuque. Adieu à ma vision normale. Adieu à l’os qu’était tranquille peinard aligné à ma colonne et qui maintenant se la joue superstar-bonsoir-le-monde.

Grosse douleur sa mère la salope putain je vais utiliser tous les jurons du dictionnaire du p’tit Robert. Grosse pulsion malhonnête qui m’démenge les poings quand je vois la gueule adorable, oh non, il est trop mignon, je peux pas lui en vouloir…de Peter. Grosse envie de pleurer comme un bébé. (Tu pleures déjà comme un bébé.)

« AAAAAAAH J’AI MAAAAAL JE SOUUUUUUFFFFFRE, PEEEEETER, JE MEUUUURS, JE LE SENS DANS MON ESTOMAAAAAAC, IL REMONTE DANS MA TÊTE, JE SUIS MOUUUURRRRAAAAANT ! » J’ai toujours faim par ailleurs.

Mieux vaut ne plus bouger et attendre que mes merveilleuses et géniales et magiques cellules mutantes fassent leur boulot. Je m’assois donc contre un rocher. C’est bizarre, il est mou. Ça existe les rochers mous ? Attend… Attend… OH MON DIEU. Qu’est-ce que c’est que ce truc dégueulasse ? Dans quoi je trempe là ?

« Peter, Peter, Peter, Peter, Peter………… IL Y’A UN FOETUS D’EXTRA-TERRESTRE À MES PIEDS, ENLÈVE LE ! VITE ! VITE ! ENLÈVE LEEEEE ! » (C’est un poulpe échoué en état de décomposition, pauvre con.) Ah. Erk. C’est immonde. Ça pue. J’en ai partout sur moi… On dirait du sperme mais faisandée, genre du sperme que t’aurais trop longtemps laissé au soleil, comme quand tu te branles un jour de canicule sur le capot d’une voiture. (Je me passerais volontiers de ta prochaine comparaison qui sent le vécu et qui m’file des nausées.)

Au même instant, depuis l’orée de la jungle, la horde de singes - oui oui, c’est une horde, nous vivons des aventures de folie hein ? - se met en rang pour nous attaquer. Non parce que vu leurs gueules contrariées, je suppose que c’est pas pour s’faire un bridge qu’ils nous veulent.

« Peter. Premièrement : NE ME DEMANDE PLUS SI ÇA VA SI TU VOIS QUE ÇA VA PAS ESPÈCE D’ADOLESCENT SEXY MAIS FOUTREMENT MALADROIT mais oh la la, t’es sexy quand tu t’inquiètes pour moi… DEUXIÈMEMENT, oui je reprends ma grosse voix, alors panique un peu, merci… J’AI ÉTÉ ÉLEVÉ PAR UNE FAMILLE DE RUSSES ALCOOLIQUES QUI TOUS LES SOIRS ME DONNAIENT DE L’ACIDE CHLORHYDRIQUE À BOIRE, d’où mes brûlures. Je crois. TROISIÈMEMENT… Attend, laisse-moi te faire mon plus beau regard de beau gosse des plages… Ok… Voilà… Quand est-ce que tu comptes perdre ta virginité avec moi ? Tu sais, c’est comme un yaourt une virginité, ça se périme au bout d’un moment. » J’aimerais bien lui manger son yaourt, ahahahah. Elle est bonne hein ? Hein ? Allez ! (Non.)

« QUATRIÈMEMENT, INTERDICTION D’ALLER PÊCHER, TU RÉUSSIRAIS À TE FAIRE BOUFFER PAR UN REQUIN, cela dit, tu nous servirais d’appât - un appât non jetable, dans l’optique où j’te sauve à temps. Et on s’boufferait le requin dans l’optique de l’optique où j’te sauve avant qu’il te bouffe… CINQUIÈMEMENT ET POUR FINIR PARCE QUE OUI, J’AI TERMINÉ…. Y’a une armée de singes en colère qui se dirige vers nous. J’aurais peut-être du commencer par là parce que, du coup,  ils sont seulement à trois mètres et bref, on doit se dépêcher. COUUUUUUURS ! »

La tête toujours branlante sur le côté, les fesses engluées de poulpe mort et de toile d’araignée - je tire Peter par un poignet pour mieux le propulser en avant avant de le faire rebondir - toutes ces cascades sont très réalistes, merci de ne pas les remettre en question - dans mes bras.

« Ma princesse, nous survivrons ! Tu auras mon huile et j’aurais ton yaourt ! » Mh. Je crois avoir oublié Douille. Ah, non. Il se fait copain/copain avec un serpent. Mooooh, ils s’embrassent ! (Non, il le bouffe.) Et Kiki, où est-ce qu’il est encore fourré ? (Fourré c’est le mot, il tente toujours de se faire la tortue de mer.) Ça c’est mon fils. Hehehe.

Ok.

Où en sommes-nous ?
Ah ouais.


JE COURS AVEC PETER DANS LES BRAS, AFFOLÉ MAIS NÉANMOINS CANON ET BADASS - même si ma tête ballotte à mort et que ça va finir par m’faire un bleu sur l’épaule gauche, oui parce qu’elle ballotte sur l’épaule gauche - elle peut pas faire la droite pour changer, nan ? Nan. JE VOIS AU LOIN UNE CRIQUE MAIS… IL FAUT NAGER… L’ORAGE GRONDE, LES ÉCLAIRS PLEUVENT ET JE SUIS À BOUT DE FOR- (Il fait nuit, les grillons chantent et t’es pleinement, hélas, vivant.)

Bon.
Puisqu’une CERTAINE VOIX s’acharne à me couper dans mes élans dramatiques et nécessaires à la pureté de la situation… Je poursuis de manière SOBRE.

La crique en question s’avère être une formation de rocailles à dix mètres aux larges des terres, joignable à la nage par conséquent. Les singes, ça nage ? Mh. Nous n’avons pas trop le choix.

« ACCROCHE TOI MON AMOUR, TIENS MOI PAR LES HANCHES, JE NAGERAIS POUR NOUS DEUX ! » Je m'élance, bravant les remous et je sens la puissance des vag- PLONK ! - fut le bruit de la gueule de Wade s’écrasant contre un énorme rondin qui, comme par hasard, flotte sur la vague dans laquelle il vient de se jeter.

Ah, super le héros des îles - il coule à pique là.

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FONDATEUR - SPIDERMAN
Peter Parker
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Peter Parker

Lun 10 Sep - 20:21



rambo,
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w/ wade wilson



musique - Bon bah c'est malin, t'as encore plus que questions maintenant. Du style : mais ah bon t'es Russe ? Pourtant Wade Wilson ça sonne américain je comprends pas... Mais le voilà qui te jette vers l'avant et paf, dans ses bras. Tu regardes par-dessus son épaule et WOH PUTAIN CA EXISTE LES ARMEES DE SINGES COMME CA ???? PLUS VITE, PLUS VITE WADE !!! Que tu lui brailles dans l'oreille en sachant après coup que ça allait le faire rire de façon salace parce que c'est Wade fucking Wilson après tout et que tout est sous-entendu.

Enfin, ça, c'était jusqu'à ce qu'il décide de se jeter dans la mer (pourquoi d'ailleurs ???? t'as pas compris) et qu'il finisse par flotter comme un cadavre à cause d'une bûche. WADE !! Tu hurles, encore, en essayant de nager du mieux que tu le peux. Il voulait vraiment aller vers la crique là bas ? C'est ridicule... Et ce con est parti pour plusieurs heures de sommeil. Tu soupires longuement avant de le tirer jusqu'à la plage où les macaques arrivent en masse. Pas de temps à perdre. Tu soulèves Deadpool et le pose sur ton épaule. Si son poids n'est pas un problème, sa taille oui (en confirmeront les bleus qu'il aura partout demain à force de s'être cogné aux branches un peu plus tard).

Tu cours le plus vite possible jusqu'à rentrer à l'intérieur de la jungle alors que derrière tu peux entendre des cris stridents et agressifs genre comme ça.

CASSEZ-VOUUUUUS BON SANG !!! Tu essayes de leur lancer des toiles vers les pattes en espérant que cela les fasses chuter dans leur course avant de tisser un chemin au travers des arbres, te balançant de l'un à l'autre le plus vite possible. Sans oublier qu'un singe, ça monte aux arbres, justement.
Tu tiens fermement Wade contre toi en essayant d'esquiver les attaques furtives de la faune de l'île. Quand soudain, t'aperçois une grotte ! C'est votre chance !

Le plus vite possible, tu la rejoins. Elle est étroite mais c'est justement le bon plan. Comme ça, tu pourras plus vite créer une sorte de mur en toile !

Tu poses (lances, en fait) Wade au sol avant de tirer des centaines et des centaines de fil jusqu'à recouvrir l'entrée. il y a des trous pour voir au travers mais pas assez pour laisser passer un animal ! D'ailleurs, ces derniers s'élancent contre cette protection de génie mais abandonnent très vite parce que ça ne cède pas ! Eh oui !

Tu soupires de soulagement avant de te laisser tomber par terre à ton tour, jusqu'à t'allonger. Tu es exténué... Tu me payeras ça cher quand tu te réveilleras... Que tu lui souffles.

Ah. T'es crevé, t'en peux plus. Et t'as laissé toutes tes affaires sur la plage, dont une partie tes vêtements et avec la nuit qui tombe, tu commences à crever de froid. Mais rien n'y fait, l'exténuation est plus forte que tout et tu finis par t'endormir le dos nu donc la roche humide.


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Wade Wilson

Dim 16 Sep - 22:09


rambo, be our guide // peter 727

balance les vibes

^
C'est quoi cette vibe là ? T'essayes de me rendre gay ?
(...)

Alors, je ne sais pas vous, mais moi j’ai terriblement envie d’une bière. Une bière bien fraîche, avec un bol de cacahuètes. Ouais. Un gros bol de cacahuètes. Et là, sur la table basse, une ou deux revues porno, histoire de faire la décoration. À la télé, y’aurait une série super badass genre Peaky Blinders.

J’entends l’auteur couiner, au secours mais quelle perchée c’te meuf. Cillian Murphy est trop beau. Cillian Murphy est parfait. Cillian Murphy c’est l’homme de ma vie. Cillian ceci, Cillian cela… ARRÊTE DE VOULOIR LE BAISER, TU L’AURAS JAMAIS ! IL EST MORT ! Enfin non, mais ça revient au même, tu l’auras jamais.

J’en étais où ? Ah ouais. Je disais… Une série super badass à la télé… Attend pourquoi je raconte tout ça ? (Parce que t’es dans les vapes et que t’espères que ce que tu débines comme connerie va se réaliser, genre, que ça devienne ton Paradis, mais non.) Ok. PUTAIN FAIS CHIER ! POURQUOI J’SUIS DANS LES VAPPES ? (Parce que t’as bouffé un tronc par la gueule.) Génial.

À la une, à la deux, à la trois-j’ouvre-les-yeux. Woooow. C’est humide par ici. J’me serais perdu dans l’anus de Colossus ? (……..) Ah, y’a un Parker endormi. J’suppose que c’est une grotte du coup, sinon il serait pas là. Ah mais ouuuuuui, je sais, je me souviens ! On fuyait des singes fous furieux et tout et… Ok, je m’en fiche.

IL EST TROP MIGNON.
Tu crois que je peux le toucher ? (Non.) Mh, mais…

Là… Il a le visage tout doux. C’est beau un adolescent qui dort. C’est agréable à tripoter. Comme ma peluche licorne. (Arrête de le caresser, c’est pas ta peluche justement !) OH ! MAIS ! S’IL NE DORMAIT PAS ? S’IL ÉTAIT RAIDE ? SI UNE SORCIÈRE L’AVAIT PIQUÉ AVEC UNE QUENOUILLE ET QUE TOUT SON CHÂTEAU EST MAUDIT ET QUE SON PÈRE EST UN ROI QUI AURAIT DÛ ÉCOUTER LA SORCIÈRE MOCHE ET LA BAISER PLUTÔT QUE DE LA TEJ ? (Attends, quoi ? C’est pas le plot de la Belle au Bois Dormant ça ?)

Non.

Je sais ce que je ressens dans mon estomac - enfin en-dessous de mon estomac, au niveau de ma bite. (Oui, merci pour l’image.) Ma bite ne ment jamais, j’ai foi en elle. Elle me suit partout, m’encourage et me protège. Elle me donne du plaisir, parfois me fait souffrir… Ma bite, c’est ma meilleure amie. Je peux lui faire confiance !

Si elle me dit que Peter est dans les vapes à cause d’un mauvais sort, je la crois. (Tu es tellement, mais alors tellement…con.)

Doucement, je dépose mes lèvres sur les siennes… Ma bite me dit qu’elle est contente, que je suis en bonne voix pour le sortir de son maléfice… Je continue, encadrant son joli minois de mes paumes - et… Et… J’ai envie de mettre ma langue. Ma bite me dit que c’est ce qu’il faut, que c’est l’ingrédient magique. (Tu agresses sexuellement un garçon de dix-sept ans, t’es au courant ?) Chut… J’ai beaucoup trop envie d’approfondir ce baiser… et…

IL SE RÉVEILLE IL SE RÉVEILLE IL SE RÉVEILLE
ALERTE, MA BITE VIENT DE ME LÂCHER ! La salope… Quelle traitresse ! (Quand est-ce que tu comptes pourrir six pieds sous terre, mh ?) Ta gueule, l’heure est grave.

Tel Ned Stark, on vient de me couper la tête ET C’EST MA BITE LE BOURREAU aka Cersei ! BITE TU ES CERSEI ET NON PLUS ANACONDA À PRÉSENT. VA T’EN, JE TE HAIS ! (Arrête de causer au nom de ta teub, c’est toi et toi seul qui t’es monté le bourichon avec ces sornettes de malédiction pour mieux profiter de la vulnérabilité de celui que tu tentes de fourrer dans ton pieu depuis un mois.)

T’es méchante.
(Je suis nécessaire.)
Non, le papier-cul est nécessaire. Toi t’es juste méchante et chiante.
(Ouais, ouais.)

« REGARDE Y’A DES ESCARGOTS SUR UNE PIERRE ! » Je bondis en arrière, pointant du doigt une pierre… Une pierre couverte d’algues. Ok, faut les imaginer les escargots, j’ai pas précisé qu’ils étaient réels hein. Hehehe.

« Alors mon pote, ça gaze dans la pompe à essence- » - gros rire gras dégueulasse du mec presque prit ou peut-être prit en flagrant délit d’un délit bizarre - « On s’taillerait pas d’ici ? Y’a Douille et Tsuki qui doivent désespérer sans nous. Puis avec un peu de chance, les singes sont partis. »

Oui d’ailleurs, nous somme d’irresponsables et horriiiiiiiiiibles paaaaaaarents...
IMAGINE, TSUKI EST NOYÉ ? DOUILLE EST DEVENU PROXÉNÈTE ?
(Hein ?)

Meanwhile…

Douille creuse un trou (??) …
Tsuki fait pipi contre une grenouille.

*
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Dim 16 Sep - 23:20



rambo,
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musique - Si ce n'est pas la roche humide qui t'arrache hors de ton sommeil, c'est une sensation tout aussi étrange au niveau de ta bouche. Tu fronces les sourcils, réveillé par un toucher auquel tu n'es pas familier. Pendant un moment, tu penses rêvé. Jusqu'au moment où ta vue s'accommode et que tu vois Wade, planté contre tes lèvres avec la langue prête à sortir.

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QUOI

Non mais non mais non tu cauchemardes c'est pas possible ?! QU'EST-CE QU'IL ETAIT EN TRAIN DE FOUTRE ?!!!

Tu le regardes avec tes yeux grands ouverts, quasi globuleux (entre temps t'as glissé jusqu'à l'autre bout de la petite grotte, encore sous le choc), le visage encore plus rouge que ta combinaison. NON MAIS REGARDEZ MEME TON TORSE ROUGI ?!

T'ÉTAIS EN TRAIN DE M'EMBRASSER ?!!! SANS MON CONSENTEMENT ?! PENDANT QUE JE DORMAIS !!!???? Tu hurles d'une voix stridente en paniquant. Sous le masque, c'était une chose. SANS C'EST PAS PAREIL OK ?!

Tu poses ta paume contre ta bouche. Tu te sens tout bizarre et définitivement pas à l'aise. Je- j'avais même jamais embrassé une fille ! Et- Et oui, Peter Parker. Ton premier presque-baiser. Et- et- et- et-

Spiderman.exe has stopped working

Tu finis par cacher tout ton faciès dans le creux de tes mains, tellement embarrassé que t'en as les larmes aux yeux et la poitrine douloureuse : tu ne sais plus où te mettre.

Très vite, tu préfères entreprendre le chemin vers la plage, détruisant de quelques coups de bras la toile qui vous a servi de mur pendant la nuit. Au bord de la grotte, tu peines, mais tu t'émerveilles devant la beauté des lieux au petit matin. Il a plu, cette nuit. L'humidité est très oppressante.

Je- Tu avales ta salive, rouge de honte. Ne fais plus ça. Genre. Jamais.

**

Une fois de retour sur la plage, le gigantesque HELP a disparu du sable. Forcément. T'as encore plus envie de pleurer maintenant.

Quand soudain, le St Graal.

À l'horizon, un bateau. Wade... Wade ! Tu lui tires le bras. Faut l'attirer, faut l'attirer !

Tu prends une grande inspiration et tu hurles, gigotant tes bras dans tous les sens. HEEEEY ! HEEEEY ! ON EST LÀ !!! VENEZ !!!

Tu fais simplement face à l'écho de ta voix qui se meurt, écorché par les vagues.

Faut qu'on essaye de se rapprocher le plus possible pour que je puisse l'agripper avec une toile !

Le bateau n'est pas très loin, tu peux facilement en détailler l'aspect d'ici. Prêt à nager jusqu'à la crique ?!


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Lun 17 Sep - 0:06


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balance les vibes

Ok, je l’ai définitivement gêné. Doit-il vraiment s’écarter comme si j’étais un pestiféré ? C’est pas un peu exagéré là ? Je veux dire, aux dernières nouvelles, je suis un putain de bon coup en baisers. (Wade. Il vient de te dire que c’est son premier. Quel souvenir va t-il en garder ? TU LE LUI AS VOLÉ ! IL DORMAIT !) Oh ça va… C’est sexy je trouve.

Il me dit jamais mais j’sais très bien que ça veut dire « recommence » - ma lune de miel s’annonce pas si mal finalement. (Nous n’avons pas la même définition du mot jamais.) Hinhin. Certes, nous n'avons pas profité du jaccuzzi et des chocolats pralinés. M'enfin, ça se vaut, ce qu'on vit ? Non ?

Bon, on va la jouer sortilège d’oubliette à la Lockart - genre, comme si de rien n’était. J’ai pas envie d’avoir à croiser son regard embarrassé de puceau outré. (T’es dégueulasse.) Non mais ça m’excite ! IL M’EXCITE ! C’est pour ça qu’il faut pas que je croise son regard. (T’es dégueulasse bis.) Moi au moins j’ai pas vingt-quatre ans d’écart avec. (Hein ?) Rien, laisse, hehe.

Pas le temps de prendre un petit-déjeuner - ça se mange des algues ? - qu’il veut que je crapahute à la nage jusqu’à la crique pour que ce pauvre bateau de merde nous sauve ? ATTEND Y’A UN BATEAU ? WOW MAIS D’OÙ ?

« Ok, c’est parti pour l’effort maximum. » Je ris. Aussitôt nous voilà à la conquête des vagues et en peu de temps, nous gagnons la crique. Avec ma super force et sa super agilité, en moins d’un tour de bras, le bateau est englué d’une toile et à portée de mains.

Sauf que…

Ce bateau est un PUTAIN DE BATEAU DE PIRATES. GENRE DES PIRATES SOMALIENS QUI FONT DU TRAFIQUE DE STUPÉFIANTS ET D’ARMES. Haaaaan mais c’est dingue. Il ne se passe pas un jour sans que des merdes nous tombent sur la gueule. (Faut dire que tu les attires comme la merde attire les mouches.) Superbe comparaison. (Je sais.)

« Bondour, nous êtres gentils, nous êtres jeunes mariés, nous vouloir rejoindre Amérique. » (Pourquoi tu prends l’accent chinois ?) J’sais pas. En tous cas, ça ne les fait pas dérider. Ahahah. Dérider. T’as pigé ? Dérider un chinois ! Hein, hein ? (Ta gueule.) Ouais, t’as raison, ils sont même pas chinois t’façon.

Ces types sont armés jusqu’aux dents, c’est ouf, et ils beuglent dans tous les sens - j’ai pas ouvert la bouche une seconde fois que je me prends déjà trois balles dans les côtes. Putain ça fait un mal de chien. PUTAAAAAIN ! Merde ! MERDE ! OK J’AI PAS ENVIE DE RESTER. J’AI ENCORE MOINS ENVIE DE COMBATTRE LE CRIME LÀ.

L’île déserte, à bien y réfléchir, c’est archi archi archi mieux. « ON SE TIRE BÉBÉ ! » J’attrape Peter par un poignet, sans oublier d’emporter une caisse - parce que nous sommes entourés de cartons et de caisses - avec moi. J'ai un bon pressentiment quant à cette caisse. C'est une caisse pleine de promesses. C'est une chouette caisse. Elle pèse lourd, elle est blindée et y’a un sigle que je connais que trop bien peint en blanc dessus : Stark Industries.

Ils ne se font pas chier ces pirates tout de même… Revendre illégalement le fruit du travail laborieux de Tony… (Tu fais ça tout le temps.) Ouais mais moi j’suis pas un putain de somalien armé de Kalachnikov et de sabres façon mixage GI Joe et Jack Sparrow, merci.

Heureusement, ils ne nous poursuivent pas - faut dire que je nage vite quand j’ai la mort au cul. Et j'imagine qu'ils sont contents de pas avoir à gâcher leurs munitions. Mh.

Je suis soulagé de regagner les rivages. Carrément foutrement salement soulagé ! Je les embrasse - et je crache le sable. SALOPE D’ÎLE PAUMÉE ! Ok non je t’aime. TU FAIS CHIER ! JE VEUX PARIS ET L’HOTEL DE LUXE MOI ! Non, merci, nous sommes sous ta protection. Ok, ok, ok.

Ça reste con, parce qu’on est à nouveau bloqués mais… Au moins Peter est sauf, et… ET PUTAIN ON SERAIT PARTIS SANS DOUILLE ET TSUKI ? HAAAAN !

Non j’dis ça parce que je viens de les capter, tous les deux, autour d’un trou. Ils sont chelous ces animaux, qu’est-ce qu’il y’a dans ce trou pour qu’ils restent scotchés devant ? (Un crabe.) Ah ok, super intéressant.

« Désolé que ça ait encore mal tourné mon chéri. J’ai un karma de merde, c’est pour ça… » Je dis, sincère et dépité - façon petit chiot qui se repend d’une bêtise. (T’es pas mignon pour autant.) Salope.

« Au moins je leur ai chipé un truc. La grosse caisse là ! Si ça se trouve, y’a un téléphone GPS ou j’sais pas… Ça vient de chez Stark, ça ne peut qu’être stylé. » Sans attendre, je violente la demoiselle de titane avec de grosses roches et parviens à l’ouvrir.

Il y’a plusieurs ordinateurs - oueeeeeeeee - des flingues et des dossiers confidentiels (Ce sont les plans d’une machine de guerre.) On s’en fou. Y’a notre porte de sortie !

« Nous sommes bénis des dieux bébé, avec les composants des ordinateurs, je peux réparer ma ceinture. » J’en brandis un en l’air avant de l’éclater contre le sol, envoyant milles petits éclats s’éparpiller autour de nous. Suite à quoi, j’arrache les fils de cuivre et les connecteurs qui pendant de la carcasse - ainsi que tout le barda électronique : puce, fibres, jointures en acier etc.

« Tu me donnes deux heures, et c’est bon. En attendant… Si t’as pas envie de t’ennuyer et si tu veux être utile, tu peux m'enlacer comme un koala ? Ça me gêne pas. Ça m'aiderai à me concentrer. J’ai très froid en plus. » Gros sourire goguenard en prime des yeux mouillés tristounets.

Sérieusement. J'ai froid.
J'ai vraiment froid. En plus je saigne à mort.

J’ai les côtes pétées, ça craint.
Boarf, en même temps, c’est pas la première fois, et certainement pas la dernière.

*
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Lun 17 Sep - 18:58



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musique - Bénis par les dieux, sincèrement ? Être bloqué sur une île, avoir été coursé par des singes, avoir été obligé de dormir sur une grotte, voir de près des pirates somaliens, c'est des bénédictions, tout ça ? T'aurais plus tendance à dire que c'est juste qu'ils ont pitié de vous pour que trouviez les produits de Mr Stark à bord.
Mais t'as la foi de rien dire, épuisé, étalé sur le sable, tes cheveux en bouclettes qui tombent sur ton front. T'en as marre. Tu veux tellement prendre une douche. Et te brosser les dents. Et dormir dans ton lit.

Tu peux m'enlacer comme un koala ? Tu hausses un sourcil avant de t'esclaffer : Non !!

Et tu pars bouder à l'autre bout de la plage. Pas question de rester plus longtemps avec lui. Tu sais pas si tu boudes parce que vous avez fait un aller retour vers la mort encore ou à cause de son baiser BIEN TROP FORCÉ. Le pire : il n'a aucune honte ! Regardez-le, tout penaud à réparer sa merde !

Tu traines des pieds dans le sable et finis par te poser quelques mètres plus loin. Tu ramasses ton sac à dos que tu avais caché au préalable aux abords de la jungle pour prendre quelques photos. Au moins, tu auras des preuves de ton aventure...

Tu soupires. Longuement. Puis tu fixes Wade. Longuement, aussi. Maintenant, tu te souviens de la façon dont il t'a engueulé la veille - tu ne tiens pas à ce que ça recommence. Alors, remettant ton t-shirt au passage, tu reviens à ses côtés et t'accroupis devant son travail. Ça l'air compliqué.

Wade. Tu brandis ton mobile. Cheese !

Clic. C'est dans la boîte.
Ton sourire revient petit à petit tandis que tu te glisses jusqu'à côté de lui, penché contre son flanc pour prendre un selfie ensemble. Non, mieux, une vidéo. Salut salut, depuis hier on est bloqué sur une île déserte à cause de cette personne qui a enfin trouvé une solution au problème. J'en tire de cette aventure que je ne sais ni péché, ni chassé. Que je serai le pire des scouts. Et que Wade n'a aucun instinct de survie. Que les singes sont agressifs, aussi... Tu pouffes de rire. Ah, et Wade a des préférences pour les adolescents de mon âge mais... J'crois que je préférerai oublier. Tu coupes.

Tu regarderas ça plus tard. Dans quelques années, peut-être. Pour sûr, t'en riras.

Le fennec revient vers vous - ou tout du moins, passe à côté. Tu l'attrapes au passage avant de le ramener contre ta poitrine. Le bougre se débat mais pas assez pour que tu le laisses s'échapper une seconde fois.

Ta tête retombe contre l'épaule de Deadpool, sans trop savoir si cela lui apportera suffisamment de chaleur. Hors de question d'aller jusqu'à l'accolade, il ne le mérite pas.

J'suis trop fatigué... Tu geins. C'est bientôt fini ?


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Wade Wilson

Lun 17 Sep - 19:44


rambo, be our guide // peter 727

balance les vibes

Depuis quand un câble de cuivre ça pique ? Je viens de m’entailler la main, ça fait mal putain ! (En même temps si tu faisais davantage attention… Tu les manipules comme un plouc !) Non, je les manipule vitesse grand V parce que, merde, j’ai salement mal aux côtes, j’veux me barrer. C’est douloureux quand ça repousse ces choses là ! Je veux m’baaaaaarrrer. Je veux jouer à Call Of. J’en ai ma claque, ça y’est - j’aime plus cette île qui pue. (T’es un gros bébé pleurnichard.) OUI. J’ASSUME.

En plus l’autre, il me boude. D’où ? J’suis gentil depuis au moins trente minutes. Même que j’ai pas râlé quand il m’a abandonné à mon froid. FROID QUI AURA MA PEAU. Je resemble à un poulet déplumé. En principe, dans ce genre d’endroit paradisiaque et sauvage, il fait chaud non ? Ben non. Avec mon karma, on a pêché la seule île où le vent est polaire. (Tranquille, no stress, t’as presque terminé ton rafistolage.) Ouep.

Click ! V’là pas qu’il s’improvise cameraman. Y’a deux minutes il était à l’autre bout de la plage à me maudire - je suis sûr, je suis sûr qu’il était en train de me maudire ! L’avorton ! Je ne l’ai pas senti arriver - pourtant Dieu sait que j’ai le flaire en ce qui le concerne. J’ai genre… Mémoriser son odeur dans ma base de données d’odeurs. Genre, j’peux le sentir à cent mètres ! Genre j’suis un détecteur de Peter Parker ambulant ! (C’est chelou ce que tu racontes.)

Boarf, malgré tout, j'me marre comme un idiot, grimaces en prime - ça nous fera un bon souvenir, un très bon, un très bon cool, un très bon cool beau souvenir. Hinhin. N'empêche, ce qu’il peut débiner comme bêtise ! Ce type me tue. (C’est toi qui dit ça ?) J’veux dire, il me tue dans le bons sens du terme quoi. C’est un chouette môme. (Dont t’as volé le premier baiser.) WOW ! Mais meeeerde ça va ! Ça vaaaa ! CE N’EST PAS GRAVE ! Y’A PAS MORT DE DAVID BOWIE ! (…)

« Tu me l’enverras ? Les seules vidéos que j’ai sur mon ordi, c’est du porno ou des menaces de mort. » Je souris. Sauf que je souris pas de façon hyper heureuse. Je sais, c’est bizarre, mais c’est un peu déprimant... D’avoir que du porno et des menaces de mort sur son ordi… Et pas, tu sais… Des photos rigolotes, des clichés honteux de toi à six piges, la tête hilare de tes darons, un mot d’amour… (Nous fais pas une déprime, t’as une mission à achever.) OUI CHEF !

C’est chou, sa petite tête sur mon épaule. Son p’tit nez en trompette. Ses boucles sales et en bataille. Son cou aux lignes dessinées. Ses cils un peu trop longs. Il m’donne envie de cuisiner des cupcakes et de câliner une peluche. Ou de l’embrasser encore, mais j’dois avoir une haleine de chacal - et lui aussi - donc évitons. (L’idée qu’il n’en aurait absolument et certainement pas envie, ça, par contre, ça n’est pas un détail important ?) Non. Y’a que nos haleines qui nous empêchent de savourer en beauté la fin de cette lune de miel.

« Oh et j’te rassure bébé, ce baiser, tu vas y repenser et t’en mouiller le caleçon. T’as kiffé, pas la peine de le cacher. J’te permets même de faire des rêves érotiques où je recommence mais où cette fois-ci… » - doux murmure sensuelle contre sa bouche - «  …Ma langue aura le temps de goûter la tienne. » L’art d’être lourd et gênant, et l’art de ne pas laisser de répit à la pureté adolescente d’un baby super-héros. Ahahahaha, mothafuckaaaaa c’que je m’aime. AHAHAHAHA ! (Sale con.) Même Tsuki rigole. (Non, il grogne parce qu’il a faim.)

OK TIME TO GO.

J’ai fini de réparer ma ceinture. ENFIN ! APRÈS MOULT PÉRIPÉTIES ! C’est bon de la sentir à nouveau vibrer contre mon bas-ventre. (Pervers.) « Accroche-toi, ça va secouer ! » Je me redresse aussitôt, l’encerclant de mes bras - moment opportun que Douille, toujours invaincu par la Faucheuse, choisit pour venir s’écraser entre nous.

La seconde qui suit, nous sommes tous les quatre téléportés devant la base d’Eurêka. Avec le décalage horaire - il fait nuit. Un coup d’oeil sur un panneau de signalisation électronique m’informe de l’heure : 03H47 du matin. C’est une chance, nous ne nous ferons pas remarquer ainsi.

J’suis pas doué pour les excuses et les aurevoirs… Comment je procède ? (Me demande pas, tu me gonfles.) Mh. Réfléchis, Wade, réfléchis. « C’était sympa. À plus ! » Petit coucou de la main façon salut royal de carrosse à la Diana Princess et POOF ! je disparais. (C’ÉTAIT NUL ! MAIS NUL ! COMMENT ? MAIS ? AAAAAH !) Quoi. Flemme. J’suis HS. Je veux jouer à Call Of, j’te l’ai dis. J’ai aussi besoin d’un bain. Et de me branler - parce que fuck, j’ai accumulé de la frustration sexuelle mine de rien. (Mh. Certes.)

C’est bon de retrouver son chez soi. (Y’a toujours le vomi de Douille qui trône sur ta table basse, putain, ça fait dix jours. T’ES DÉGUEULASSE !) Non. Je tentais une expérience… Est-ce que de son vomi peut naître un autre Douille ? Tu vois, comme un genre nouveau de mutant ? (Ta gueule.)

Je soupire. Pourquoi je soupire ? J’aime pas soupirer de cette façon. Façon triste là. Façon drame. C’est à chier. J’disais pas, y’a trente secondes, c’est bon de retrouver son chez soi ? (Si, si.) Pourquoi j’me sens soudain si seul alors ? (Mange, ça te passera.) Yep. Sans doute.

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