ANNÉE 1983, DAVID, DERRICK ET DUSTIN, PASSIONNÉS PAR LA SCIENCE-FICTION ET LA POP CULTURE, DÉCIDENT D'ENVOYER UN MESSAGE DANS L'ESPACE GRÂCE À UN ORDINATEUR SOPHISTIQUÉ DEPUIS LEUR PETIT GARAGE À COSMOPOLIS, DANS LE CONNECTICUT. PUIS C'EST PARTI EN COUILLE.PLUS DE TRENTE ANS APRÈS, GRÂCE AUX EXPLOITS INFORMATIQUES DES "3D" (POUR "THREE DICKS"), LES ALIENS FOULENT ENFIN LE SOL TERRESTRE ! MAIS À QUEL PRIX ? C'ÉTAIT À L'ÉPOQUE UNE SIMPLE PASSION. NI FEMME, NI EMPLOI, DAVID, DERRICK ET DUSTIN ONT PASSÉ LE PLUS CLAIR DE LEUR TEMPS (ET LEUR VIE) À ÉTUDIER L'ESPACE ET LA POSSIBILITÉ DE LA VIE AILLEURS QUE SUR NOTRE BELLE PLANÈTE. SANS DIPLÔMES OU CERTIFICATS, ILS SE CONTENTENT DE CONCEVOIR DES ORDINATEURS ET AUTRES SOFTWARES CHEZ EUX DANS LE SEUL INTÉRÊT D'ENVOYER UN MESSAGE AU-DELÀ DE LA SURFACE TERRESTRE. ILS L'ONT APPELÉ CODE COSMO EN HOMMAGE À LEUR VILLE CHÉRIE (C'EST FAUX, ILS N'ONT JUSTE AUCUNE IMAGINATION), COSMOPOLIS.
EN COURS D'AFFICHAGE (WADE ET LE CODE SE BATTENT)

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fiction & réalité / tony

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CODE KING - DEADPOOL
Wade Wilson
Crédits : 7
Wade Wilson

Lun 27 Aoû - 21:57
WADE, CONNECTÉ VIA SON COMPTE SUR FANFICTION.NET...
fiction & réalité / tony 180827092850625302





AMBIANCE BÉBÉ
RÉSIDENCE STARK.
02:30 a.m

Ce collant me gratte - comment il fait Steve pour ne pas faire de réaction allergique ? Je suis sûr que je vais être obligé de consulter un dermatologue… Bordel… (Tu aurais pu choisir un legging aussi, quelle idée de prendre un collant en laine…) C’est le seul truc bleu que j’ai trouvé chez ce Pakistanais ! (Mh.) Bon. Comment je fais pour rentrer dans la baraque d’un type qui a inventé l’alarme-incendie ? (Hein ? Il n’a pas inventé l’alarme-incendie Wade !) Il a forcément inventé une alarme de ouf ! (Oui, ça, c’est sûr.)

Ok. Réfléchis.
Ah. J’ai ma ceinture de téléportation.
(Pour une fois que tu y penses…)
QUOI ? J’y pense aussi souvent que je pense à respirer !
(Respirer ne nécessite pas la pensée, fort heureusement pour toi…)

Il me suffit d’entrer les coordonnées exactes - attend, c’est quoi les coordonnées exactes de sa chambre ? (Regarde sur google map, fou le pointeur au milieu du bâtiment, tu verras bien.) Pas bête. Bon. Click ! En avant l’avennnnture !

SPLASH ! Génial. De tous les endroits de sa baraque, fallait que j’atterrisse dans sa piscine. J’espère que c’est sa piscine d’ailleurs. Imagine c’est celle de son voisin ? Oh la lose ! Imagine, c’est un bassin remplit de piranhas ? (Tu veux qu’elle soit à qui ? Elle est sur son toit, pauvre tâche ! Et d’où il y’aurait des piranhas ?) Comme dans les films de super-vilains ! (Tony est un héros.) Mh. Certes. Bon, faut que je sorte de là !

Hop ! Hop ! Hop ! Hop ! Hop ! (Arrête avec tes Hop ! c’est ridicule !) Je te l’ai déjà expliqué une fois : cela me donne de la force mentale quand je dois me servir de ma force physique. C’est un truc de soutient psychologique - je l’ai lu dans Santé Magazine. (Tu crains.)

C’est trempé, grelotant et apeuré - tel un pauvre lionceau abandonné dans le désert, attendant que le soleil réduise sa carcasse en cendres - car trop habité par le poids du péché - mais soudain ! Deux étranges animaux le remarquent, le secourent - la vie n’a pas renoncé à lui et - (WADE ! TU ARRÊTES DE ME REJOUER LE ROI LION ? TU TE FOCUS, PLEASE ?) Roh, t’es pas drôle. L’ambiance s’y prêtait ! (Pas du tout, tu ne ressembles pas à Simba mais plus à une serpillère ayant niqué avec Freddy les Griffes de la Nuit.) Connasse.

Je m’avance à pas de loup jusqu’à la porte - baie vitrée - trappe ? - on ne sait pas - offrant l’accès à l’intérieur du logis. J’espère que mon sac à dos n’a pas trop morflé, sinon ma lettre est fichue ! (Hélas, ton immonde sac à dos Petit Poney est intacte.) TROP SUPER !

Je n’y vois rien. Je fais comment pour trouver sa chambre ? ET SI RÉGIS ME CAPTAIT ? (C’est qui Régis ?) Son robot pervers qui voit tout et parle tout le temps ! (… Jarvis, pauvre ignare.) Aaah. Alors ! S’il me capte ? (Mh. Tu cours ?) Niquel Miguel, je suis avancé là.

Je vais prier Jésus et Marie-couche-toi-là que ma présence passera inaperçue jusqu’à ce que j’atteigne sa chambre. (Tu comptes te tirer comment, une fois ton forfait commit ?) La ceinture, abrutie ! (Je demande à voir…) Tu verras !

Après m’être introduit dans : la buanderie - les toilettes, j’en ai d’ailleurs profité pour faire un petit pipi - la buanderie à nouveau - une salle non identifiée, il me semble y avoir distingué une table - ENFIN, je trouve la la pièce tant espérée. Il faut que j’agisse vite - pas trop, pour avoir le temps de prendre des photos de qualité et ajuster ma voix de sorte qu’il me prenne vraiment pour Steve - assez pour déguerpir quand il aura réalisé que je ne suis pas Steve.

Je sors délicatement, sans bruit aucun, pas même un grésillement de tirette , pas un soupçon de cliquetis métallique, pas un souffle de trop de ma bouche, pas u- (Tu nous passes les détails ?) - la lettre de mon sac. J’allume la lampe torche dessus. C’est le moment.

« TONY, MON AMOUR ! » JE HURLE. (OUI J’AI CAPTÉ ! SUPER LA ROMANCE !) « ICI STEVE RODGERS, LE CAPITAINE AMÉRICAIN ! » J’arrive pas à me relire putain - ok je vais improviser à moitié. « JE SUIS VENU TE DIRE, QUE JE M’EN VAIS… » Ah non, ça c’est la chanson que Dopinder fou toujours dans son taxi. « QUE JE T’AIME ! JE SUIS FOU DE TOI TONY ! AYONS UNE VIE À DEUX, DES ENFANTS… JE T’EMMÈNERAIS VISITER TOUS LES PLUS BEAUX PAYS DU MONDE, MÊME LE CANADA, EN FAIT C’EST LE PLUS BEAU MAIS LÀ N’EST PAS LA QUESTION ! » (T’es obligé de continuer de gueuler ? T’es au courant qu’on dirait une vache en pleine mise-bas ?) « SCELLONS NOTRE AMOUR PAR UNE PREUVE CONCRÈTE, UNE PHOTO, OU PLUSIEURS, QUE J’EMPORTERAIS MAIS TE RAPPORTERAIS UN JOUR TELLEMENT JE T’AIME ! » Je saute sur le lit, l’enlace par un coude, sort mon appareil photo - le tout, je tiens à préciser, très rapidement et efficacement - et mitraille.



Ok je mitraille du mauvais côté. (Si t’avais vérifié aussi…) Ok. Je perds du temps là. C’est bon, ça y’est, c’est du bon côté. Allez, le gros baiser baveux ! Mhh, aaaah, c’est tiède… (C’est son oreille…) SHIT.

JE DOIS FILER LÀ ! Ma montre - t’as vu, j’ai pris celle Dora l’exploratrice ? (Au secours…) - elle vient de sonner. J’sais pas quelle heure il est mais … Qu’importe.

Je me précipite hors du lit, trébuche sur je ne sais pas trop quoi, me prend un mur - déchire mon beau collant bleu. ET MON MASQUE ! AH NON ! J’ai mis deux heures à le confectionner… Grâce à lui, je ressemblais à 100% à Steve. (Non, trop pas, on aurait plus dit un travestis clochard en manque de cocaïne.)

HAN ÉCOUTE ! JE CROIS QUE RÉGIS EST RÉVEILLÉ !
Ma ceinture, vite ! OH NON, ELLE EST TOMBÉE QUAND J’AI DÉCHIRÉ MON COLLANT.

(Loser.)
*
IRON MAN
Tony Stark
Crédits : 1
Tony Stark

Jeu 20 Sep - 10:56


Lemon, lemon, and yaoi.

Fiction & réalité.

Tony dormait.

En soit, cela pouvait sembler anodin, mais pour quiconque le connaissait, c’était un miracle. Le milliardaire qui ne dormait jamais. C’était comment l’avait nommé un jour la presse quand il s’était pointé à un live avec des valises sous les yeux, que même le maquillage perfectionné n’avait pu  retoucher. La cause ? Les cauchemars, toujours. Ses traumatismes, enfouis à l’intérieur de lui, ses peurs, ses craintes. Alors, pour éviter d’y être confronté, il ne dormait pas. Il travaillait, jour et nuit, sans aucun repos, sans aucune pause.

Et des fois, quand il n’avait pas le loisir de bosser, il invitait des femmes.

Passe-temps comme un autre.

Mais cette fois, ce jour-là, ce qu’on peut compter comme un autre miracle, il n’y avait personne d’autre dans son lit.

Ni femme, ni homme.
Ni Pepper, ni Captain.

Le playboy était seul.

Ou presque.

Véritable coup de chance pour DP, Tony venait de lancer une MàJ pour son IA. F.R.I.D.A.Y. était HS. Bien sûr, son inventeur étant prévoyant – toujours un "on ne sait jamais" –, une alarme de secours devait prendre la relève. Sauf que, comme un malheur n’arrive pas seul, cette alarme aussi se trouvait avoir un petit bug dans la matrice, chose que Tony n’avait pas prévu.

Tout bénef’ pour une intrusion non programmée, pas vrai ?

Le bruit du plongeon le tira à moitié de son sommeil. Il se redressa sur ses avants-bras, clignant plusieurs fois des yeux pour les habituer à la pénombre. Une porte claqua. OK, y’avait un souci.

Il s’apprêtait à se lever quand la porte s'ouvrit en silence, une silhouette se découpant dans l'encadrure. Steve ? Stark cligna à nouveau des yeux. Non, impossible, Steve l'aurait prévenu, même en temps de froid. La silhouette sembla farfouiller dans un sac quelque chose, dans le silence le plus parfait – mais elle n'avait pas semblé remarquer que sa cible était réveillée. Cible qui tendait justement la main à sa gauche, tâtant sa table de nuit à la recherche de sa montre. Pas pour lire l'heure, bien sûr que non, mais plutôt pour avoir à se défendre.

C'est fou, n'empêche, les méchants qui viennent t'attaquer quand tu peux enfin souffler un peu.
Faudrait instaurer une sorte de trêve vacancière.

Il était sur le point de l'attraper quand soudain le type hurla dans la pièce, devant un Stark ahuri qui essayait de capter les infos que débraillait l'autre gars. Il lutta furieusement entre l'envie de rire qui montait en lui et fronça les sourcils dans la pénombre.

C'est ça la nouvelle technique d'approche des vilains ? Sérieusement ?

Puis tout s'enchaîna très vite et il eut nettement moins envie de rire. Un truc lui fouilla l'oreille, humide, et en grimaçant de dégoût, Tony tenta de s'échapper en gigotant comme un asticot. Sexy.

Bipements.
Alerte aux renforts ? Bombe ?

Non, non, montre Dora.

Et ça lui traversa l'esprit comme un éclair de lucidité. Qui était assez taré pour porter une montre Dora et s'habiller en Captain pour déclarer son amour à Tony ? Qui ?

« Wade ?! »

Parlant de montre, il choppa la sienne, qui se déplia en gant de secours, avant de sauter hors du lit. Cette connexion entre la technologie et son créateur arrêta brutalement la MàJ, et l'alarme se mit à sonner de la plus stridente des manières.

Il s'avança vers Wilson, et, avant que ce dernier n'ait eu le temps d'attraper la ceinture qui venait de tomber à ses pieds, Stark se pencha d'un mouvement souple et la récupéra avant de se reculer. Il connaissait les techniques de combat de son adversaire, et mieux valait être loin de lui. Il pointa alors son gant vers sa tête.

« Qu'est-ce que... Qu'est-ce que tu fiches là ? »
@WadeWilson
...
*
CODE KING - DEADPOOL
Wade Wilson
Crédits : 7
Wade Wilson

Jeu 20 Sep - 14:53




AMBIANCE BÉBÉ
RÉSIDENCE STARK.
02:48 a.m

Quand j’avais six ans - à peu près, je ne suis plus très sûr - j’ai été transféré dans une école primaire aux moeurs très pieuses. Tu vois le genre ? La messe tous les midis, le mercredi, les cours de catéchisme, les bonnes soeurs qui sont disponibles tous les soirs pour t’écouter confesser tes mensonges… Cette ambiance, elle m’a salement marqué.

Positivement marqué.

La religion, en fait, ça m’a toujours inspiré. (Je me demande en quoi.) Être à ce point cloisonné, conditionné et surveillé… C’est comme mettre un couvercle sur une marmite d’eau chaude - en deux secondes, elle frémit et la vapeur s’échappe. Tu piges ? (Non.) Là où je veux en venir c’est que, cette fameuse ambiance religieuse, ça m’a nourri l’imagination. Y’a qu’en rêves que je pouvais m’échapper, jouer les sales types et fantasmer sur des nichons. (T’avais six ans… J'hallucine…) J’ai toujours été précoce - sauf au lit.

Du coup, je m’étais lancé dans l’art du dessin de pénis. J’adore les pénis, tu le sais. J’trouve ça très beau, parfois même très drôle. J’en dessinais par dizaines, tout le temps, partout - dans mes cahiers, sur les portes des toilettes, dans la buée des vitres. J’en avais même dessiné un géant sur le casier d’un de mes crushs - une manière de lui signaler mon intérêt. J’étais devenu le Da Vinci des zizis ! (Où est le rapport avec la situation actuelle ?) Le rapport, c’est le pénis ! (Je ne comprends pas !) Mh. Certes.

Tony est nu. NU. Je vois donc son pénis. (Ok…) Ça m’a fait un flashback de ce temps jadis où j’en dessinais. Capiche ? (Ok, ok.) Par ailleurs, son pénis c’est totalement le genre à m’faire vibrer artistiquement parlant - superbe courbe, belle couleur… (Arrête c’est gênant.) Mh. C’est dingue. J’en reviens pas.

IL EST NU. NU ! ENTIÈREMENT NU ! PUTAIN DE NU ! J’fais quoi ? JE FAIS QUOI ? (Tu te casses ?) NON. Pas maintenant que je bande. (T’es sérieux Wade ? T’ES SÉRIEUX ?) Précoce partout - sauf au lit, je te l’ai dit. (Tu es abjecte ! )

En même temps, il est sexy le super-héros - Marvel, s’est surpassé en le créant, encore plus lorsque les studios ont choisis Robert Downey Jr… Je bande, je bande, je baaaaaande… (Évite ! Sous ton collant bleu déchiré dégueulasse, ça se voit.)

Téma ces abdominaux, sa coupe rock’n’roll et ce fessier d’Adonis… (Si tu ne te casses pas dans la minute qui suit, j’te jure Wade, j’crée le bazar dans ta cervelle.) Y’a déjà le bazar. Oh et, comment veux-tu que je me casse alors qu'il détient ma ceinture de téléportation ? (Bordel…) C’est bête, j’suis obligé de rester… Hehehe.

Bonsoir Adam, je suis Dieu - j’ai emprunté l'apparence de Wade, car tu comprends, il est magnifique. On recrée le Paradis sans Ève ? Sauf que c’est pas avec de la glaise que je compte façonner l’Humanité 2.0. Ah non. Je compte la façonner en passant par toi ? En toi ? Sur toi ? Ciel, me voilà embêté, je ne sais quelle formule est la bonne… (Effectivement, je vois maintenant en quoi la religion t’as inspiré.)

Évitant soigneusement de faire un geste brusque - je n’ai pas envie d’avoir la gueule atomisée par son gant magique - je m’assieds sur le matelas, jambes croisées et sourire goguenard en prime. Il est vrai que, au vu de ma tenue, je perds en crédibilité - quoique… Même habillé d’un sac plastique, je resterais le plus badass et le plus hot des mercenaires. Sexy motherfucker hinhinhin, of course. (Ça va, t’as pas envie de t’sucer non plus ? Tu n’souhaites pas plutôt fuir ?) J’ai réussi une fois, en me cassant deux/trois côtes, mais c’est bizarre. (…)

À la base, mon cher Tony, je comptais venir prendre des clichés de toi et de Steve, que, comme tu l’auras remarqué, j’ai habilement cosplayé… Le but ? Alimenter mon site de fanfictions et faire exploser les hormones de mes fans. Mon sourire s’étire, un brin plus vicieux.

Steve et toi êtes mon fantasme, j’écris des romances très érotiques vous concernant. Or, mon plan a échoué. Bouhouhou. Pauvre moi. Pauvres fans. L’ironie de ma voix à peine voilée, je conclue finalement ces aveux par de retentissants applaudissements. (Tu es cinglé.) Trêve de pleurnicheries. Le scénario du Paradis 2.0 m’excite bien plus, pour être honnête.

Suite à quoi, je tapote d’une main l’emplacement à ma gauche, les yeux coulants d’amour - l’invitant ainsi à s’asseoir à mes côtés. (Coulants d’amour ? Tu veux rire ? Tu suintes la lubricité la plus malsaine.) N’exagère pas. (Je n’exagère pas.) Soit. Enfin, il faut bien que je sois raccord à mon corps, non ? Je ne vais pas gazouiller de niaiserie alors que j’ai une trique sévère ? (…)

*
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