ANNÉE 1983, DAVID, DERRICK ET DUSTIN, PASSIONNÉS PAR LA SCIENCE-FICTION ET LA POP CULTURE, DÉCIDENT D'ENVOYER UN MESSAGE DANS L'ESPACE GRÂCE À UN ORDINATEUR SOPHISTIQUÉ DEPUIS LEUR PETIT GARAGE À COSMOPOLIS, DANS LE CONNECTICUT. PUIS C'EST PARTI EN COUILLE.PLUS DE TRENTE ANS APRÈS, GRÂCE AUX EXPLOITS INFORMATIQUES DES "3D" (POUR "THREE DICKS"), LES ALIENS FOULENT ENFIN LE SOL TERRESTRE ! MAIS À QUEL PRIX ? C'ÉTAIT À L'ÉPOQUE UNE SIMPLE PASSION. NI FEMME, NI EMPLOI, DAVID, DERRICK ET DUSTIN ONT PASSÉ LE PLUS CLAIR DE LEUR TEMPS (ET LEUR VIE) À ÉTUDIER L'ESPACE ET LA POSSIBILITÉ DE LA VIE AILLEURS QUE SUR NOTRE BELLE PLANÈTE. SANS DIPLÔMES OU CERTIFICATS, ILS SE CONTENTENT DE CONCEVOIR DES ORDINATEURS ET AUTRES SOFTWARES CHEZ EUX DANS LE SEUL INTÉRÊT D'ENVOYER UN MESSAGE AU-DELÀ DE LA SURFACE TERRESTRE. ILS L'ONT APPELÉ CODE COSMO EN HOMMAGE À LEUR VILLE CHÉRIE (C'EST FAUX, ILS N'ONT JUSTE AUCUNE IMAGINATION), COSMOPOLIS.
EN COURS D'AFFICHAGE (WADE ET LE CODE SE BATTENT)

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Nous frapperons le soleil de nos paumes grandes ouvertes xx Iphigénie

*
Iphigénie
Crédits : 0
Iphigénie

Mer 22 Aoû - 22:52

Iphigénie de Fontainebleau

Ceux qui n'ont inventé ni la poudre, ni la boussole

alias : Pas du tout, si ce n'est que tout le monde l'appelle Iphy.
âge : 19 ans.
race : Métisse Lyme.
statut financier : Moyen.
groupe : Citizeeeens.
occupation : Travaille à mi-temps à l’entretien du parc de la banlieue xx Elève une quinzaine de cotons de tuléar à l’arrière de la maison, dans un petit chenil. xx Photographe plus ou moins amateur  xx Entretient un potager assez impressionnant aussi xx Étudie par elle-même le spiritisme, le surnaturel et l’ésotérisme.
origine : De la cité même, du coup. Ou de la banlieue. As you wish.
pouvoir : Empathie florale.
Sur des nœuds d’énergie, Iphigénie peut ressentir des intuitions concernant le futur proche. Ces intuitions restent toujours imprécises : elles se manifestent davantage sous la forme d’une émotion « demain il arrivera quelque chose de mauvais » plutôt que d’une construction rationnelle : « Demain à 14h24, à l’angle de telle rue… »
Les nœuds d’énergie se situent majoritairement sur des zones boisées / sur des zones encore laissées à la nature. Ils peuvent cependant aussi se situer en plein cœur de la ville, dans des lieux chargés de mémoire ou témoins d’un évènement tragique.
Lorsqu’Iphy ressent une intuition, celle-ci se matérialise sous la forme d’une fleur sur son corps. La fleur ne la blesse pas physiquement mais peut l’handicaper quelques jours (lors de ses intuitions les plus puissantes, elle peut pousser au-dessus de son œil ou sur ses poumons. Lel.) et apporter une importante sensation de douleur physique. Au bout de quelques heures ou de quelques jours, en fonction de la puissance de l’intuition, la fleur redevient poussière.
Si Iphy se concentre sur la fleur, elle peut ressentir une intuition plus précise, mais aussi beaucoup plus douloureuse. La signification de la fleur lui donne également quelques indications sur ses intuitions.

Aérienne • Control-Freak • Changeante • Craintive • Curieuse • Délicate • Douce • Égocentrique (elle calcule peu son entourage) • Émotive • Extravertie (de rares fois) • Fragile • Hyperactive (et flemmarde, SI c’est possible) • Imaginative • Imprévisible • Impulsive • Introvertie • Intuitive • Lâche • Maladroite • Nébuleuse • Observatrice • Paradoxale • Parfois un peu timbrée (c’est facile à dire, mais si juré) • Prudente • Silencieuse • Sociable • Souriante • Timide • Tête en l’air • Trop petite pour vivre.


Iphigénie, Iphigénie,
Haute en couleur Iphigénie mais si misanthrope de ses respirations nouées en noir et blanc, si soigneusement calculée dans chacun de ses gestes – elle est maniaque du contrôle, dira-t-on, tout est prévu, ordonné, rangé et pourtant sa vie demeure si chaotique lorsqu’elle s’égare à être dans sa bulle –

Elle ressemble au matin, Iphigénie. Oiselle de n’être éveillée qu’à moitié mais de se trouver déjà bien mieux lotie que les hommes (ailes de plomb valent toujours mieux que membres écorchés vous dira-t-elle les bras calcinés par le soleil – c’est dire si elle ne fait pas exprès de se brûler comme Icare le fit en son temps, non pour s’échapper mais pour discerner à l’horizon l’un de ces futurs qu’elle n’ose pas explorer, avec une curiosité que sa peur ne parvient pas à enticher) ;

Si transparente Iphigénie, qu’elle est un cancrelat de roches poreuses qui roulent sur la peau mais ne se dévoilent pas, s’échappent aux regards lorsque l’on ne la connaît pas ; elle est une rive calme et sans heurt que pourrissent des lèvres grenats ;
Enfantine valkyrie qui se refuse à grandir, possède dans ses mains toutes les armes pour réussir mais prétend encore les chercher – la vérité est plus lourde de conséquence qu’un mensonge enfouit dans un quotidien qui ne semble pas routinier ;

Elle sait, pourtant. Que la ville peut se remplir de cauchemar. De monstres cancérigènes à l’effigie humaine.
Elle les craint, ces vivants qu’elle croit tant encenser. Qu’elle croit aimer à se fendre les doigts et les lèvres sur l’arrête coupante des graviers.  

Alors elle vit toujours sur un pied, Iphigénie.
Jamais un souffle trop haut ne viendra ternir sa carne fragile, (elle dira que c’est pour ne pas effrayer les oiseaux mais ce sont vraiment les vivants qui lui font peur) jamais un pas trop audacieux ne l’amènera jusqu’aux quartiers les plus mal fréquentés ; elle aimerait connaître les grands airs et les profondeurs mais elle ne s’éloignera jamais du niveau de la mer – l’air est trop lourd pour ses poumons frêles ;

Elle se contente de graver le haut des immeubles dans l’objectif en se demandant si eux aussi sont faits de pierres ou plutôt de chairs humaines.

Alors elle se suit, et elle se nie.

Iphigénie elle n’est jamais ici par hasard mais si vous lui posez la question, elle dira qu’elle ne fait que passer – parce qu’elle n’est pas hardie la petite, elle ne veut pas (contrairement à tous les autres humains) laisser son empreinte sur le monde, elle préfère se laisser écraser
Par l’immensité des montagnes ;
Des rivières ;
Des étoiles.

Et parfois aérienne pourtant mais juste quand on ne la surprend pas, quand le monde se tend pour lui laisser une place qui n’appartiendra jamais qu’à elle, c’est avec candeur qu’elle pose ses pas sur le sol, lentement, pour ne pas déranger ou peut-être pour ne pas réveiller ceux qui dorment ;

Parce qu’Iphigénie, elle n’ose pas.
Trouver une place dans ce monde qui n’est qu’un parmi les mondes.
Comprendre qu’elle peut aussi bien être oiselle qu’être humaine, pourvu qu’enfin elle libère ces lèvres qui ne demandent qu’à embrasser le soleil.

Alors, tant que nul amour ne transformera ses traits d’enfants, elle se contentera d’être lunaire.




Dans la nuit du tombeau j'enfermerais ma honte (Musique)

—Elle sera trop fragile pour vivre,
—Comme sa mère, et pourtant celle-ci a vécu.



Blanche obélie qu’une lune pourprée avait relevé de son tombeau, Iphigénie était née avec le visage cassant d’une pierre précieuse, avait expiré son premier souffle un mois avant son terme. Couvée dans l’ombre et l’aubépine, ses lèvres formées d’un sourire passé les premières larmes de la naissance, son visage se tranchait de deux homochromes si pâles que son père s’était un instant demandé si elle n’avait pas appartenu à un autre monde avant de naître sur celui-ci.

Il faut dire que l’enfant, dès ses plus jeunes années, avait porté haut sur ses omoplates les cancrelats lunaires des lymes, dont elle était rapidement restée le seul témoin de la famille, puisque son demi-frère (de cinq ans son aîné) s’avérait parfaitement et proprement humain, alors que sa mère, à peine trois ans passé, était partie sans prévenir pour goûter des parfums d’ailleurs – et ne se donnera sans nul doute jamais la peine de revenir. Père et frère s’occupèrent donc de cette enfant trop petite, dont les boucles blondes et un peu crépues rappelaient le plissement de la soie, et se fendaient trop rapidement de carmin lorsque les rires d’Iphigénie s’effaçaient face aux pleurs et aux blessures d’une de ses – trop – nombreuses chutes.

L’enfant était fragile, déséquilibrée.
Incapable de courir sans tomber. Incapable de marcher sans accrocher dans son sillage quelques lambeaux de carnes et de rires, d’étoiles et de lune – qu’on lui accordait mal volontiers, puisque l’enfant s’obstinait à sortir la nuit tombée.

Elle était une âme miraculeuse, et, dès qu’elle sût enfin courir, s’appliqua à graver le sol de ses paumes grandes ouvertes, et le ciel des hailles qui tranchaient sa peau de lueurs plus blanches. Sa frimousse cristalline, qui se brunissait si aisément de passer ses journées dehors, elle ne l’épargnait qu’à la faveur du soir, quand l’enfant retrouvait les chiens de son père et qu’elle s’acharnait toujours à faire dormir dans son lit malgré la protestation paternelle.

Elle vivait simplement, comme dans un songe. Aimait la nature. Détraquait toutes les technologies, sans qu’aucun magnétiseur ne puisse expliquer précisément un si étrange phénomène. Ne se perdait cependant pas davantage dans la ville que dans la banlieue, et s’accommodait fort bien de ces appareils qu’elle brisait si facilement, lorsque son air lunatique ne laissait pas à penser qu’elle s’égarerait peu importe l’endroit où elle se trouverait.

Il y avait là quelque chose d’étrange dans ce corps si fragile de jeune fille, dans ces lèvres ourlées de gospel sumérien, quelque chose dont le grain rappelait le mouvement des cendres – de brusques arrêts sur images, fugaces sensations de doigts appuyés sur sa nuque alors qu’Iphigénie cessait un instant de respirer, regardait en arrière sans que nul ne soit capable de voir qu’elle ne se projetait que vers l’avant ;

Elle voyait. Ressentait. Des choses que, manifestement, elle n’aurait pas dû être capable de ressentir.
L’on disait que c’était peut-être la maison qui avait cet effet sur elle, que ça lui passerait en grandissant ; que les anciens murs et les infimes craquement du bois sous ses pas favorisaient l’hallucination, parés de monstres ou d’étranges fantômes inventés par sa tête infantile ;

Pourtant, parfois,
Elle anticipait
Savait, avant que les choses ne se produisent.

Elle n’en avait jamais parlé.
Je suis étrange, se contentait-elle de dire, mais je guérirais un jour, parce qu’on guérit toujours des maladies de l’enfance ;
Pourtant elle conservait un air de tombeau mal fermé dans ces cernes aux ailes d’euplecte mal dessinées, à peine esquissées ;
Comme si l’opale s’était parée d’obsidienne par simple attrait du vice.


— Elle ne sait pas, Iphigénie, ne savait pas et n’a sans doute jamais su — si ce qu’elle ressentait pourrait la mener jusqu’à la félicité, ou davantage vers le déluge –


Alors l’enfant grandissait.
Ne conservait de sa mère manquante qu’un unique demi-souvenir (nul ne s’expliquait qu’en l’absence maternelle un être puisse devenir si sensible, si explicitement fragile et délicat) qui lui esquissait une stature de lyme fine et bien courtoise, un roseau gracile qu’on ne s’égarait pas à plier par crainte qu’il ne se rompe – et pourtant elle ne se rompait jamais et ne se pliait pas moins ;
Le monde avait déjà bien trop d’emprise sur elle, murmurait la jeune Iphigénie, pour que les hommes et les aliens en possèdent aussi.

Alors elle avait trouvé quelques cartes et quelques livres réédités en version numérique, avait planté des plans de sauges et d’aubépines derrière son propre potager, puis avait commencé à étudier le(s) monde(s) d’ailleur(s).
Quelques fleurs de lotus d’un pouvoir nouvellement éveillé tranchant la peau fine et cartésienne de ses poignets d’enfants.
Elle l’avait caché, un temps, sous soupanes et gantelets ; puis avait avoué à son père que, comme celui de tous les enfants métisse, son ADN avait probablement muté.

Elle sentait.
L’immensité dévorante de ce précipice au bord duquel sa naissance l’avait dessinée. Et pourtant aérienne la jeune oiselle suivait trop jeune des intuitions étranges qui, une ou deux fois, l’avaient amenée au bord d’une scène de crime ou d’un mur trop fraichement repeint pour être vierge de tout trauma ;
Puis avait cessé de s’écouter, après s’être aventurée une fois de trop aux abords du district 12.

(De cette agression l’oiselle ne se souvint jamais vraiment ; seul revenaient parfois sous son crâne le claquement sourd de bottes usées sur les pavés, et le frôlement plus subtil des amarantes rougies qui fleurissaient par touche sur ses joues et ses poignets).

Après être sortie de l’hôpital, Iphigénie avait remplacé les intuitions par la photographie. Sa curiosité par des explorations dans des zones tranquillement urbaines, où elle saisissait tour à tour perles et cancrelats, visages humains et traits aliens. Son doigt flanchait l’obsidienne de l’objectif avec une hésitation qu’elle avait rapidement faite caduque (celle de figer artificiellement un instant fait pour défiler sans empreinte dans les mémoires), et elle aidait son père à l’élevage pour remplacer l’appareil numérique qu’elle avait reçu pour son onzième anniversaire.

Elle contrôlait.
Haute en couleur mais si misanthrope de chacune de ses respirations, la jeune fille éprise du soleil venait ternir son portrait d’une ombre de prudence carmine dans laquelle elle planifiait chacune de ses actions, étudiait les quartiers avant de s’y aventurer en toute imprudence, purifiait compulsivement maison et nœuds d’énergie avec des petits encens qu’elle fabriquait elle-même. Pourtant jamais les sourires n’avaient jamais autant fendu ses lèvres qu’une fois atteinte sa quinzième année, et elle s’égarait même à s’aventurer le soir dans les ruelles du centre, pourvu que celles-ci soient fréquentées de milles rires à photographier, et non de mille écorchés à provoquer.

Elle fréquentait le lycée, la journée. Rentrait parfois avec quelques connaissances avec lesquelles elle ne se liait guère, puis photographiait, plantait, arrosait, nourrissait, jouait, brossait, fabriquait, bricolait, peignait, dessinait, lisait.
Elle en oubliait même d’étudier – mais être aussi lunaire pourrait-il jamais avoir eu le goût des études, après tout ?

Ses iris se faisaient carcèmes, des ailes de jais bientôt teintées par la dix-septième puis par la dix-huitième année, qui ne laissaient sur son visage que le songe tenace d’un refus de grandir réellement. Elle fuyait. Rêvait d’ailleurs sans jamais oser poser un demi-pied au dehors. Aux études supérieures, fardées dans son esprit d’une responsabilité que la désormais jeune adulte refusait encore d’assumer, elle avait préféré continué à s’occuper des chiens, à cadrer quelques photographies et à prendre un petit emploi dans le parc de sa banlieue ; elle sentait fleurir les myosotis aussi bien sous ses mains que dans le fil de sa peau, au rythme d’intuitions qu’elle apprenait à découvrir à nouveau.  

Et elle faisait toujours jeune, Iphigénie, aussi étrange, si ce n’est que ces cernes d’enfance s’étaient effacées face à la lueur lissée de paupières photographiées et parfois un peu maquillées. Parfois un peu ternies, aussi, lorsqu’elle rentrait tard le soir et qu’elle demeurait seule avec les infinis bruissements de ses pieds sur le bois vieilli de la maison ;– son frère rentrait tard, désormais, et son père ne rentrait plus qu’une fois par mois.

Alors elle comblait le vide avec des myosotis, des flabelles clairvoyances qu’elle accrochait dans le lustre du salon avant de se pendre au-dessus de la balustrade, les pieds dans le vide et les yeux bien lointains de ce monde auquel elle ne croyait plus totalement.  


— Certains disent que c’est à ce moment qu’elle a commencé à parler seule, pour combler le silence ;
— Elle y répondra qu’elle n’a nul besoin de combler le silence, quand elle possède un million de foyers.
u.c.




Vit dans une maison avec son frère, quelque part entre la banlieue et Serissa – Leur père travaille la majorité du temps dans d’autres villes – Travaille à l’entretien du parc, elle ramasse parfois les déchets mais le plus souvent elle s’occupe des plantes – Elle élève des cotons de tuléar dans le jardin – Entretient aussi un potager et un jardin fleuri — D’ailleurs elle a la main particulièrement verte – Fait de la photographie en amateur – Et touche un peu à tout (peinture, dessin…) mais revient toujours sur la photographie – Contrairement aux idées reçues, elle adore photographier des paysages urbains – Elle se sent aussi à l’aise en ville qu’en banlieue, c’est juste qu’elle n’est pas douée avec la technologie – Elle adore les grands immeubles – Fabrique des attrapes-rêves – Lit dans les lignes de la main et dans les cartes, mais personne ne sait si elle affabule ou si elle possède vraiment un don pour le spiritisme – Elle se parle toujours toute seule, à voix haute – Quoique on ne sache pas si elle parle réellement toute seule – Elle purifie toujours les pièces de la maison, de manière presque compulsive, avec des mantras, des pierres et de l’encens – Avec son pouvoir, elle sait situer les nœuds d’énergie dans la ville et les évite souvent de manière imprévisible – Sans donner d’explication, ce qui l’apparente à une tarée – Elle paraît toujours dans sa bulle (ce qui n’est pas nécessairement faux) – Son comportement est parfois imprévisible, d’ailleurs – Elle est curieuse d’à peu près tout et observe, mais n’ose pas vraiment poser de questions – Elle est assez calme mais peut devenir étonnamment extravertie par moments – Elle collectionne les petits alphabets d’autres langues & d’anciennes civilisations humaines & aliens — Elle adore également les cartes et les dessins de constellations – Elle est très maladroite, particulièrement avec la technologie – Parfois elle voudrait bien utiliser son pouvoir pour aider, mais ça reste un rêve pour le moment – Elle porte un ancien nom de noble français mais sa famille en a perdu l’origine depuis longtemps. – Elle dort beaucoup, plus d’une dizaine d’heures par nuit si on ne la réveille pas – Elle se couche souvent au milieu de la nuit, d’ailleurs – Elle adore marcher dehors le soir, ou passé minuit – Mais uniquement dans des zones sécurisées – Son frère l’allume toujours à ce propos, d’ailleurs – Elle se cogne toujours un peu partout – Elle paraît plus jeune que son âge, génétique ou peut-être un peu du sang alien aussi – Oreiller fluffy sur pattes. – Parfois elle est aussi vive qu’un porte-manteau.


Hola hola alors je change de pseudo tous les deux jours parce que j'ai 3 ans d'âge mental mais sinon en général c'est Alcyon. Je voulais coder une fiche personnalisée et tout et tout mais celle-ci est trop belle & j'ai eu grave la flemme & j'avais pas d'inspi alors j'ai bidouillé un vava bidon et me voici. Vous écrivez tous grave bien j'ai stalké oui alors j'espère que ce bébé personnage crédibilité 0 passera parmi vous  :cry: Jsuis amoureuse des points virgules et des parenthèses sinon, je bois un peu trop de coca (zéro, autant mourir à l'aspartame), ma musique du moment je l'ai notée dans la fiche et le livre le plus proche de moi c'est de la physique (un peu) imbuvable alors on va éviter ahah. Des bisous et des coeurs ♥
*
Nubes
Crédits : 0
Nubes

Mer 22 Aoû - 23:01
Euuuuuuh?
Pourquoi t'es aussi adorable.
Genre une petite métisse Lyme je veux t'adopter.
T'es tellement sweet vraiment tu me fais fondre.

Et aussi en irl: j'ai marqué quasiment la même chose à propos du coca zéro donc I feel u mon enfant de l'espace :h2:
Ah oui j'vais aussi te dire que c'est obliger que je débarque sur ta rs en mode ninja parce que là c'est pas possible au bout d'un moment faut ce rendre a l'évidence il nous faut un lien.

Bref
bienvenue petit être de lumière
hyped hyped hyped
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Elisabeth Myers
Crédits : 0
Elisabeth Myers

Mer 22 Aoû - 23:24
BIENVENUE   :coucou:

ohlala, je crois j'ai eu un coup de coeur sur Iphigénie, elle est douce et compliquée à la fois mais pas trop ? J'ai adoré lire ce que tu as écrit, c'est très la poésance et j'aime beaucoup !
tbh je sais pas quoi ajouter à part que j'ai versé une larme sur le choix de l'ava, parce que c'est un excellent choix :perf:

(et euh, ptet je viendrais t'embêter avec Lizzie parce que spiritisme et surnaturel ? elle va venir présenter son blog, ça c'est sur)

BREF DES BISOUS, COURAGE, AMUSE TOI BIEN ??
*
Iphigénie
Crédits : 0
Iphigénie

Jeu 23 Aoû - 0:29
Merci vous êtes adorables je blblbl *gênée*
J'avais trop hâte de venir ici avec cette petite chose alors tant mieux si elle vous plait

Nube > Jsp pourquoi Iphy a poppé dans ma tête et a dit "écrit moi" alors j'ai obéi
On pourra se faire un lien quand j'aurais fait la rs oui hihi flemme sauve moi en plus ton perso a l'air grave cute (et perché) puis on arrosera tout ça d'aspartame ce sera bien.
+Situation amoureuse : en relation libre avec un arbre, j'ai tellement ris.
Des gros bisous ♥

Elisabeth > Merci pour tout ça ça fait vraiment trop plaisir ;;
J'avoue que j'ai pas-pas-pas du tout regardé ta fiche mais je rattrape ça demain et on verra après si on pourra s'embêter sur un lien why nooot
BISOUS A TOI AUSSI
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FONDATEUR - SPIDERMAN
Peter Parker
Crédits : -594
Peter Parker

Jeu 23 Aoû - 11:28

C'est dans la boîte !

Bienvenue sur le forum

TELLEMENT DOUUUCE et une photographe qui a de l'empathie pour les plantes, ce pouvoir est beaucoup trop pure, qu'est-ce que tu fais dans ce monde de brute :cry: T'inquiètes chez Eurêka on est là pour te protéger heheheheh. BON SINON bienvenue à toi Iphy ! Tu as vraiment une façon d'écrire très fluide, c'était super agréable à lire de bon matin alors MERCI :h2:

Tu peux désormais t'attarder sur la paperasse : recenser ton avatar, ton irl si tu en as un et ton métier. N'oublie pas d'aller poster ta fiche de liens ! Bon jeu !
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Iphigénie
Crédits : 0
Iphigénie

Jeu 23 Aoû - 15:39
Merci pour la valid et blblbl oui ce bébé est trop pur elle aura bien besoin de vous sauf si l'auteur fait la sadique
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