ANNÉE 1983, DAVID, DERRICK ET DUSTIN, PASSIONNÉS PAR LA SCIENCE-FICTION ET LA POP CULTURE, DÉCIDENT D'ENVOYER UN MESSAGE DANS L'ESPACE GRÂCE À UN ORDINATEUR SOPHISTIQUÉ DEPUIS LEUR PETIT GARAGE À COSMOPOLIS, DANS LE CONNECTICUT. PUIS C'EST PARTI EN COUILLE.PLUS DE TRENTE ANS APRÈS, GRÂCE AUX EXPLOITS INFORMATIQUES DES "3D" (POUR "THREE DICKS"), LES ALIENS FOULENT ENFIN LE SOL TERRESTRE ! MAIS À QUEL PRIX ? C'ÉTAIT À L'ÉPOQUE UNE SIMPLE PASSION. NI FEMME, NI EMPLOI, DAVID, DERRICK ET DUSTIN ONT PASSÉ LE PLUS CLAIR DE LEUR TEMPS (ET LEUR VIE) À ÉTUDIER L'ESPACE ET LA POSSIBILITÉ DE LA VIE AILLEURS QUE SUR NOTRE BELLE PLANÈTE. SANS DIPLÔMES OU CERTIFICATS, ILS SE CONTENTENT DE CONCEVOIR DES ORDINATEURS ET AUTRES SOFTWARES CHEZ EUX DANS LE SEUL INTÉRÊT D'ENVOYER UN MESSAGE AU-DELÀ DE LA SURFACE TERRESTRE. ILS L'ONT APPELÉ CODE COSMO EN HOMMAGE À LEUR VILLE CHÉRIE (C'EST FAUX, ILS N'ONT JUSTE AUCUNE IMAGINATION), COSMOPOLIS.
EN COURS D'AFFICHAGE (WADE ET LE CODE SE BATTENT)

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Save my mind •• Drake

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Ethan Fitzgerald
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Ethan Fitzgerald

Mar 16 Oct - 14:50

Save my mindThere may be million things to smile about, but you're definitely my favorite one.

(musique)
Et tu fermes les yeux, ton esprit vogue sur les derniers mots que Drake prononce sans aucune barrière. Tu fermes les yeux, et il flotte sur tes lèvres un étrange sourire, pendant que ta poitrine se serre. C'est si bizarre, si doux et douloureux. Quel est cet orage qui semble se fondre dans ton âme ? Quelle est cette inconnue sensation, qui te fait te sentir comme un enfant sans parapluie, au beau milieu d'une tempête ? Un enfant sans ciré, sans bottes, pieds nu dans le sable, face à la mer agitée.
Quelle étrange image.
Quelles étranges pensées, rythmant ton sommeil.

C'est si... faible.

Faible de ta part, de trouver ce genre d'images inconscientes. Faible de te sentir si perdu, au milieu de ces draps qui ne sont pas les tiens. Faible faible faible. Il tourne sans s'arrêter ce mot si percutant, il tourne, éraflant au passage des lambeaux de toi. Il arrache, déchire, dévoile. Elle est là, elle est face à toi, comme toujours. Elle ne te quitte jamais, elle ne supporte pas de se voiler derrière tes paupières. Elle te suit partout, te tient la main, la gorge. Elle coupe parfois ta respiration, te réveillant en sursaut. Sentant ses doigts si froids sur ta peau. Ses cheveux roux qui viennent chatouiller ton nez. Cette petite odeur de shampoing, malgré les tâches d'huile sur ses vêtements. Devant elle, pas besoin de masque ni faux-semblant. Un peu comme lui, mais c'est différent.

Elle s'énerve Lise, te fait froncer un sourcil en dormant. Elle s'énerve, jalousie. Elle s'énerve, contradictoire. Trouve le bonheur. Ne m'oublie pas. Trouve l'amour. Oublie-moi. Souffre. Je t'aime. Sois heureux. Crève. Meurs. Disparais. Ses mains contre ta gorge. Ca comprime. Encore. Pourquoi tout ça ? Et tu cherches à la repousser, et elle retire ses paumes. Et recule, recule encore, ses talons s'enfoncent dans l'eau qui s'agite. Bientôt la taille, les épaules. Les cheveux coulent au ralenti. Tu veux t'élancer, tu es cloué.

« NON ! » Ta gorge hurle, désespoir. Une main tendue, l'autre sur ta pomme d'Adam. Comme une vieille blessure. Une blessure qui s'ouvre davantage à chaque fois que tu dors. Un dilemme sans fin. Aimer. Détester. Fuir. Poursuivre. Tu ne sais pas quoi faire. Quoi dire. Qui croire. Elle. Ou lui. Qui a raison ? Que crois-tu ? Pourquoi devrais-tu même croire ? Pourquoi ne fuis-tu pas tout simplement, jusqu'au prochain gouffre que tu croises ? S'en est pathétique. Tu es pathétique. D'être aussi perdu, détruit. Alors qu'il est là, qu'il te regarde, qu'il te protège pendant ces cauchemars.

Tes mains tremblent un instant, et tu te redresses, en sueur. Il est là, il t'observe, et tu te sens si mal. Et tu te lèves brusquement, tu aimerais qu'il ne te voit pas comme ça. « Laisse-moi. » Tu essayes de fuir, tu aimerais atteindre cette porte, mais ces traîtres de jambes lâches, et tu tombes à terre, tenant ton ventre en grimaçant. « Ugh... » Tu veux vomir. Tu ne veux pas voir son visage. Tu vas culpabiliser, tu le sais. Elle va revenir encore. Parce que tu commences à comprendre ce qu'il se passe, même si tu ne voudras pas l'admettre. Encore moins devant lui.

Non, tu ne le diras certainement pas à voix haute, puisque tu te refuses à le prononcer toi-même. Tu n'as pas le droit, pas le droit de le penser. Et tu ne l'auras probablement jamais.

ft Drake

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Drake K. Calvelli
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Drake K. Calvelli

Mer 17 Oct - 12:50
◥◤On aimerait croire.
Que l'on peut sauver les autres.
Ceux qui comptent.

Il y a le silence. Derrière le bruit de la télé et le crépitement de l'huile dans la poêle, il y a le silence. Un silence qui s'agrandit lorsque tu finis de cuisiner. Éteignant la hôte, le feu. Il ne reste que la télé et cette faible respiration. Cette faible respiration qui vient chatouiller tes oreilles. C'est apaisant. De savoir qu'il y a un être vivant ici. À tes côtés. Si humain de ressentir ce bonheur simple. Un bonheur qui ne restera pas. Il va finir par s'éteindre, lui aussi. Pourtant, si tu aurais déjà fuis avant, tu restes planté là. Debout au pied des deux marches qui séparent le salon de la chambre, tu le regardes. Ce corps étendu sur tes draps. Ce corps qui a étreint le tiens. Tu n'as pas oublié. Un soupire s'allonge entre tes lèvres alors que tu retournes t'asseoir.

Et tu laisses le temps passer.

Un temps qui vient rompre l'harmonie des lieux. C'est un cri du cœur. Qui déchire l'âme. « Hé... du calme. » que tu murmures, mais il finit par ouvrir les yeux. Tu crois qu'il va rester à tes côtés, mais il fuit. Sans même oser poser les yeux sur toi. Tu déglutis en omettant de l'arrêter, mais il tombe de lui-même. Parce que son corps ne veut pas le porter. Il n'est pas assez fort encore. Quel con. « T'vas te faire mal, Ethan. » une voix calme. Elle se voudrait rassurante, mais tu ne comprends pas. Ce qui se déroule juste sous tes yeux. Tu sembles concerné pourtant, mais tu n'es qu'un spectateur. Tu as raté le coche pour attraper les raisons à ses gestes. Doucement, tu viens t'accroupir à ses côtés. Pour l'aider. Parce que même en étant spectateur, tu ne vas pas le laisser. Incapable de détourner le regard de son sort. « J'vais te remettre au lit, t'peux pas partir encore, désolé. » ce sentiment. Il veut fuir. Il veut te fuir. Merde c'est vexant putain, mais tu ne dis rien. Tu l'encaisses dans un regard impassible avant de passer un bras sous le sien pour l'aider. Tu le relèves, le ramenant au lit.

Il n'a pas d'autres choix.

Si, il y en a un. L'hôpital serait le seul choix possible, mais tu n'as pas envie. De l'y emmener. De te séparer de lui. Quand tu le vois ainsi allongé sur ton lit, tu ne peux pas. Le laisser tout seul. Une de tes mains passe son front, jusqu'à sa crinière. Tu ne sais pas, tu ne devrais pas, tu le sais. « Repose-toi, t'devrais pas t'agiter tant que t'vas pas mieux... » me fait pas m’inquiéter, c'est ce que tu aimerais ajouter. Mais les mots se coincent au fond de la trachée. Parce qu'il y a des choses que tu ne peux pas encore dire. Alors tu soupires et regarde la réalité en face. Avec sa chute, tu dois probablement le soigner encore. « J'sais pas c'qui se passe, mais... t'peux compter sur moi. » tu le marmonnes avant de te détourner de lui. Un bref instant, tu y repenses. À cette situation, à cet instant. Il a croisé ton regard avant de fuir. Ça fait mal. Tu le ressens comme un coup de poing violent. Et tu souris soudainement alors que tu pars chercher de quoi le soigner.
Un sourire amer.

Tu n'y peux rien.
Il y a toujours eu cette attraction.
Ce sentiment de vouloir le frôler.
Tu étais prêt à arrêter de te débattre.
-- I’m not afraid of dying. I’m afraid I haven’t been alive enough
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Ethan Fitzgerald
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Ethan Fitzgerald

Sam 20 Oct - 22:06

Save my mindThere may be million things to smile about, but you're definitely my favorite one.

(musique)
« Je m'en moque... »

Ta voix est grave, rauque. Tu ne veux pas lever les yeux vers lui. Tu es con, si con, tu n'oses pas lui montrer cet air qui ravage ton âme. Cet air qui te rend si idiot. Cet air qui te fend en deux. Tu veux vomir. De douleur. Corps. Coeur. Tout te fait souffrir. Tu veux fuir, rester seul quitte à t'éteindre à petit feu. Tu veux fuir cette chaleur qui t'attend, juste à tes côtés, patiente. Incroyablement patiente. Attentionnée. Cette chaleur qui vient prendre ton bras, et lever ton corps délirant.
Délirant de fièvre.
Délirant de folie.
Délirant de peur.

Tu es terrifié, terrifié de te sentir à nouveau seul, terrifié de voir que tout change, tout évolue. Tu voudrais rester dans ton malheur, te complaire dans les bas-fonds de la merde, n'ayant ainsi pas la peur de sombrer davantage. Comment faire s'il vient te porter plus haut ? Comment faire si le gouffre s'étend sous tes pieds ? Tu as si peur, tu es si en colère envers toi d'être si faible. Face à lui lorsqu'il te ramène au lit sans que tu ne dises rien. Faible face à toi, incapable d'accepter ce qui tourne au fond de toi, incapable de mettre un mot sur ce qui tourbillonne. « Je peux marcher moi-même... » Toujours cet étincelle d'arrogance, qui t'empêche de vouloir  être aidé. Celle qui te rend fier et égoïste. Qui te dégoûte de ce que tu es devenu au fur et à mesure des années. « Ca va, j'suis pas mourant... » D'une voix un peu agacée, moins que ce que tu voulais. Ca va mieux. Tu aimerais le dire. Mais ton ventre te fait si mal que tu ne peux t'empêcher de le tenir d'une main crispée. Que tu ne souhaites pas lâcher Drake de l'autre. Ridicule. Ridicule. RIDICULE. Un rire nerveux vient franchir la barrière de tes lèvres, et tu baisses la tête pour cacher ton visage. Ridicule. Tu fais si pitié à voir. Putain d'Krärn. Putain d'putes. Putain d'Lise. Putain d'monde. Putain d'vie.

Tu ris, d'un rire profond qui remonte le long de ta gorge comme un serpent sombre. Et puis tu poses sur lui ce regard que tu souhaites pourtant cacher. Si fou, si délirant. Et ce sourire qui paraît si dément, toi qui grimaçais il y a quelques instants. Et tu ris, ris encore à t'en arracher la voix, attraper Drake par les épaules. Puis une pause. Ton regard se masque à nouveau derrière les longues mèches de ta crinière obscure. « Tu veux m'aider hein ? Tu veux m'aider ? Toi qui es la source de tout ? J'étais bien seul ! J'allais très bien ! M'taper des putes à tout va ! Boire au coma ! Frapper à en avoir les jointures en sang ! Ma vie d'merde ! Ne m'soucier de rien. J'étais bien, à laisser passer le temps, en étant spectateur de ma propre vie. J'étais bien, un beau déchet que personne ne veut, et qui ne s'attache pas. Et toi... et toi t'arrives dans c'bordel comme une fleur, tu t'incrustes malgré moi, et tu viens rajouter davantage de problèmes dans tout c'merdier ! J'pensais crever seul, sans souci, et toi t'es là, tu m'regardes avec tant d'attentes, comment j'peux laisser ma vie défiler encore après ça ? Tu t'rends compte, c'est ta faute tout ça, c'est pas celle de Lise, c'est la tienne ! Parce que j'avais laissé tomber l'idée d'vivre encore ! C'est toi ! PUTAIN ! » Tu marques un silence. Lâches les épaules de Drake, que tu serres bien trop fort. Ta gorge te brûle. Tu parles jamais autant. Tu ne cries jamais autant ce que tu as sur le coeur. Mais c'est en partie faux tout ça. Parce qu'il ne pourra jamais comprendre le vrai message que tu envoies dans cette tirade de détresse. Reste. Merci. Reste. Ne me quitte pas. Reste. Je suis content que tu sois là. Ta lèvre tremble, et tu plonges ton visage dans tes paumes, cachant cette part de toi que tu hais. Ton front paraît si chaud. « Pardon... Drake, pardon. Tu mérites si mieux, tu devrais pas rester près d'moi. J'vais juste te pourrir la vie. J'suis pas un prince, j'suis pas quelqu'un d'bien. Juste toxique, et amer. J'peux rien t'apporter d'bien. »

Tes doigts viennent à nouveau accrocher son t-shirt. Une larme coule sur la joue, et tu espères qu'elle se fond dans l'obscurité de la chambre. « Je veux pas qu'tu partes toi aussi. Je veux pas être seul encore. C'est terrifiant, d'être vide aussi longtemps. »

ft Drake

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Drake K. Calvelli
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Drake K. Calvelli

Jeu 25 Oct - 13:51
◥◤C'est le délire d'un homme.
D'un homme blessé.
Écorché par la vie.

Aucun mot. Seulement une respiration. Profonde et sereine. Tu sens ses mains t'agripper. Tenter de te garder. Il attrape tes épaules pour hurler. Pour te hurler ce qui dérange. Tout dans sa façon d'être est devenue une contradiction. C'est ta faute, Drake. C'est ce qu'il dit et pourtant, il te tient. Il refuse de te lâcher. On dirait un gamin perdu et apeuré. Qui implore qu'on le regarde encore. Tu ne comprends pas bien les gens en réalité. Parce que tu ne regardes jamais, mais là à cet instant, tu ne vois que lui. Plus tu le regardes, plus tu y vois ton reflet. Dans son regard. Dans ses mots. Ça pourrait être n'importe qui, il se prendrait une droite, mais lui... ça fait longtemps que ce n'est plus n'importe qui. Bien malgré toi. Au fond tu as voulu l'attraper. Le saisir. Le garder. Ça te brûlait l'échine de le laisser s'éloigner, mais ça te remontait l'estomac de l'arrêter. Un long soupire s'égare. Une main se perd dans la crinière rousse. Il tire sur ton t-shirt et tu viens poser une main sur ses yeux. Et tu viens lui offrir tes lèvres. C'est tendre et c'est léger. Un baiser qu'une mère donnerait sur le front sûrement. « D'quoi tu parles au juste ? T'es venu me chercher, Ethan... c'est ma faute, mais tu t'es accroché à moi parce que tu m'voulais... » tu retires ta main lentement, le laissant recouvrir la vue. Le laissant te regarder au-dessus de lui. « Qu'est-ce que tu veux ? J'comprends pas... J'suis pas assez intelligent pour l'comprendre clairement et tu t'égares. » tu as la voix tendre. « C'ma faute, puis tu t'excuses en m'disant que t'vaux rien et après tu m'demandes de rester... mais c'pas à moi d'partir alors que c'est toi qui vient m'chercher. » tu le fixes.

Tu l'observes.

Tu graves son regard. Son image. Parce que c'est ce qui t'attire chez lui. Ses yeux sombres qui délivrent un message similaire au tien. C'est perturbant. « J'te laisserais le choix... t'es l'seul à devoir prendre une décision ici parce que j'ai d'jà accepté qu'tu restes à côté d'moi. » tu lui as dit. Que tu lui laisserais une place dans ta vie. Tu lui as offert la possibilité de se faire un nid. « C'pas l'moment d'y réfléchir, dors un peu. » parce que tu le vois. Qu'il souffre. Alors tu retires sa main de ton haut doucement avant de te lever. Dans la salle de bain, tu viens chercher des anti-douleurs et un verre d'eau. « Prends ça. T'vas en avoir besoin. » tu viens poser le tout sur la table de chevet, te rasseyant à ses côtés. Et elle se perds encore dans sa crinière. Caressant sa tempe avant de disparaître dans la noirceur de ses cheveux. C'est une main tendre encore une fois. Elle est blessée par l'égoïsme et la colère, d'ordinaire elle frappe seulement et pourtant... tu te surprends à être incroyablement doux. « J'vais rester avec toi... » tu as regard neutre. Presque terrifiant. Presque froid et pourtant. Tout comme cette main, si tu regardes bien, il est tendre. Tu retires ta main doucement, jetant ton t-shirt par terre avant de venir t'allonger à ses côtés.

Cette colère qui gronde.
Elle n'arrive pas à éclater.
Au contraire, elle s'évapore.
Quand tu le vois ainsi.
-- I’m not afraid of dying. I’m afraid I haven’t been alive enough
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