ANNÉE 1983, DAVID, DERRICK ET DUSTIN, PASSIONNÉS PAR LA SCIENCE-FICTION ET LA POP CULTURE, DÉCIDENT D'ENVOYER UN MESSAGE DANS L'ESPACE GRÂCE À UN ORDINATEUR SOPHISTIQUÉ DEPUIS LEUR PETIT GARAGE À COSMOPOLIS, DANS LE CONNECTICUT. PUIS C'EST PARTI EN COUILLE.PLUS DE TRENTE ANS APRÈS, GRÂCE AUX EXPLOITS INFORMATIQUES DES "3D" (POUR "THREE DICKS"), LES ALIENS FOULENT ENFIN LE SOL TERRESTRE ! MAIS À QUEL PRIX ? C'ÉTAIT À L'ÉPOQUE UNE SIMPLE PASSION. NI FEMME, NI EMPLOI, DAVID, DERRICK ET DUSTIN ONT PASSÉ LE PLUS CLAIR DE LEUR TEMPS (ET LEUR VIE) À ÉTUDIER L'ESPACE ET LA POSSIBILITÉ DE LA VIE AILLEURS QUE SUR NOTRE BELLE PLANÈTE. SANS DIPLÔMES OU CERTIFICATS, ILS SE CONTENTENT DE CONCEVOIR DES ORDINATEURS ET AUTRES SOFTWARES CHEZ EUX DANS LE SEUL INTÉRÊT D'ENVOYER UN MESSAGE AU-DELÀ DE LA SURFACE TERRESTRE. ILS L'ONT APPELÉ CODE COSMO EN HOMMAGE À LEUR VILLE CHÉRIE (C'EST FAUX, ILS N'ONT JUSTE AUCUNE IMAGINATION), COSMOPOLIS.
EN COURS D'AFFICHAGE (WADE ET LE CODE SE BATTENT)

Les visiter en attendant : CLICK !
dabberblimp"




 
Le Deal du moment : -29%
PC portable – MEDION 15,6″ FHD Intel i7 ...
Voir le deal
499.99 €
-45%
Le deal à ne pas rater :
WHIRLPOOL OWFC3C26X – Lave-vaisselle pose libre 14 couverts – ...
339 € 622 €
Voir le deal

Partagez

Leçon pour être un glandu cassos [PV Reiner]

*
Invité
avatar
Invité

Lun 24 Sep - 14:42

Leçon pour être un glandu cassos [PV Reiner] 8824719695e6c21a60b447a54afa7cf6

Leçon pour être un glandu cassos

Il y a des gens qui font avoir le cœur papillon, qui fait boum, chaviré, rends tout chose, tout moue, tellement en même temps. Ils n’ont rien fait de spécial, ils sont là et ça suffit à être perdu dans un autre monde en quelques secondes. Ce n’est pas de l’amour, tu en es certain et pourtant elle te rend le corps en guimauve quand tu la croises dans la rue.

Elle, cette fille dont tu ne connais même pas le nom, mais dont le visage, la démarche et sa façon d’être attiré irrémédiablement ton regard encore et encore. Comme un aimant. Elle a un effet fou et pourtant, ce n’est pas de l’amour, juste un coup de cœur, tu voudrais la connaître, devenir son ami, avoir juste une conversation avec elle pour savoir si elle est comme tu l’imagines et pas un simple fantasme.

Pas un fantasme sale. Non, elle est une sorte de pièce pure dans ton esprit. Un être qui doit être protégé et en même temps admiré. Une inconnue dans la masse, mais qui a un truc d’attirant. En ce lundi matin, tu as décidé que tu allais changer la donne, ne plus avoir l’impression d’être un stalker qui la cherche dans la foule juste pour sourire de sa présence dedans. Aujourd’hui, tu vas lui parler.

Tu n’as aucune idée de quoi lui dire. À quelques seconds du moment fatidique, c’est toujours le vide total dans ta tête. Pourtant devant ton miroir à mettre une chemise blanche bien repassé, un pantalon noir et un gilet en jean bleu, tu avais l’air en confiance que c’était le bon jour. Comme quoi la préparation était le moment avec le plus d’illusion.

Tes mains transpirent et tu ne sais pas quoi lui dire pour ne pas passer pour un demeuré de service. Est-ce que c’est possible de ne pas passer pour cela avec votre base d’interaction et ce que tu souhaites faire ? Aucune idée, mais tu souhaites le faire. Allez, courage, tout va bien se passer.

Elle est là, devant toi, tes rêves vont se réaliser, tu vas lui demander d’être ton amie. Elle se trouve devant le planétarium et tu penses que c’est le bon endroit pour faire ton approche. Tu veux y croire. Tu prends une forte inspiration puis viens juste en face d’elle. Comme un gros lourd, regardant tes chaussures et te triturant les doigts, vraiment pas à l’aise pour deux sous.

– Heu… Bon... Bonjour… Je… Enfin… Ha ha ha…

Un rire nerveux passe tes lèvres alors que tu bafouilles totalement face à elle ne sachant de comment faire la suite. Presque à faire une crise de panique alors que tu ne fais que parler à une inconnue. Une inconnue que tu fixes depuis des jours, mais une inconnue tout de même. Le rouge te monte aux joues tellement, tu te sens con sur le moment.

Allez, tu ne vas pas laisser tomber maintenant ! De toute façon, c’est trop tard pour avoir l’air cool ou classe face à elle maintenant. Autant dire ce qui te passe par la tête et espérer qu’elle n’appellera pas la police à la suite de cela.

– Voilà ! Je… Je te trouve super cool et… et.. Heu… Je suis Ruben et… et…

Bordel, c’est bien que tu te sois présenté, mais ça n’avance pas. Qu’est-ce que tu dis maintenant ? Tes yeux cherchent une réponse autour de toi avant de revoir le planétarium et de sauter sur l’occasion.

– Je voulais savoir si tu voulais venir avec moi au planétarium et… enfin… Voilà…

Enfin, tu la regardes dans les yeux et tu as l’impression d’être le plus grand boloss du monde avec cette première approche.
*
Reiner
Crédits : 0
Reiner

Mar 25 Sep - 17:49

Leçon pour être un glandu cassos

Avec pour professeurs: Reiner et Ruben.

Ce n’est pas souvent que tu as l’occasion d’avoir une sortie avec celle que tu considères comme ta nouvelle mère. Elle ne trouve pas le temps… Ou simplement elle n’a pas envie de passer du temps avec toi à l’extérieur de la maison. C’est compréhensible, une de tes passions lorsque tu t’ennuies à la maison… C’est simplement de lui questionner sur la race que vous partagez. Elle a dû faire le tour du sujet avec le temps, mais cela ne te suffit pas. T’as envie d’en voir plus, d’en savoir plus. C’est une curiosité naturelle qui te vient de ta race, mais surtout de ta mère. Elle est descendue sur Terre pour en apprendre plus sur les humains… Mais toi, c’est tout l’inverse. Si la planète d’origine des Rizzens n’avait pas été dévorée par une autre race... Tu aurais sauté sur n’importe quelle occasion de pouvoir l’apercevoir de tes propres yeux. Malheureusement pour toi, ça n’arrivera pas.

C’est bien pour ça qu’aujourd’hui tu as fait le premier pas. Tu as donné rendez-vous à Sybhi près du planétarium sans qu’elle puisse y redire un mot. Ce lieu doit bien abriter une mémoire de la galaxie M81. Tu n’attends pas à ce qu’elle annule ce rendez-vous mère-fille pour des broutilles. Si elle veut t’expliquer davantage l’origine des Rizzen, c’est simplement le lieu pour. Il va lui falloir une bonne raison de se montrer en retard… Oui, parce que ça fait déjà trente minutes que tu poireautes devant l’entrée sans qu’elle n’envoie peine à t’envoyer un message pour s’excuser.

Tant pis pour elle. Se remémorer de sa jeunesse doit être compliqué à endurer, après tout. Un peu comme ta jeunesse. À exception près que t’es encore jeune. T’as encore beaucoup de choses à apprendre et tu trouves ça égoïste de vouloir te stopper dans ton apprentissage en ne t’accompagnant pas là-bas.

En l’attendant, tu te perds sur ton téléphone. Sur un jeu de chatons, plus précisément. Tu t’occupes de ton petit chat robotique que tu as appelé comme le tien et tu sembles apprécier ça… Bon, c’est vrai que tu t’es un peu honteuse d’avouer que tu joues à un jeu pareil, mais il faut croire que Jeanne d’Arc te manque lorsque tu ne te trouves pas à la maison. Malheureusement, apporter son chat, qui plus est robotique, hors de la maison ne peut que t’apporter des regards que tu ne souhaites pas. Tes cornes suffisent largement pour ce genre de situation.

Une quinzaine de minutes plus tard, tu l’entends enfin. Quelqu’un s’approche de toi et tu ne peux qu’entamer la conversation sans même écouter ses excuses. Tu le sais, elle est en retard parce qu’elle « devait s’occuper de la maison, puis tu n’es pas le centre du Monde. » La prochaine fois que t’es en retard, envoie au moins un message… J’dis pas ça pour moi, hein. Quoique… Carrément, si. Mais si quelqu’un d’autre se trouve dans la même situation que moi… C’est-à-dire attendre plus de QUARANTE MINUTES. Tu précises bien le temps que tu as dû attendre pour qu’elle culpabilise un peu. Elle le mérite. De plus, c’est pas si méchant... Si ? T’vas montrer une mauvaise image de notre race… Alors évite. S’il-te-plaît. Une note de politesse qui a manqué au reste de tes dires. Elle le mérite peut-être également. Un peu. En fait non, tu fais juste ton adolescente en crise.

Tu décroches enfin les yeux de ton portable pour regarder ton interlocutrice. Qui semble avoir grandi de plusieurs centimètres… Et qui s’est visiblement coupé les cheveux… Mince. La bêtise. Ton visage se couvre d’un rouge que tu connais bien. L’embarras est devenue une amie. Pardon ! Excusez-moi ! Désolée ! Oopsi ? Tu ne connais pas plus de synonyme pour ce contexte, mais si t’en connais une dizaine… La dizaine serait sortie de ta bouche en une fraction de seconde.

Il t’a parlé du planétarium. Oui, c’est tout ce que tu as pu entendre entre tes phrases.  Est-ce qu’il te demande le chemin ? Certainement pas, c’est sous vos yeux. L’heure d’ouverture et de fermeture ? T’en sais rien… Tu n’y as même pas pensé. Mince ! Qu’est-ce qu’il voulait dire ? Qu’est-ce qu’il a dit ?

Euhm… je vais justement au planétarium, oui… Huh…  Tu peux venir avec moi, si tu veux… Au moins, en face de l’exposition, il pourra voir ce qu’il souhaite et demander au guichet ce qu’il a en tête. MINCE ! Peut-être qu’il te disait ses avis sur le planétarium et qu’il te conseillait, ou non, de sauter le pas et d’arrêter d’attendre en face de l’entrée ! Que faire ? Tu te vois déjà t’avancer vers le guichet. Tu ne réfléchis vraiment jamais avant de faire une action… Qu’est-ce que c’est honteux ! Tu forces un sourire que tu catégorises comme des pires sourires forcés et tu te présentes face à la dame qui vend les tickets.

Bonjour. C’est pour deux personnes ?
–  Euhm… Bonjour… Tu te tournes vers l’inconnu. Oui…  Je crois ?
Excusez-moi… « Vous croyez ? » Il faut savoir, je ne peux pas vous faire passer avec un seul ticket pour deux.
– Tu fronces les sourcils. Alors oui… C’est pour deux personnes. Au pire, tu peux toujours inviter ton ami imaginaire inexistant à venir avec toi si la personne refuse. Faut que tu lui demandes son prénom, ce sera plus simple pour le différencier des autres brouhaha de tes pensées. Enfin, s'il vient avec toi.
Tenez. Amusez-vous bien. Tu donnes l’argent nécessaire avant d’attraper les tickets.
… Oui. Merci.

… Elle était malpolie, cette dame. Non ? Ou bien le stress t’a fait prendre ses mots comme des lames de rasoirs qu’on te force d’avaler. Tu secoues légèrement la tête en te retournant vers l'homme que tu as invité à te suivre jusque là. Désolée pour ça… J’suis pas très à l’aise en société… Comme tu peux le voir. Tu laisses un rire nerveux s’échapper. On… J’y vais, du coup. Tu tends le second ticket vers l’inconnu. C’est pour toi… Si tu l’utilises pas maintenant, tu pourras l’utiliser une prochaine fois… Ou l’offrir à quelqu’un.
@feat Rubi
Awful
*
Invité
avatar
Invité

Mar 2 Oct - 22:00

Leçon pour être un glandu cassos [PV Reiner] 8824719695e6c21a60b447a54afa7cf6

Leçon pour être un glandu cassos

Les yeux ronds comme des billes, tu la regardes. Enfin, tes yeux on plus l’air d’être des boules de bowling au vu de comment tu la fixes actuellement. Dire que tu as été surpris serait une mince affaire, c’est bien plus que ça. Tu es complètement sur le cul et ne comprends plus rien à ta vie.

Enfin si, tu y comprends toujours un truc, tu n’es pas en danger de mort, mais là tout t’échappe totalement tout de même. Déjà la réponse de la douce brave femme aux cheveux rose, tu ne t’y attendais pas. Visiblement, elle attendait une autre personne que toi depuis un moment et le simple fait de t’adresser à elle lui a fait croire que tu étais cette personne.

Oupsie. Le terme est faible, mais tellement d’actualité. Tu as été pris d’une forte honte de ne plus trop savoir où te mettre après ça. Genre, comment réagir face à ce genre de situation ? La fuite semble être une bonne solution. Tout du moins si ton cerveau avait été d’attaque il l’aurait pensé, mais là il est en black-out total, en PLS de tout. C’est une mort cérébrale que tu vis.

Quand ton cerveau se remet un peu en marche, elle a déjà acheté les billets pour le planétarium et te les tend. Visiblement ne sachant pas trop quoi en faire. Qu’est-ce que tu en ferais tout seul toi en plus ? Rien certainement. C’est ça le truc. Rien du tout. Alors il va falloir te bouger le fondement pour rétablir un peu d’ordre dans tout ça. Fonce mon grand !

– Attends.

Tu lui agrippes la manche et bloques. Tu vas faire quoi maintenant ? Genre, c’est mignon, tu viens de l’empêcher de partir, ta bouche fait le poisson hors de l’eau sans rien dire, mais il va falloir agir tout de même. Non ?

– Je... Enfin tu… Plutôt nous… Enfin…

Magnifique, tu connais tes pronoms et ton visage ressemble à une tomate trop mure. Attention, un peu plus et ta tête explose à cause à trop de pression si tu continues ainsi. Voilà, prends une grande inspiration et laisse tout sortir d’un coup.

– Toi, vouloir, venir, moi, planétarium ?

Tu parles vachement bien la langue dite comme ça. Ce n’est pas du tout à l’âge de pierre qu’on a l’impression d’être redescendu avec ce genre de dialecte. Magique. De mieux en mieux. Fais un effort, on a dit bordel. Prends une forte inspiration et reprends depuis le début. Tu tires un peu sa manche vers toi comme un gamin qui tente de retenir sa mère qui souhaite partir au travail. Tu as presque le même visage triste, les larmes en moins.

– Je voulais y aller avec toi, enfin si tu veux bien… Juste regarder les étoiles… Cela ne te tente pas ?

Cette fois, tu relâches sa manche, ta phrase est un peu mieux, et même si elle foire après ça, tu es fier de toi. Là ça ressemble plus à quelque chose, même si le fait que tu sautilles d’un pied sur l’autre en continu te donne l’impression que tu veux aller aux toilettes là tout de suite. On ne peut pas tout bien faire, malheureusement.
*
Reiner
Crédits : 0
Reiner

Mar 16 Oct - 21:05

Leçon pour être un glandu cassos

Avec pour professeurs: Reiner et Ruben.

Tiens, c’est curieux… Tu arrives presque à distinguer quelques mots dans son éternuement… Attends, il te parle vraiment, là ? Effectivement, il fait une tentative de communication. Mince, tu n’as pas l’habitude d’échanger une conversation avec un étranger. Ce n’est pas méchant, mais tu n’y arrives simplement pas avec les accents. Plus qu’un problème de pronoms, il te donne la forte impression d’être figé dans un corps qui le gêne… Tout devient logique ! Ce n’est pas un simple étranger en voyage linguistique, mais bien plus intéressant que ça ! Cette personne t’agrippant la manche se trouve être un Tekm ! Sa façon de parler, sa façon de se tenir aussi droit qu’un piquet… Comment est-ce que tu as pu manquer tout ça !

Ce pauvre bonhomme doit avoir un fil mal-connecté et il souhaite ton aide pour le réparer comme Apex le faisait pour Jeanne d’Arc. D’ailleurs… Comment il peut savoir que tu as déjà assisté à une opération de ton chat ? Les Tekm savent vraiment tout, maintenant… Ça en devient presque effrayant. Un tekm chat comme un tekm à l’apparence humaine… C’est la même chose, non ? Ça se construit de la même manière. Tu peux probablement l’aider.

Ah ! Tu ne montres que des yeux ronds face aux efforts de ton interlocuteur. Il s’améliore vachement vite pour formuler une phrase. Il doit sûrement faire une mise-à-jour interne pour cacher sa race… Mais tu ne te laisseras pas prendre à son jeu. Reiner l’enquêtrice est dans la place ! Tu sais pertinemment sa réelle race, même s’il tente de se faire passer pour un Rizzen ou même un Drizzt. Ton plan est simple : tu vas faire semblant de rentrer dans son jeu… Et après quelques minutes voire heures de papotage, tu vas pouvoir lui soutirer des informations ! Attends… Tu n’as rien à lui demander. Tant pis, tu trouveras bien !

Ainsi, avec un plan en tête… Tu te mets à hocher frénétiquement la tête. Il peut voir ça comme un signe d’encouragement et prendre un peu plus confiance vis-à-vis de ses phrases. Pendant quelques secondes, tu hésites à accompagner tes hochements de tête avec des applaudissements… Mais ce n’est qu’une mauvaise idée. Ce n’est pas un enfant qui apprend à parler, mais bien une personne ayant potentiellement ton âge… Ou bien: Peut-être qu’il a plusieurs siècles !

Tu attrapes toute son attention lorsqu’il mentionne le mot « étoiles ». Il te suffit de peu pour accepter sa compagnie. Comprenez la jeune Reiner, qu’est-ce qui est plus joli que les étoiles ? Majestueuses et élégantes à souhait. À défaut d’avoir ces adjectifs… Tu te contentes de fantasmer sur la beauté d’une simple étoile. ABSOLUMENT ! Tu retiens ton souffle quelques secondes pour calmer ton enthousiasme. Je suis d’accord que tu m’accompagnes. De toute façon, Sybhi ne viendra pas. Peut-être est-ce la fausse-crise d’adolescence, mais elle te casse vraiment les pieds. L’idée de partir loin de la maison te traverse l’esprit. Cependant, c’est loin d’être le moment d’y penser.

D’une façon dont tu dois être la seule à la qualifier de discrète, tu pointes ses mouvements de jambes. Tu lui chuchotes avec une pointe de gêne. Ça ne sert à rien de sautiller de la sorte… T’as besoin de faire un tour aux toilettes avant de commencer la visite ? Wow. La honte. Okay. On dirait que tu parles à un gamin… Et encore… Si tu disais cela à un enfant, tes mots passeront sûrement mieux que de les dire à un mec de ton âge. Il est en âge de savoir ce qu’il veut, après tout ! Ça se trouve, tu es celle qui l’empêche de bouger librement. Puis… Un Tekm ça n’a pas besoin d’aller aux toilettes… Si ? Peut-être que ce n’est qu’un Tekm-sauteur. Un genre de mixte entre un humain robotique et un springbok. Tu pouffes rien que d’y penser.

Tu avances le pas sans vraiment savoir où tu vas. Ton regard affronte le paysage, mais tu ne vois rien. Trop occupée à réfléchir si tu dois t’arrêter devant les toilettes ou avancer directement dans l’exposition. Mince. Zut. Mince., marmonnes-tu. Tant pis pour lui, s’il veut t’arrêter… Il n’aura qu’à t’attraper la manche une nouvelle fois. Tu te diriges d’un pas décidé à l’intérieur d’une salle remplie de sièges.

C’est comme ça, les planétariums ? Tu pensais plus à un genre de musée plutôt qu’un… Cinéma. Tant mieux pour lui, il n’aura pas à sautiller partout. Puis... Tu n’as pas à te fatiguer à déambuler à gauche et à droite non plus. Tout est bon ! Tu te permets, à ton tour, d’attraper son bras. T’as cru comprendre qu’il aime bien cette façon de communiquer… Alors tu sautilles également vers un siège tout en invitant ton ami-improvisé à s’asseoir dans le siège voisin.

Il n’y a pas beaucoup de monde pour l’instant, ça te laisse l’occasion de faire un peu de conversation. Tu t’appelles comment, sinon ? Moi c’est Reiner ! Je ne crois pas que je te l’ai dit… En tout cas, je suis enchantée de rencontrer quelqu’un comme toi ! Peut-être qu’en disant cela ça va le mettre à l’aise… T’aimes bien les étoiles, alors ? Ma maman me disait que j’en étais une. Ouais. Tu te sens obligée de le préciser à chaque fois que tu rencontres une nouvelle personne; un peu comme une marque de fabrique. Au moins, aujourd’hui ce n’est pas trop déplacé de le crier haut et fort.

C’est seulement pour voir les étoiles que tu es venu ici ? C’est vrai qu’on ne peut pas trop les voir avec les lumières de la ville… Si tu veux avoir un bon spot, c’est la Serissa Forest ! Suffisamment éloignée de la ville, on peut presque s’imaginer au milieu de la galaxie ! ... En fait, Tu viens de quelle planète ? Est-ce que t’es entrain de le forcer à dire sa réelle race ? Sûrement. Peut-être que t’es né ici… Si c’est le cas, ça nous fait au moins un point en commun ! Tu souris bêtement, c’est peut-être un peu vilain de prétendre que c’est le seul point en commun que vous avez.
@feat Rubi
Awful
*
Contenu sponsorisé

Leçon pour être un glandu cassos [PV Reiner]
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1
Sujets similaires
-
» Au beau milieu de la nuit quand j'me réveille et que j'veux boire. Il est toujours là pour moi, pour étancher mon désespoir. ϟ D R A K E
» idk ★ reiner
» from nowhere (reiner)
» ça devait être toi (harry)
» How does it work ? (reiner)

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
code cosmo :: Cosmopolis :: janha district :: planétarium-
Sauter vers: